My Boss

Chapitre 36

Il ne compte pas se mettre en couple ?

Donc tous les espoirs sont morts pour moi ?

Merde !

Il ne m'aimera jamais et j'ai été trop idiote pour croire à ne serait-ce qu'un petit brin d'amour. Je suis sûr qu'avec le temps, j'arriverai à oublier Aaron

-Aaron, le feu est rouge. Dis-je

-Et puis quoi ? Dit-il en accélérant

-Non mais, arrête toi

-On en a pour longtemps

-C'est pas grave, gare toi

Il soupire avant de se garer. Je souris avant de tourner ma tête vers la fenêtre, je vois des magazines peoples. J'ai bien envie de me les acheter mais je n'ai pas un sou sur moi, ou à moins que...

-Aaron, tu peux me prêter de l'argent ? Je veux acheter ces magazines

Il sort son portefeuille de sa poche et sort un billet qu'il me tend

-Merci. Dis-je en descendant

Je m'avance vers la brune

-Bonjour

-Qu'est-ce que tu veux ? Dit-elle en mangeant bruyamment son chewing-gum

Ok...

-Je voudrais ces deux magazines

-Ils sont à douze dollars

-J'en ai cinquante

-Je n'ai pas la monnaie

Je regarde les autres et vois une autre sur Aaron

-Finalement, je vais prendre trois

-Je n'ai toujours pas de monnaie. Dit-elle agacée

C'est quel genre de vendeuse ça ?

Je me retourne pour aller dans la voiture

-Où sont tes magazines ?

-Elle n'a pas de monnaie

-Donne moi l'argent

-Pourquoi faire ? Dis-je en lui tendant le billet

-Je vais te ramener tes magazines. Dit-il en me prenant le billet. Ce sont lesquels ?

-Les trois premiers de devant

Il descend et s'avance vers la marchande. Elle écarquille ses yeux lorsqu'elle le voit et elle lui sourit

Il lui montre les magazines et elle se penche pour prendre les magazines mais aussi pour qu'Aaron puisse admirer son décolletée.

Quelle culottée

Il revient les magazines en main

-Merci. Dis-je en prenant

-Je t'en prie. Dit Aaron en mettant un petit bout de papier dans sa poche

-Qu'est-ce que c'est ?

-Son numéro

-Pourquoi tu as pris ?

Il me regarde en souriant

Merde

-Ah, je comprends tout maintenant

-Je n'ai pas besoin de son numéro de toute façon. Dit-il en faisant le bout de papier de sa poche. Déchire le pour moi

Je souris et prends le papier avant de le déchirer en mille morceaux, je descends la vitre et le jette et la remonte

La pauvre... Elle croyait qu'elle allait finir dans son lit