~chapitre 8 ~

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Nous sommes dans une église, un serviteur  nous mène jusqu'au bal. Dehors il pleut mais la maison n'est pas loin. Elle est énorme, je n'ai pas le temps de la regarder trop car le serviteur nous mène à la salle de bal . Elle est énorme, il y a des lustres de cristal qui éclaire la salle grâce à des bougies, les grandes  fenêtres sont cachées par des rideau de velours. Il y a une scène et un piano dans un coin de la salle. En face, il y a des sofas pour se poser. Des serviteurs servent des coupent qui sont remplis d'un liquide transparent. Cela doit être de l'alcool. Mieux vaut ne pas y toucher je n'en ai jamais bu. Gideon me tire vers la piste de danse :
- m'accorderez vous cette danse?
- avec plaisir .
Il me sourit et nous commençons à danser la valse. Mes yeux  se perdent dans son regard vert.
Il est tellement beau en costume de l'époque. Sa main se resserre sur ma taille me faisant rougir encore plus.
- Gwen... je .... tu...
Il baisse les yeux visiblement gêné... moi aussi je dois dire que je le suis. Il finit par  se décider. Il prend une grande inspiration et mon rythme cardiaque accélère de plus en plus vite jusqu'à tambouriner dans ma poitrine.
- je .... tu es magnifique. Finit il visiblement déçu, je ne comprend pas pourquoi... d'habitude il est si confiant...
- merci. toi non plus tu n'est pas mal.
Gideon me regarda et je crut voir un désir de me dire autre chose mais il n'osais apparemment pas. Puis son conflit sembla cesser et il se décida.
Il me prit par le bras et le conduit vers un couple. La femme portait une robe bleu ciel et une perruque blanche en chignon à la mode 18ème siècle. L'homme a coté d'elle portait un costume bleu foncé et un noeu papillon vert.
J'en déduit que se sont nos hôtes.
Quand la femme me vit, son visage s'éclaira.
- Madame Gray, quel plaisir de vous rencontrer. Je suis Madame Brontiniere. (NDA: je sais... j'avais vraiment pas d'inspiration sur son nom...)
Je lui sourit et m'incline.
- tout le plaisir est pour moi.
Elle nous amena vers les sofas :
- nous discuterons mieux ici, alors, qu'y a t'il de nouveau.
Gideon lui expliqua:
- nous voudrions voir Madame Jeanne de Pontcarré, est elle arrivé ?
- non, elle habite loin d'ici, elle va bientôt arriver, ne vous en faites pas.
Elle se tourna ver moi.
-vous nous ferez le plaisir de nous jouer un morceau?!
- eh bien... commençais je gêné.
- excellente idée, m'interromps Gideon, le regard malicieux, je ne t'ai jamais entendu jouer et ton maître dis que tu a un don, c'est le moment de nous le montrer .
Brrr, j'ai envis de l'étranger, avec se qu'il a dit je ne peux plus reculer. C'est vrai qu'il ne m'a jamais entendu jouer bien qu'il ai insisté. Giordano dit que je joue très bien... bon, maintenant je suis obligé.
Je souri et affirme.
- bien sûr.
Je me lève et me dirige ver la scène, je m'assois et présente mon morceau, le silence se fait aussitôt:
- bonsoir, je vais vois chanter un chant accompagner du piano qui se nomme alléluia.
Je commence à jouer puis à chanter, j'oublie très vite le monde qui le regarde, j'oublie tout, même notre mission, même les beaux yeux de Gideon. Il n'y a que la musique et moi. Les larmes me monte vite aux yeux, je ne sais même pas pourquoi, peut être parce que la musique est triste.

(Nda désolé c'est un garçon qui chante mais il y a le piano en accompagnement et c'est le seul que j'ai trouvé. )
Quand je joue les dernières notes et le dernier accord je lève les yeux et tout le monde met un moment à réagir.
Ils me regardent tous puis, un a un, se mettent à applaudir. Je vois même une femme âgée se mettre à pleurer. Apparemment je ne suis pas la seule à adoré cette chanson.
Je descends de scène et le dirige vers Gideon, il me regarde  bouche bée, puis, sans que j'ai le temps de comprendre quoi que se soit, il me serre dans ses bras. Je me met à rougir, je me sens bizarrement gêné et mon estomac fait des tour de manèges. Je sens la chaleur de Gideon la ou il me touche.
J'aimerai que ce moment dure toute ma vie. Je met un moment à comprendre ce qui m'arrive puis la vérité me tombe dessus.
Je suis folle amoureuse de Gideon.
Il me murmure à l'oreille :
- Gwen, c'était magnifique.
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Nous sommes toujours sur les sofas a discuter avec les gens qui passent, tous plus sympathiques les uns que les autres.
Soudain, Gideon me prend par le bras et me murmure :
- Jeanne de Pontcarré est la .
Je tourne vivement la tête et découvre une femme qui doit avoir autour de 30 ans, qui porte une robe vert clair et une perruque blanche avec des papillons en plastique... très bizarre mais bon... chacun ses goûts...
Elle s'approche de nous :
- bonjour, vous devez être Mr et Mme Gray?
Gidzon se lève et lui dit:
- venez, il faut qu'on parle.

Le Rubis Où les histoires vivent. Découvrez maintenant