La course à l'amour

T R E N T E - S I X

Comment détruire sa vie avec Ysia Lombardie : Tuto 2.

Je plie mes tee shirt.

Sa respiration se coupe.

Puis je les entasse un a un dans ma valise.

Une larme coule sur sa joue tendis qu'il ne se remet pas de son choc.

Puis je m'occupe de mes affaires de toilettes.

Il n'arrive pas à se relever et Paul Ousmane et Kylian se lève en un bond comprenant que quelque chose ne vas pas. Je fuis en courant.

Je termine en tirant la fermeture et en regardant mon visage complètement dévasté dans le miroir. Sa fait une heure que je ressace toute la scène.

Je vais rentrer en France.

Je tire ma valise. Ce n'est pas Antoine qui va le faire.
Il est enfermé depuis une journée complète dans sa chambre.

Paul se porte volontaire pour m'emmener à l'aéroport.
   - Crois moi qui vient de se prend un mur en béton armée dans la gueul.
Finit il par lâcher histoire de briser le silence.

Je n'ai rien à répondre à ça.

j'ai pleurer absolument tout au long de mon vol. Jai recouvert ma capacité de stocks de larmes.
Je suis descendu et j'ai pris le chemin à pied de l'appartement de mon frère.

C'était loin mais ma douleur intérieur cacher toute douleurs externe possible.

J'ai toquer.

Il a ouvert et m'a directement prit dans ses bras.
Je me suis encore plus effondré alors que Nicolas m'a fait entré.

J'ai refusé d'expliquer quoi que se soit  mon frère. A vrai dire je ne disais rien. Aucun mot n'était capable de sortir de ma bouche.

Je suis rester dans cette état second pendant une semaine.

Marine a essayé de m'appeler une quarantaine de fois.
Certainement que toute les équipes entourant Paul devait être au courant.
J'avais reçu un max de message de tous joueurs de l'équipe de Frnace qui cherchait à comprendre ce qu'il y avait eu.
Pas de nouvelle de lui.
J'avais juste eu vent qu'il s'était mit en arrêt temporaire.
Je crois que son état était à peu près le même que le mien.

Je restais à ma fenêtre de chambre, sur mon siège, sans manger, sans parler, sans bouger.

Nicolas, complètement désarmé, prit la décision de faire venir Anaé, Marie et Kim.
Je n'avais aucune envie de les voir.
Pas plus que nimporte qui d'autre.

Elles ont essayé de me parler pendant dix minutes sans jamais avoir entendu une seul fois le son de ma voix.
Kim commençait à s'énerver trouvant ça insolent tendis que Marie et Anaé lui firent comprendre que ce n'était pas le moment.

Elles ressortirent bras dessus bras dessous en faisant signe d'échec à mon frère.

Au bou de trois semaine, Nicolas est revenue me voir.
   - Tes toujours pas décidé à parler ?

Pas de réponse comme d'habitude.
   - Tu sais, Théo, y m'a expliqué. Enfin ce qui savait. Autant dire pas grand chose. Comme tous le monde. Tes la seul a savoir pourquoi t'as agis comme ça. Et on t'aidera pas tant que tu nous parleras pas.

Silence radio.
   - Tu sais je suis ton frère Ysi. Alors oui on sembrouille, des fois je te casse bien les couilles et inversement. Mais sa me rend malade de te voir dans cette état.