24/11/19

2 0 0
                                    

Aujourd'hui, sa fait une semaine. Une semaine que ma vie n'est qu'un torrent de tristesse.
Il y a une semaine, je me suis énervé contre mes parents. Normale direz vous. Oui, en effet, c'est normal. Moi qui a toujours eu des problèmes avec eux, ce n'est pas étonnant. Cepandant, cette fois était différente.
D'habitude, je suis seul avec mes parents quand sa se passe, or cette fois, il y avait mon copain. Je ne sais pas en quoi sa a changer les choses mais quand il me supplier de redescendre pour continué à parler avec mes parents, pour éviter qu'il se sente gêner et que sa s'arrange. Cela par d'une bonne intention mais je n'ai pas pue répondre à son attente. Pourquoi ? Parce que je ne tenais plus debout.
Je ne pleurer plus pour mes parents mais pour la douleur que me produisait mon cœur, mes point de côté et mon ventre. C'était comme si on me poignarder de tout part. J'avais énormément de mal à me lever ou à m'asseoir simplement.
Mon copain, ayant vue mon état, est descendu voir mes parents sans moi, pour leur parler de ma santé. J'ai entendu beaucoup de chose déplaisante, dans le sens où j'avais l'impression qu'il s'en fouter de moi.
Je vous raconte tout ça car c'est très certainement l'élément déclencheur de tout se qui va se passer par la suite.
Le lundi, je n'ai pas pue aller en cours, j'avais bien trop peur de tomber dans la rue, en allant à mon iut. J'en ai parler à ma meilleur amie qui m'a gentillement dit "je te l'avait dit" car ça fait plusieur mois qu'elle me prévient "Au bout d'un moment, tu va tellement prendre sur toi, niveau santé et moral, que ton corps va te lâcher".
Suite à ces conseillé, je suis aller au urgence. Malheureusement, cela n'a rien changé, à part que maintenant je suis prise un peu plus au sérieux par les autres.
Le mardi, j'ai essayer de retourner en cours en vain, du moins le matin. J'ai acheter mes médicament prescrit par l'urgentiste, justifier mes absence de la veille et suivie un ou deux cours. La journée se passé, difficilement mais elle passé. Cependant, le soir, je n' en pouvais plus. J'ai craqué. C'était la première fois que je pleuré à si chaude larme, dans mon appartement. J'ai parlé à des amis, et certains d'entre eux sont venue chez moi le soir même pour me remonter le moral. Ça m'a fait plaisir mais ça n'a pas arranger ma situation pour autant.
Le mercredi, j'ai décidé de faire un effort et d'aller à l'iut le matin. J'y suis arrivé avec mon amie qui avait dormi chez moi, mais je ne pouvais pas rentré en cours. J'etait dans l'incapacité de lire ou même de me concentrer. Le soir, mes deux amis sont rester dormir chez moi, pour révisé et aussi pour me tenir compagnie.
Le jeudi, j'etait convoqué par mon prof référant, suite à mes nombreuse absence et à mes notes qui chute. Il ne m'a pas dit grand chose à part "améliore ta santé et on verra après pour les note". J'ai réussi à faire mon contrôle (je sais pas quel note j'ai eu mais je l'es fait au moins). Et j'ai prévenu ma mère de mon état pour qu'elle essaye de m'aider pour les rendez-vous. Quelle erreur... Cette initiative n'a fait qu'empirer les choses pour les jours qui suivent.
Grace à l'infirmier de l'iut, j'ai eu un rendez-vous chez l'orl top. Et grâce au médecin de l'iut, j'ai ressu l'autorisation de louper 5 jours de cours sans avoir besoin de justificatif. À la fin de la journée, j'avais donc un rendez-vous chez l'orl, une autorisation, et un rendez-vous chez le médecin. Ce dernier rendez-vous fue prit par ma mère qui ne savait pas quoi faire d'autre pour m'aider.
Le vendredi, ce fut très dure. Je n'ai toujours pas pue aller en cours le matin, j'avais un rendez vous chez le dentiste le soir et une remise des diplômes. Et c'est la où commence la merde.
Durant la semaine, j'ai était invité à un anniversaire par la famille de mon copain. Cependant, mon état ne s'arrangeant pas, ma mère ne voulu pas, rendant terriblement en colere mon copain car il était trop tard pour dire non. Ma mère décida de ne pas lâcher et de dire non car "si je suis assez bien pour aller à cette anniversaire, je suis assez bien pour aller en cours". Mais, si je restait à la maison, je n'avait pas le droit de rester trop longtemps dans ma chambre, toute seul, et je devais faire des révision, le code, et être là pour les invités. Je n'appelle pas sa se reposer.
Le samedi donc, j'ai fait mon code, je suis aller chez le médecin (qui, au passage, n'a servit à rien) et le midi j'ai parler avec mes parents. Mon copain était toujours chez moi, pour me voir et pour essayer de me faire venir à l'anniversaire. J'ai lâcher plusieur larme, ma mère s'est énervé contrairement à mon père qui est restée plutôt calme (très chelou d'ailleur). Après sa, j'ai décidé de mon propre chez d'y aller à cette anniversaire. J'ai donc jouer avec mes invités durant le début de l'aprem puis je suis partit chez mon copain pour l'anniversaire.
La soirée fut dure. Mon copain m'avait assuré que je pourrait partir top de la soirée, mais se ne fut pas le cas. Je voulais partir à 22h mais il avait à peine commencer le repas. Alors j'ai pris sur moi. Mon corps s'atturaie : crisper de partout, douleur au ventre, vertige... À minuit, je n'en pouvais plus, j'avais du mal à tenir debout.
Au final, je me suis couché à 1h du mat au lieu de 22h30.
À l'heure où j'écris ça, j'attends mes parents avec anxiété. Le regard noir de ma mère quand je suis parti samedi voulez tout dire : "si tu n'es pas bien durant la semaine à cause de ça..." et malheureusement c'est se qui risque de se passer.
J'ai 3 contrôle cette demain, et c'est pas les plus simple loin de la. Je pense que je vais devoir les loupé, donc loupé des cours, donc ma mère ne va pas être d'accort
En conclusion, je n'aurai pas du parler de mon état à ma mère, et je n'aurai pas du aller à cette anniversaire.
À oui, je vous ai dit que mon orientation était aussi en suspent. (je ne sais pas si se que je fait actuellement me plaît vraiment ou non)

mes penséesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant