La course à l'amour

V I N G T - N E U F

Je rentre chez moi après avoir passé la journée chez mes parents.
Je suis en bas mood vraiment.

Lucas Hernandez m'a dit qu'Antoine faisait n'importe quoi a ses entrainement.
Je lui envois une multitude de message depuis ce matin il n'a répondu à aucun.
Je me pose sur mon canapé.

J'suis en jogging brassière mais genre vraiment au bou de ma vie.

J'ai le son d'une notification message.
J'ouvre.
Cest sur insta. C'est Maud...

Alors que je m'attendais à un message de haine pour avoir "tromper" son frère, je reçois une vidéo.
Je clique dessus et découvre un diaporama avec ma tete, celle d'Antoine, des photos et vidéo de nous deux quelle a dû soutirer à je ne sais qui ou bien trouver sur internet accompagné d'une musique douce.

J'ai les larmes aux yeux.

Je reprend aussitôt mon téléphone en main.

J'appelle Antoine alors que j'ai désormais les yeux réincarner en rivière.

Pas de réponse.
Je recommence.
Toujours pas.
Encore.
Rien.

Je continue encore encore et encore.

J'en suis à 27 appelle sur insta, 47 appelle sur snap et 38 appelle téléphonique.

Je refuse de lâcher l'affaire.

Je continue à appeler encore encore encore.
 
Soudain je reçois un message.

" mon champion :
Je refuse de te parler a travers un téléphone"

Je m'effondre complètement je suis en pleure les plus totale.
J'ai jamais ressentis autant de douleurs et je lache toute les larmes de mon corps. Je tripote son collier en inondant mon tee shirt de mes larmes.

Sa toc alors a ma porte.
Ce n'est vraiment, VRAIMENT pas le moment.
Je tente de dissimuler mes pleurs au mieu pour jouer la carte de l'abscence.

Sa toc de nouveau avec beaucoup de volonté.

Je sniff comme une gamine qui se serait fait mal.

J'ai vraiment rarement autant pleuré.

Sa continue de toquer encore plus fort  et je me lève.
Je tourne la clefs dans la serrure et j'ouvre la porte.

Je reste bloquer plusieur seconde.
A force je vais finir par faire un choc émotionnel avec tous ce bordel.
Mon petit mètres 75 est réellement là devant ma porte.

Il est d'abord neutre jusqu'à ce qu'il voit mon état vraiment totalement pitoyable.
J'éclate d'un nouveau sanglot tendis qu'il me sert dans son bras.
Je respire à plein nez son odeur comme si c'était un vent frais.
   - je peux pas te laisser.
   - je t'aime Antoine. Je t'aime tellement.
Je dis dans les plus gros des sanglot qu'il lui ai était donner de voir.
   - Arrete de pleurer je vais chialer.
   - J'ai cru que je t'avais définitivement perdu.
   - je serais toujours là...toujours.

Je relève le menton et il m'embrasse comme jamais on ne m'a embrassé.
Je recule tendis qu'il avance toujours en s'embrassant farouchement.
Il referme la porte derrière lui.
Je lui retire sa veste et il sert ma peau.

Je saute en entourant mes jambes autour de sa taille et on monte les escaliers en ayant constamment nos bouches en contacte.

On rentre dans ma chambre et il me repose en me collant au mur.
Il décolle enfin sa bouche de la mienne et colle son front au mien en me regardant.
On se comprend vite et on se donne l'accord commun rien qu'en un regard.
Il se met alors à descendre peu à peu et à faire une ligné de baiser sur tous mon ventre.
Au plus il descend et au plus je sens le plaisir.

Il baise délicatement mon jogging et je fais quelques pas pour m'en débarrasser complètement.
Je lui déboutonne ça chemise alors qu'il baisse une de mes bretelles de soutien-gorge.

Je sens l'excitation qui commence à m'emplir.

Il m'embrasse de nouveau et m'allonge sur le lit.
Il me fait des bisous dans le cou alors que je plit mes jambes afin de bloquer son torse avec mes genoux.

Je lui retire sa ceinture et il déboutonne son pantalon.
Nos moindre geste sont d'une sensualité qui me donne plus que chaud.

Quand enfin il passe à l'acte je comprend que c'est certainement la plus belle chose au monde.
Une femme ne peux rien imaginer de plus délicieux.

Cette sensation de plaisir qui m'envahit et beaucoup trop grande et ma respiration saccadée et en coordination avec les mouvements d'Antoine traduise clairement mon ressenti.

   - ne me quitte plus jamais...
Je lui glisse à l'oreille.
   - ne pleure plus jamais devant moi.

J'ignorais que je pourrais de nouveau aimer un homme. Mais j'ignorais surtout à quelle point j'étais loin de l'amour fort et puissant que j'ai avec Antoine avec le précédent.

On passe des heures délicieuse à mélanger nos corps avant que je ne me colle dans les bras d'Antoine et que je ne m'endorme.
On ne peut que bien dormir avec une pareille sensation.

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By Nathan

J'avais accepté de rester en simple amitier avec Ysia afin de m'assurer de pouvoir rester au près d'elle. Mais quand j'ai su qu'il partait, bien évidemment j'y ai vu l'occasion parfaite pour me rapprocher D'Ysia et la faire oublier.
Il fallait que je tourne les choses en douceur de façon a ce quelle ne réalise pas mon but.
J'avais donc grâce à mes contacts fait annulé le vol de cette mannequin pour la remplacer par Ysia.
Ca avait marcher. Je ne sais pour quelle raison, elle me regarder avec se regard d'amour que j'attendais depuis si longtemps. Elle accepter le fait d'être tactile. Cetait l'un des moments les plus beaux de ma vie.
J'etais mannequin renommé. Un tas de fille m'attendait. Javais tous ce que je souhaitais mais il me semblait impossible de l'avoir elle.
Mais je n'allais pas y renoncer.
Je ne renonce jamais.

Le shooting était la première étape. Deja des articles parler de nous.
On ferait un si beau couple.

Ce soir je me rend chez elle bien décidé continuer mon plan.

J'ouvre la porte de son appartement, tendis que j'entre juste, je prend la direction des escaliers.
J'arrive au troisième étage et je me cache aussitôt.
Je repenche ma tete discrètement.

Une rage énorme m'envahit.
Ce nain blond ne la laissera donc pas tomber ?!

Il sont là à s'embrasser, fêtant leur retrouvailles.
Je ne supporte pas les voir ensemble.

J'ai tous de plus que ce mec.
Qu'est-ce qu'il lui faut pour s'en rendre compte ?
Je suis millionnaire, grand, beau...
Quoi de mieu ?
Certainement pas un footballeur qui va la tromper avec la première venu.

Je reprend mon chemin en faisant demi tour et rentre chez moi.

Je croise mon grand frère.
   - Bah alors ? Tu devrais pas être avec ta meuf là.
   - Non. Elle est prise.
   - Ah oue ? Merde. Tu vas faire quoi du coup ?
   - Me battre.
   - Quoi , tu vas vraiment continuer a te battre pour une fille déjà casée ?
   - Crois moi que je l'aurais...par tous les moyens.

Il affiche son sourire de prétentieux.