La course à l'amour

V I N G T - C I N Q

Le repas débute. Je suis assise en face de Raphaël, Antoine a ma gauche et un vieil homme inconnu à ma droite.
Y a le quadruple du nombre de personne de tout a l'heure.
Sa fait bientôt une heure que l'homme me raconte sa vit.
Raphaël se marre en me voyant me faire chier tendis qu'Antoine, se compagnon indigne, vie sa meilleur vie avec Paul.

Le repas est bon soit dit en passant.

Didier réclame l'attention de la salle et j'en profite pour tirer la manche d'Antoine.
   - Si tu m'aime échangeons de place steu plaît jen peux plus de ces histoire de magasins du panier garnie qu'a fermer a cause d'un défaut d'électricité.

Antoine rigole tendis qu'il me fait signe de prendre sa place.
   - Ooo merci ! Je pourrais t'embrasser.
   - Attend un peu et t'auras encore mieu.

Je hausse les sourcil surpris de ses soudaines pulsions.

Didier fait un cours discours dans lequel il remercie une dernière fois l'équipe pour ses derniers mois géniaux avant de dire au revoir à tous ses joueurs qui vont rejoindre leur club respectif.

Please wait. Loading.

   - Attend mais eh tu jous à l'Atletico Madrid toi ?!
   - Chapeau l'artiste.
   - Antoine.
   - Quoi ?
   - Madrid ?

Il semble enfin comprendre où je veux en venir.
Il ne sais pas quoi dire. En tout cas aucun mot ne sort.

Je prend une inspiration et ravale ma tristesse en jouant avec ma fourchette.

Antoine fait de son mieu pour reprendre la face quand Raphaël lui parle.

Je le sens me guetter du coin de l'oeil toutes les minutes.
Le reste de mon repas se fait dans une sensation de lourdeur dans ma poitrine.
On vient de se retrouver mais je sais déjà qu'on va de nouveau se quitter.

Je n'ai jamais était si heureuse que personne ne me parle.
Je suis dans ma bulle.

La soirée touche bientôt à sa fin.

Je me lève et Antoine attrape sa veste que je lui arrache aussitôt.

Il sourit et m'attrape par les épaules tendis qu'il sert les derniere mains qu'on lui tend. On rentre dans la voiture.
Je regarde le paysage de la nuit défiler tendis qu'Antoine me jette plusieurs regards attristés.
  
Il pose une main sur ma cuisse.
   - ca va le faire.
Me rassure t'il d'une voix douce.

Je mes tous mes efforts à contribution pour lui lancer un sourire qui se réduit à un léger relever du coin des lèvres.

Je crois que je m'endors ensuite.

En tous cas quand je suis de nouveau consciente, je suis dans mon lit, Antoine m'enlasse tel un doudou.

Je me demande un cours instant si cette journée n'était qu'un rêve ? Pour ce qui est de la fin j'aurais bien aimé.
Aussitôt fatiguer par autant de réflexion je me rendors.

C'est de courte durée.

Au bou d'environ deux heure je lance un méchant coup de coude à Antoine avant de réveiller en sursaut.
Il se réveille avec la douleurs mais semble l'oublier en me voyant.
   - et ?! Qu'est ce qui se passe ?
Chuchote t'il en me caressant le dos.
   - je... j'ai fais un cauchemars.

Il se relève et le colle contre son torse.
Il me dépose un baiser sur le front tendis qu'une perle salé coule le long de ma joue.
   - Rendort toi. Je suis là.  Ca va allez.