Je suis maintenant en train de courir, les gens dans leur maisons doivent me prendre pour une tarée.
J'arrive enfin devant la maison. Merde les deux voitures sont là, celles de ma mère, et de mon père. Je peux voir David attendre entre les deux avec une valise adéquat à sa taille. Ils ont tous les yeux rivés sur moi. Je me sens un peu mal à l'aise. Ma mère et ses bras croisés..Pas très bon signe.
Pour ce qui est de l'entente, mes parents pouvait être dans la même pièce sans problème. Mais ils ne s'entendaient plus assez pour vivre ensemble. J'avais bien compris.
Je cours dans la pente. Bien sûr il fallait que je fasse tomber mon sac de cours avec tous mes cahiers. (qui au passage, n'ont pas été ouvert une seule fois pour faire n'importe quels devoirs). Je m'accroupie pour tout ramasser.
Je continue à descendre, mais plus prudemment. Je baisse un peu la tête jusqu'à arriver devant eux.
Ma mère : Je peux savoir pourquoi tu n'es jamais à la maison ?
Moi : J'étais chez un ami, tu connais Liam.
Ma mère : Et tu étais là-bas de 15h00 à maintenant, ça ne t'ai pas venu à l'idée de rentrer, pour faire tes devoirs par exemple ?
Moi : Ça va maman ! On a rien à faire pour demain.
Ma mère : De toute façon ce n'est pas mon problème. Vas chercher ta valise.
J'execute. D'habitude j'aurais chercher la petite bête, et on se serait pris la tête, mais là il valait mieux exécuter.
Je vais jusqu'à ma chambre tout en me disant que ma mère est toujours au courant de rien par rapport à la fête d'Emma. Ouf x 1589.
Je prends ma valise.
Je retourne voir mes parents. J'embrasse ma mère, et me place près de mon frère en attendant mon père.
Ils ont fini de parler.
Mon frère monte à l'arrière et moi à la place passager à la suite que notre père ait mis les valises dans le coffre du véhicule.
Mon père : Alors cette rentrée ?
David : J'ai des nouveaux amis moi : Lucas et William.
Mon père : C'est bien mon chéri. Et toi Rachel ?
Ca y est il faisait comme s'il s'intéressait à nos vies. Il n'appelle jamais et quand il nous a pendant une semaine par mois : il se la joue Père-Noël.
Moi : Moi aussi j'ai de nouveaux amis.
Mon père : Et ils vous ont déjà parlé du bac français ?
Moi : Non. Ca va y'a le temps.
Mon père : Ca va passer vite l'année ma puce.
"Comme toutes les années" dis-je en tournant ma tête vers la fenêtre.
***
On arrive dans une résidence d'appartements. Que des petits vieux ici. Bâtiment D. Dernier étage. Appartement de mon père : deux chambres (ce qui fait que je partage ma chambre avec mon frère), une salle de bain (absolument pas pratique pour moi, qui suis la seule fille) une cuisine ouverte sur la salle à manger/salon qui était plutôt spacieux. Ainsi qu'un balcon.
Je me jette sur le canapé.
Mon père, sortant un paquet de pattes : Tu as vraiment RIEN à faire ?
"Oui." Répondais-je.
Je le ferai ce soir, je devais faire quoi, lire une fiche ? Je le ferai avant de dormir ça.
Je vais installer mes affaires dans notre chambre.
Quelque chose tombe par terre. Ah, oui Harry.
Je prend le petit sachet, et m'assois sur le canapé dépliant où dormait mon petit frère alors que moi j'était plus haut dans le lit superposé.
Je me demande ce que c'est.
Je souris toute seule. Je déplie délicatement l'emballage : un collier semblable au mien mais en argent. L'étoile est belle. Le collier dont il m'avait parler dans la voiture, accompagné d'un petit mot : "Observe-le autant que tu veux, mais rend-le moi demain comme ça, cela voudra dire que je te parlerai sûrement."
C'est mignon. Je l'accroche en plus du mien en or, autour de mon cou pour être sûre de ne pas l'oublier pour demain.
"A TABLE RACHEL !"
"J'arrive !"
Je souffle et me dirige vers la cuisine.
***
Voilache. +1 chapitre.
J'espère que ça vous plait toujours.
241 bisous,
Média : Le petit appartement du père de Rachel.
Déborah ♥ "Isn't she lovely ?"
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Little Black Dress
FanficRachel Miller ne s'attendait pas à tout ça, sa vie était tranquille, banale. Mais aucune vie n'est banale. De nouveaux visages s'ajoutent à sa vie : un triangle amoureux se formera, les sens des amours portés à chacun changera et re-changera. Un peu...