mes pensées

04/08/2019

Cela fait longtemps que je n'ai pas écrit ici. D'habitude j'écris mes partie en une traite, quand je suis pas bien : sa m'aide a évacuer ma tristesse. Mais aujourd'hui c'est différents : je ne suis pas triste mais je vais écrire tout se qui m'est arriver le mois passé, car ce mois de juillet a était très dure mentalement. 

Tout d'abords, une bonne nouvelle pour tout le monde mais une semi bonne nouvelle pour moi : j'ai eu mon bac (c'est la bonne nouvelle) mais je n'ai pas eu de mention a cause de ma médiocre performance en maths. D'habitude, c'est les maths qui m'aide, donc savoir que j'ai pas eu de mention car je n'ai pas eu de point avec les maths m'a complètement déprimer. Voir tout le monde te félicité sur une chose, est déplaisant quand tu n'ai pas fière de cette chose. En fin bon, j'ai eu mon bac au moins. 

La semaine des résultat, j'ai passée un entretien au CHU de Rouen pour avoir un contrat d'apprentissage, afin de valider mon BTS ANABIOTEC en alternance. Malheureusement, je n'ai pas était reçu.

 Suite à ça, beaucoup de tristesse ont suivit : 

- ma mère me forcer a aller voir des entreprises que ne m'intéressait pas du tout : la clinique du cèdre par exemple. (étonnement, je n'aime pas du tout bois-guillaume, je ne sais pas pourquoi). Le faite qu'elle me force, était déjà une source de conflit entre nous mais se n'est pas tout. 

- Malgré que je me sois déplacer pour trouver un contrat, les seuls réponses que j'avait (quand j'en avait) étaient "nous ne prenons pas d'apprenti" ou "nous avons déjà un apprenti". c'est a se moment que j'eu beaucoup de reproche de ma famille : "voila se qui se passe quand on attend trop" "tu aurai du te bouger avant" "c'est de ta faute". De base, je me critiquais moi même, mais avoir des proches qui te critique, fait doublement plus mal. Ainsi, j'eu une forte passe de dépression. (je suis continuellement en dépression, je me suis habituer a vivre avec du coup je peut continuer a avoir des passe de joie malgré ça) 

- Ma sœur a essayer de m'aider en me boustant, mais sa n'a pas vraiment marcher : pendant 3 jour, j'ai pleurer toute une journée. Les nombreux conflit avec ma mère a finit par la fatiguer, elle ne voulait plus m'aider. Durant une semaine, l'ambiance chez moi était tendu. 

- Deux jour d'affilé, j'ai une journée complète de recherche d'emploi : c'est-à-dire que je suis aller dans tout les laboratoire du coin pour voir s'ils embauchent. La première journée, j'y suis aller avec Anthony (mon copain), et on a était très efficace. Malgré ça, aucun laboratoire ne prenait : tout les petit laboratoire ne sont que des lieu de prélèvement, les analyse sont fait dans mes clinique et hôpitaux. Le second jour, je suis aller dans d'autre laboratoire avec ma mère (l'ambiance était un peu moins tendu) dans des villes autour de Rouen. Sans résultat aussi. 

Il ne restait plus qu'un endroit qui n'avait pas donner de réponse. Le seul endroit ou j'y suis aller en mode tranquille : Le CHI d'elbeuf (feugré)

Alors que je cherchait des appartements pour vivre a Evreux (pour mon DUT car j'avais abandonner le BTS), Les feugré m'ont appelé pour avoir un entretien avec moi. Un nouvelle espoir. Cependant, j'ai passer l'entretien le mercredi 31 juillet, on est le dimanche 04 juillet et je n'ai pas de réponse. Vous me dirait que c'est normal, sauf que non car la personne qui ma fait passer mon entretien est partie en vacance vendredi. Je ne peux donc pas la contacter pour lui rappeler de m'appeler (elle a tendance a oublier, elle a sois-disant pas le temps)

Enfin de compte, je me retrouve a être encore entre deux chaise (sois j'ai mon contrat et tout va bien, soit j'ai pas mon contrat et je dois trouver un appart) je n'ai plus que deux semaine pour tout faire : la troisième semaine d'août, j'aimerai partir en vacance avec mon copain pendant une semaine mais mes parents me l'interdisse si ma situation scolaire n'est pas stable. 

Enfin de compte, je suis toujours dans la merde mais je fait des efforts pour mûrir et rendre fière mes parents en restant a table pendant les repas de famille ou en aidant mes parents quand ils ont besoin d'aide. 

Bien-sur, je suis heureuse d'avoir un copain comme le mien, qui , pendant ce mois, en a baver avec moi mais qui reste toujours auprès de moi.