Ma mère craque, elle ne supporte plus mes crises et mes faux semblant.
Mais je ne peux pas arrêter mes faux semblants, c'est mon attitude que j'adopte inconsciemment pour ne pas inquiéter mes proches.
Je me demande si elle ne fait pas une dépression contrôlé à cause de l'accumulation de chose. Elle me vois dépérir et ça la rend triste sauf qu'elle ne se permet pas de pleurer du coup sa se transforme en colère. Pourquoi j'y suis arriver et pas elle? Pourquoi elle est devenu comme sa, elle qui était si curieuse et pleine d'énergie étant enfant? Est-ce de ma faute ? C'est surement les questions qu'elle doit se poser.
La mort éventuelle de ma grand-mère doit aussi pas mal l'atteindre.
Pour mon père c'est différent. Tandis que ma mère, elle essayer de comprendre ma façon de penser pour me comprendre et résoudre mon problème, Mon père, lui, a tout de suite mis sa sur mon dos. Comme quoi j'en rajoute, que j'en fais des tonnes En bref c'est ma faute.
Dans un sens, il n'a pas tord, c'est à cause de moi si on en es là, c'est à cause de ma faiblesse qu'il y a tout ces problème.
Beaucoup de personne me vois comme une fille intelligente, d'autre me voient comme une folle toujours pleine d'énergie. Mais seul ceux qui comment a me connaître se rendent compte que je suis une personne qui se pose énormément de question et que je peux être très mature pour mon âges. Chose que mes parents ne verront pas facilement.
Je reste cloitré dans ma chambre et cela inquiète mes parents. Je les comprend. Ils ne savent pas se que je fait exactement et se qu'ils s'imaginent est par fois complétement erroné.
Je suis une personne qui pensent a plein de chose en même temps, beaucoup n'arrive pas a suivre et a comprendre mon résonnement (comme ma mère). Pourtant je ne suis pas tout a fait comme la plus part des gens qui sont comme moi : oui je suis hypersensible , oui j'ai un coté artistique , oui j'ai des facilité d'apprentissage, mais nan je ne souffre pas d'insomnie, par contre mon sommeil n'est pas complétement réparateur.
Ma mère me reproche souvent de ne pas réaliser les idée artistique que j'ai dans la tête mais il y a une chose que je n'aime pas leur dire car sinon elle s'en voudra encore plus; je n'ai pas confiance en moi car a chaque fois que j'essayer d'avoir de l'affection où du rassurement, je me faisait "rembarré", c'est-a-dire que mes parents n'arrêtaient pas de "rabaisser" mon travaille en me disant que c'étai moyen, qu'il y avait toujours mieux. Certes ils n'avaient pas tord mais ce n'est pas du tout se que je voulais entendre. Je me suis dit alors que le moindre de mes effort ne servait a rien vu qu'à la fin ce n'était toujours pas parfait. Je ne suis pas patiente, je n'aime pas la minutie car ce n'est pas rentable a mon gout; pourquoi passer des heures à faire quelque chose de pas ouf qui ne me satisfait même pas.
Je ne reçoit de la satisfaction que lorsque mon travail est reconnue. Si ce n'est pas le cas, pour moi, cela signifie que ce n'est pas du bon travaille.
Je suis une personne qui n'aime pas l'échec. Certes, il faut des échecs pour avancer, mais moi ça ne me fait pas avancer, moi ça me fait reculer. J'ai fait tellement d'erreur étant petite que mes parents mon rabâchaient de toujours faire attentions a se que je fais car tout n'est pas réparable. Alors maintenant, j'ai toujours peur de faire des erreurs et que ça ne sois pas réparable. Cette peur constante de l'échec me détruit surement de l'intérieure, mais elle ne partira pas si facilement car je n'ai pas confiance en moi.
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mes pensées
SaggisticaSe sont mes pensées brut, les pensées d'une dépressive. Il n'y a pas d'histoire, voyaient ça comme un journal intime. Toutes mes pensées sont mises en vrac, il n'y a pas souvent de connecteur logique, il n'y a pas forcément de suite. Chaque partie...