The Damned Waltz

Prologue

Il était une fois, en Bretagne, une jeune fille, et cette jeune fille était si douée pour la danse, dès son plus jeune âge, que son père admira avec fierté ce don de Dieu, un don magnifique.

Mais plus elle grandissait, et plus la jeune fille se dévergondait, se plaisait dans les jeux les plus sombres et les plus pervers. Son père, désormais désireux de se débarasser du fardeau que représentait sa fille, chercha pour elle un mari qui lui conviendrait. Mais la jeune danseuse déclara qu'elle n'épouserait que l'homme qui parviendrait à l'épuiser à danser.

Parce que ce père éprouvait encore un peu d'affection pour elle, il accepta sa condition et les jeunes hommes de la région vinrent relever ce défi avec enthousiasme. Bien fous sont les ignorants. Elle les épuisa un à un, et certains, morts de fatigue, ne virent pas le soleil se lever le jour qui suivit.

Personne n'avait épuisé la jeune fille et elle semblait toujours se repaitre de la souffrance et du désespoir de ses prétendants.

L'on dit que le diable l'entraîna dans une valse, jusqu'en Enfer, et qu'elle danse ainsi pour calmer les tourments de son âme.

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Il était une fois, en Irlande, un odieux ivrogne qui passait son temps à jouer des tours aux jeunes gens et à profiter de la boisson et de la vie de façon excessive.

Un jour, il entra dans une taverne et le diable l'y attendait pour voler son âme. L'ivrogne accepta mais, en échange, le Diable devrait lui payer une bouteille d'alcool. Le Diable accepta et se transforma en pièces d'argent, mais l'ivrogne sourit de nouveau et mit les pièces dans sa bourse, avec un crucifix qui brûla le Maître des Enfers. Le jeune homme consentit à le libérer s'il le laissait en paix pendant vingts année sà compter de ce jour. Le Diable accepta et il le libéra.

Vingts années plus tard, le jeune homme ne semblait pas avoir veillit mais le Diable revint prendre son dû, et il lui demanda son âme. L'homme accepta à condition que le Diable lui offre une pomme qui poussait su rla plus haute branche d'un pommier. Le Diable grimpa alors à l'arbre et voulut ensuite redescendre avec son butin mais le jeune homme traça une croix sur l'écorce du tronc, le bloquant là-haut, perché dans les branches. L'ivrogne accepta alors de le libérer s'il promettait de ne jamais l'emmener en Enfer et lui voler son âme. À contre-cœur, le démon accepta et l'homme le libéra.

Mais lors de sa mort, il se vit refuser l'entrée du Paradis pour avoir commis tant de mauvaises action, et Saint Pierre l'envoya aux portes de l'Enfer, mais Satan avait promis de ne jamais plus toucher à son âme, aussi ne put-il pas l'accueillir.

Il lui donna cependant un charbon ardent, qui ne cesserait jamais de se consumer, et une lanterne dans laquelle le jeune homme plça la braise pour éclairer son chemin. Son destin était désormais d'errer entre le monde des morts et celui des vivants. Il ne trouva ni damanation ni repos éternel.

Il ne trouva que le néant.

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Dans la campagne irlandaise, le vent murmure les légendes.

Dans les landes bretonnes, le temps n'a pas d'emprise sur les contes.