My Boss

Chapitre 7

Aaron

Pourquoi est-ce que je pense de telle connerie ?

Je suis entrain de raconter de la merde et ça commence à m'énerver

Je râle lorsque mon téléphone se met à décrocher

-Quoi ?

-Qu'est ce qui se passe Aaron ?

-Rien.

-Rien ? On peut clairement distinguer l'énervement dans ta voix.

-Je t'ai dis que rien ne m'arrive merde ! Criais-je.

C'est très rare que je cris  sur Sam.

-Ne m'hurle là dessus ok ? J'essaye juste de t'aider et si tu ne le veux, tu me dis clairement pas la peine de crier sur moi. Dit Sam calmement.

-Déso-

Elle a coupé, merde ! Tout me tape sur les nerfs, je suis énervé contre tous et tout le monde. Si quelqu'un me cherche, il m'aura. Je remarque sur mon bureau une tonne de dossiers que j'ai donné à Camilla pour qu'elle les traitent mais pourquoi elle ne les a pas faire ? J'appelle son bureau et elle répond tout de suite.

-Sécrétaire de Mr Williams, que puis-je faire pour vous ?

Qu'elle le change son foutu monologue.

-Tout de suite dans mon bureau.

Camilla

-Tout de suite dans mon bureau.

Il avait l'air furieux et mieux je ramènerai mon visage chez lui mieux ça serait pour moi.

Je toque à la porte et cette fois-ci, il répond.

-Entrez.

Je fais comme il le dit et j'entre.

-Monsieur vous avez demandé à me voir?

-Je peux savoir pourquoi ces dossiers ne sont pas encore traiter?

Ah mince.

-J'allais justement vous le rappeler mais vous ne m'avez pas laisser le temps et m'avez dire de sortir.

Beau mensonge.

Mais sache que tu n'es pas doué ma petite.

-Je ne vous ai pas laisser le temps pour parler ? Et lorsque vous étiez arrêtés là à ne rien faire, ça servait à quoi de me le dire ?

Merde, que répondre ?

Ah oui, j'ai trouvé !

-Et monsieur puisque votre ami était là, je ne voulais pas aussi vous déranger plus longtemps.

-Donc si je comprends bien, c'est à cause d'Austin que vous n'avez pas parlé ?

-Non monsieur, pas totalement.

-Est-ce vous savez que ces dossiers sont très importants pour l'entreprise ?

Je voulais répondre mais il me coupe.

-Évidemment que vous ne pouvez pas savoir si vous ne pouvez rien dire.

-Toute mes excuses Monsieur, cela ne se reproduira plus. Dis-je gênée

Eh bas merde

Qui m'a dit de laisser mes merveilleuses études de psychologie pour aller suivre une formation ?

-Qu'est-ce que vous voulez que je fasse de vos excuses ?

Alors là, il est carrément déconcertant.

-Que vous les manger. Dis-je à voix basse.

-Pardon ?

-Je n'ai rien dire.

-Si il y a une chose qui m'énerve le plus, c'est la paresse. J'ai horreur de ça et je ne vais laisser quelqu'un saboter tout mes plans. Quelque fois, vous m'énervez à un point que j'ai envie de vous renvoyez. En plus d'être lente, vous posez des questions et ce ne sont pas des questions réfléchis, non, ce sont des questions idiotes.

Ses mots vont droit dans mon cœur et le brise en morceaux. Personne ne m'avait parler comme ça et c'est ce ton calme qu'il a employé qui est la cerise sur ce gâteau. Si au moins il avait hurlé, ça ne m'aurait pas faire mal

Une colère m'envahit et je lui expose mes quatres vérités en face

-Eh bien monsieur, merci d'avoir été aussi direct comme ça. Combien de temps est-ce que vous a prit pour chercher ces mots ? De toute façon, je m'en contre fiche. Vous me donnez des tonnes de documents tous les jours, je dois supporter vos différentes copines agaçantes et vous vous plaignez que je suis lente ? Je n'ai même pas un seul moment de répit, même à midi, pendant que vous êtes entrain de manger, moi je me tape tout votre sale boulot. Laissez moi vous dire une chose, allez vous faire foutre. Et vous n'êtes pas obligé de me renvoyer parce que je démissionne. Dis-je avant de sortir.

Non mais quel idiot, parce que monsieur se coule la douce dans son bureau et se tape chaque jour des filles, il croit que la vie est facile.

J'arrive dans mon bureau et claque la porte.

Il m'a mit sur les nerfs.

Quelqu'un toque à la porte.

-Je ne suis pas là. Dis-je en pliant les documents.

-Cami, c'est Catherina.

Oups...

Je marche jusqu'à celle-ci et tourne la clé dans la serrure avant d'ouvrir la porte.

-Qu'est ce qui se passe ? Demande Catherina avec une voix douce.

-Ton frère est le roi des connards

Je lui raconte en détails tous ce que son imbécile de frère m'a dit.

-Non, il n'a pas osé ? Dit Catherina avec une once de colère dans sa voix.

-Oh que si il a osé et il ne s'est pas gêné de me balancer tout ça à la figure.

-Je vais aller le voir immédiatement.

-Non laisse tombé, je lui ai moi aussi exposé mes quatres vérités en face. Merci pour tout ce que tu as fait pour moi mais je démissionne