20/10/2019

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Plus qu'une semaine avant les vacances, enfin il faut le dire vite se mots. 

Chaque semaine depuis la rentrée scolaire, j'ai envie de pleurer ou de vomir. Pourquoi ? Parce que mes vertiges me pourrissent la vie. Je ne peux pas me concentrer longtemps en cours, or c'est le moment où il faut être le plus attentif. Je ne peux pas relit mes cours le soir. Je ne peux pas apprendre facilement mes cours. Et je dors mal... Enfin c'est comme d'habitude quoi. Je n'aurai surement pas mon année mais ça ma famille n'est pas au courant. 

Aujourd'hui je vous écrit car la j'en peut plus. MA famille se fou de moi ouvertement, et m'enfonce plus bas que je ne le suis déjà. 

Des postes CDD sont a pourvoir a un carrefour près de chez moi, pour les vacances de noël. Ma famille m'oblige presque a postulé mais moi je suis très retissant. Les vacances de noël ne sont déjà pas de réellement vacance en temps normal, et on me demande de m'épuiser a travailler, alors que j'aurai déjà pas beaucoup d'énergie pour mes cours. 

"Mais bien sur que si, tu peux travailler et réviser le soir." Me disent-ils

Mais il ne savent pas que c'est déjà un calvaire pour moi de vivre avec ces vertige, que mes notes chutes sans que je puisse faire quoi que se soit. J'aimerai garder mes vacances pour réviser, avec le peu d'énergie que j'ai, mais ils ne me comprennent pas. 

"On va t'appeler Perrine" m'a sorti m'a sœur. Cette personne est une connaissance qui se plaint tout le temps de sa condition, de sa maladie... Et ma famille disent qu'elle se plaint trop, que c'est limite une hypocondriaque. 

Je ne me plains pratiquement pas de ma condition avec eux, mais quand je dit que je ne peux pas, ils ne me croient pas, pourtant moi je me connais. Alors qu'eux ne me connaissent pas, même s'ils pensent l'inverse.

Ils ne savent pas que je souffre déjà de ma conditions. J'en souffre tellement. Ils pensent surement que je suis juste très susceptible, que je me plaint pour un rien, que je suis une flemmarde. Mais la réalité est tout autre. A cause de ces gens je suis en dépression, et pas qu'un peu. Cela doit faire une dizaine d'année que je suis dans cette état, mais je cacher tout, jusqu'à maintenant, car je n'en ai plus l'énergie. 

Si je n'était pas empathique, je me serai déjà suicidé. 

mes penséesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant