Q U A T O R Z E

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Sa y est. Les jours sont passer LENTEMENT !
Mais on est le 14.
Demain est bel est bien la journée de la finale de la coupe du monde.
Cest ouf.
En 98 j'étais beaucoup trop petite est insouciante pour comprendre et ressentir la folie.
J'avais 3 ans.
Et puis Nicolas venait de naître et y pouvait pas encore nous forcer à regarder le foot à le télé.

Enfin bon.
Je prépare mes affaires rapidement sous le regard de mes trois amies qui ont clairement le seum de savoir quelles se contenterons de ce match épique du derrière de leur écran alors que je serais sur place.

   - Promis je vous envois des photos.
Je dis à la recherche de morale.

Sa leur redonne pas vraiment le sourire.

J'suis distrait par la sonnerie de mon téléphone.

Appel entrant : mon champion

Faut vraiment que je le renomme celui là.
   - Allô.
   - T'as pas oublier hein ?!
   - De quoi tu parle ?!
Je simule avec un sourire qu'il ne peux pas voir.
   - Ysia tes serieuse ?!
   - Oublier que ce soir est tirée un merveilleux feu d'artifice et que tu es potentiellement un futur champion du monde ? Oue je crois que jai oublier.

Il rigole au bou du file.
   - On sait jamais avec toi. Tes en train de faire tes affaires ?
   - Exacte. Mes affaires autour de 3 visages déprimer.
   - Comment ça ?
   - Ditent bonjour les filles.

L'appel du joueur leur a redonner de l'excitation.
Je met en haut-parleur.
   - BONJOUR !
Elles lancent toute d'une même voix.
  
Il rigole de nouveau.
   - Bien entouré à ce que je vois ?
   - Bah non elles ont le seum de pas venir.
  
Il est encore en haut-parleur.
   - Mmm... les filles ?!
   - Oui ?!
Elles répondent encore en mêmes temps.
   - Y me reste 8 places dont 3 pour des potes... sa vous direz de me débarrasser ?!
Lance Antoine au bou du file.

Les folles déraillent complet.
Mon visage se grandit de 3 mètres et je remet le téléphone à mon oreille en retirant le haut-parleur.
   - Antoine je peux pas te forcer à faire ça tu te rend pas compte du truc !
   - Forcer ? Est ce que a un moment tu as entendu ta mélodieuse voix me dire "antoine tes obliger de leur donner une place ?" Je crois pas. Et je te dis on a tout un tas de ces ticket.
   - Tu imite très mal ma voix ! .. tes sur de toi ?
   - Certain !
   - Merci beaucoup...
Jai rarement eu tant de douceur dans la voix.

Je le salut et on raccroche.
Jai toujours pas retrouver les filles.

   - ÉPOUSE LE LA VIE DE OIM ! UN GARC QUI PENSE AU COPINE CEST LE MEILLEUR !
S'écrie Anaé.
   - Si tu le mari pas je le prend.
Renchérit Kim.

Leur hystérie m'a fait rigoler.

Du coup on a charger mes affaires dans la voiture avant de passer faire celles de Kim puis d'Anaé et de Marie.

La tensions était toujours présente. Plutot que de lutter je préfère rentrait dans la folie.
On monte la radio au max on chante comme des quiche sur du Aya, Jul et évidement les classiques du genre démons de minuit.

On arrive à l'aéroport et on continue a délirer.
Je me pleins de leur folie mais en même temps une finale de coupe du monde au côté du gang de blonde cest de la frappe.

Clément arrive à toute vitesse.
   - Anaé t'es une putain d'enculé d'allez voir ça sans moi mais je pouvais pas te laisser oublier ton téléphone.
Dit il en nous trouvant assis en patientant pour notre vol.

Elle lui fais un câlin.

Cest chouuu.
   - Et tête de mule. Profite pour prendre une photo insta.
Je lui lance.
   - Allez souriez bande de folle.
Il dit en prenant mon téléphone en position photo.

La course à l'amour Où les histoires vivent. Découvrez maintenant