La course à l'amour

T R E N T E - H U I T

Depuis le début du repas on se bouffe plus du regard que ce qu'on bouffe en réalité.
Moi qui préfère regarder un homme plutôt que de manger ...?
Je suis amoureuse.

En même temps pas besoin de ça pour le savoir.

On finit le repas et j'enlève déjà mes talons en connaissant la bataille à mener.

Il passe son bras autour de mon cou.
   - Dit c'était l'effet du cocktail ce que tu m'as dit ?
   - Absolument pas. Antoine si je devais je me mettrais moi-même a genoux devant toi immédiatement.

Il me regarde avec des yeux en cœur.
   - Bain de minuit ?
   - Si tu me chauffe aussi...

On arrive au niveau de notre maison et on rejoins directement la plage.

Je fais glisser ma robe et il enlève ses vêtements alors qu'on fonce dans l'eau éclairée par la lumière de la lune et des étoiles.

Je regarde le ciel émerveillé.
   - Tu es l'étoile filante qui a fait chavirer mon cœur et exaucer tous mes vœux.
   - mmfpf ! T'as pas trouver mieu comme disquette ?
   - Je peux te sortir une troupe de musiciens entière tellement jai de choses à te dire.
   - Mais tu es bien romantique monsieur Griezmann ? Quelle mouche t'as piqué ?
   - Une mouche magnifiquement belle.

Il me colle tout un tas de bisous dans le cou et je sens mon cœur battre dans ma poitrine.

Je me tourne vers lui et pose mes main à plas sur ses pectoraux.
L'eau me paraît aussi chaude que dans un bain.

On ne détache plus nos bouche l'une de l'autre. Même pas pour reprendre notre respiration.

Il me prend par les fesses et j'entoure mes jambes autour de son corps.

J'ai une main qui fait des va et vient dans ses cheveux mouiller et l'autre qui sert sa peau au niveau du dos.

Il caresse tous mon corps avec ses mains.

J'ai soudain un frisson alors que j'ai l'impression d'être dans un four.

Antoine me tiens comme si jetais un diamant fragile.
   - Tu as froid ?

Je fais non de la tête.

On recommence à s'embrasser. Je peux plus me passer de cet homme.
   - T'as la chair de poule...

Je colle mon front contre le siens.
   - on va rentrait.
   - on a intérêt à finir ça...
 
Il sourit.
   - Je finis toujours ce que je commence.

Je jette un dernier coup doeil au magnifique ciel.

La vie est belle en fin de compte. On s'en rend pas assez compte.

Je cale ma tête dans le creux de son épaules et il s'occupe de marcher pour sortir de l'eau.

Il se penche et récupère les vêtements tout en me gardant dans ses bras.

Voila un aspect positif de sortir avec un sportif. Les muscles se montre utiles.

J'ai l'impression d'être un bébé de trois ans.
Je regarde le paysage défiler toujours la tête caler sur son épaules.
Je pourrais presque m'endormir.
Mais un projet qui n'est pas terminé m'en empêche.

Il jette les affaires et monte.

Ce nest que là que je me rend compte que l'eau était bel et bien froide.

Il attrape une serviettes à la salle de bain et m'entoure avec pendant qu'il en entoure une autour de son bassin.

J'ai pas le temps d'attendre d'avoir sécher.