D I X - S E P T

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Antoine m'a ramener chez lui.
Y m'a passer un tee shirt.
J'étais toujours dans le flou complet.
Ailleur.

On croirait que je suis shooter.

Il s'approche et s'accroupit devant moi tendis que je suis assise au bou de son lit.
   - Tu devrais prévenir ton frere. Et tes parents aussi. Ils vont tous s'inquiéter.

Il essaie de me ramener à moi.
Cest inutile mais je prend le téléphone et part vers les contactes.
J'appelle ma mère.
   - je... oui non ça va... je sais pas maman. Écoute jsuis vraiment fatiguer je devrais dormir.... oui. Je vous vois demain peut etre ? Ten fais pas... oui... grâce à un ami. Oui maman. Bisous.

Je raccroche.
Je balance le telephone et masse mes tempes.
   - J'en peux plus.
   - Je sais. Mais respire. Et bois ça.
Me dit Antoine en me tendant un verre.
   - Cest quoi ça ?
   - Un eferalgan. Sa calmera tes mots de tête. Mais là faut que tu dormes absolument.
   - Antoine pour le silence...
   - On aura tous le temps d'en parler demain quand t'auras les idées clair. Je vais allez dormir sur le  canapé.
   - Non ! Ta rien compris...

Oouzaa. Trop d'énergie donner d'un coup. Jrigole  pas on dirait vraiment une shooter.

Je tombe allonger fatiguer par la dépenses  d'énergie intense.
   - Cest bon t'inquiète. Je reste là.  Cetait juste... histoire de pas te déranger.
Glisse t'il en s'installant à côté de moi.
   - salle con.
Je répond en me rapprochant.

Il me recouvre avec la couette et m'ouvre grand ses bras.
En deux secondes je m'endors.

+

Quand je me réveille, la place est bien trop froide à côté de moi.

En ouvrant les yeux je constate que Antoine n'est pas la.

Je me lève.
J'suis un peu plus rebooster.
Mais j'ai encore un sérieux mal de crâne.

Je m'étonne d'être aussi paniquer de ne pas avoir le blondinet dans mon champ de vision.
Mon poul s'accélère carrément tendis que mes pieds sont en contact direct avec le sol froid du couloirs que je parcoure.
Pourquoi je panique comme ça ?
Certainement le coup sur la tête.

J'arrive dans la pièce à vivre et je le vois assis à la table haut de la cuisine en train de boire son café.
Ouf.
Je relâche la pression et mon rythme cardiaque se calme.

Je reste là à le fixer plusieur seconde en réalisant à quelle point j'ai développé des sentiments à l'égard de cet homme.
Il finit par se retourner et souris en coin.

Étonnamment je fuis son regard. Quand je le releve et que le siens se plonge dans le mien, j'ai la réaction la plus inattendue que je pourrais avoir.
Mes yeux deviennent peu à peu rouge et je me précipite sur lui.
Il se tourne vers moi et aussitôt je plonge dans ses bras.
Il est surpris mais me serre et me caresse les cheveux.
   - Et... doucement.
   - Je sais pas se que j'ai je...
   - Eh, calme toi d'accord ? Y a rien de surprenant. T'as juste besoin de lâcher du lest. Je pense que ces derniers temps t'as accumulé beaucoup trop de pression. T'as le droit de te lâcher de temps en temps tu sais ?
   - J'aime pas être comme ça.
   - Tu sais, un jour quelqu'un m'a dit que cetait pas être une fillette que de pleurer. Cette personne a rajouter que tous le monde avait le droit de se lâcher parfois.

Je souris.
   - C'était quelqu'un d'intelligent einn
   - M'en parle pas.

Je reste dans ses bras tout de même.
Je suis bien là.

La course à l'amour Où les histoires vivent. Découvrez maintenant