S E I Z E

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Sa faisait 2 semaines que nos joueurs étaient sacré champion du monde.

Un mot pour les premiers jours : FO-LIE .

Quand les bleus sont rentrez, la france les a accueillit comme des rois !
Ils ont enbiancer toutes la places des champs Élysées.
C'était magnifique a voir.

Les story était bondée !

Je crois que personnes s'en ai remit pour l'instant.

Pour ma part...
Sa fait 2 semaines que je n'ai ni parler, ni même vu Antoine.

La rumeur sur notre relation avec preuve a l'appuie de notre baiser a la finale c'était rependu plus vite que la peste au 14 ème siècle.

Je savais ni comment réagir, ni comment répondre à ça alors jai préférais ignorer et m'éteindre complètement.
Cetait certainement pas la meilleur solution.
Non.
En fait cetait clairement pas la meilleur solution mais bon...

Nicolas a essayer d'aborder le sujet 3 fois.
Après avoir vu ma mauvaise réaction 3 fois de suite il a finit par comprendre que c'était délicat.

Je crois que Antoine attendait mon premier pas.
Non.
En fait je suis sur qu'Antoine attend mon premier pas.

Je sais pas se qui se passe dans ma tete mais quoi qu'il en soit j'arrive pas a me réveillez pour réagir.

Je voyais plus personne.
Honnêtement je sais pas se qui se passait.
Javais aucun contrôle sur la situation et du coup ma seul réaction a été le replie.
Plus de potes, plus de sortit même plus de boulot.
De toute façon vu ma façon d'être, mon renvois était imminent et clairement prévisible.

Mes journées se déroulaient toutes dans mon appart, poser devant une série.
  
Message

Espoir énorme de voir le nom d'Antoine.

Nathan.

Putain y date lui.

De Nathan : je suis rentrée  on se voit comme prévu ?

A Nathan : si tu veux mais je suis pas vraiment d'humeur en ce moment.

De Nathan : tu vas m'expliquer tous ça allez on se rejoint disons, à 20 heures 30 à la tour Eiffel.

Je valide le rendez vous et part me préparer c'est  déjà 19h 30.
Sortir devrait me faire du bien.
   - Tu te rappelle que tu dois passer voir maman se soir ?
Me balance mon frère en me voyant descendre habiller.
   - Oue. Je vais lui passer le bonjour.
   - Dac. A toute alors.
   - oue.

Je sors et prend la voiture.

Je pars en direction de la maison familiale.
Je salut mes parents et pour une fois remercie le ciel que les vieux ne se servent pas des réseaux.
Mon père m'acheverait si il avait vu toutes les rumeurs.

Ma mère attend que mon père change de pièce pour se mette face à moi et m'attraper la tête avec chacune de ses mains.
   - Toi, ça va mal.
Elle me fixe tendis que je baisse le regard.
   - Et tu n'as vraiment pas envie d'en parler.

Comment est ce quelle arrive à lire en moi comme dans un libre ouvert de cette façon ?

   - Je dois allez voir un pote maman. Désolé de pas pouvoir rester.
Je dit doucement.

Elle me lance un sourire maternelle.

Je commence à partire.
   - Chérie?

Je me retourne.

La course à l'amour Où les histoires vivent. Découvrez maintenant