ANALYSE ( En Correction )

Chapitre 10

Il était deux heures du matin. Fadel Shak ce jour là avait passé la nuit chez sa famille, sa mère l'avait exigé. Il manquait a tout le monde, avait-elle dit. Il avait toujours une chambre la bas alors il pouvait y aller quand il voulait. Il se réveille et part faire ces ablutions. Il senti ce jour là qu'il avait une grande demande a faire a son seigneur.

Il étale sa natte de prière et se tient debout prêt a commencer. Après avoir fini il se senti bien, soulager, légère comme une feuille. Un vent sortie de nul part, venir souffler sur son visage. A cette instant il senti qu'il avait besoin de parler, de se confier a son créateur, il s'exprima en ces termes :
<< Yarabi, je te remercie, merci. Lorsqu'on m'a annoncé que j'allais mourir dans six mois... j'ai eu mal, très mal, j'étais perdu, confus, je refusait d'y croire, je t'es trouvé injuste. Mais tu a su me faire trouver le bon chemin. J'aurais jamais pensé être encore la, sur cette terre en ce moment. Mais regarde, je suis encore là >>

il émis un petit sourire.

<< Allahumma, Dieu tout miséricordieux très miséricordieux, toi qui ne manque jamais a ta promesse je lève les mains vert toi et je te supplie de me donner encore un peu de temps. Je ne me plains pas de mon destin non, je l'accepte, car j'allais devoir quitter cette terre tôt ou tard mais s'il te plaît, je ne veux pas parti maintenant ce n'est pas de l'hypocrisie, loin de là je te suis très reconnaissant car il a fallu cette affreuse nouvelle pour que je sois cette personne que je suis aujourd'hui. Laisse moi juste encore un peu de temps s'il te plaît car le temps t'appartient >>

Le temps accordé à Fadel était passé, il était dans le septième mois. La nouvelle lui avait été annoncé en Mars. Et là il était en octobre, il faut dire que son traitement faisait effet et aussi ces prières étaient exaucé.

Quelqu'un frappa a sa porte, il était toujours sur sa natte avec son tasbir*.

<< Entré >>

C'était sa mère. Elle avait les yeux inondé de larme

Fadel se leva en sursaut.

Fadel : qu'est ce que tu a maman ? Qu'est ce qui ce passe ?

Mme Shak : comment tu a pu me cacher ça ?

Fadel : de quoi parle tu ? Que fait tu debout a cette heure maman ?

Madame Shak ne faisait que pleurer.

Fadel : mais maman

Mme Shak : comment tu as pu me cacher une chose pareille ? Je suis allé dans la chambre de Assana car elle est un peu malade, je voulais voir si la fièvre était tombé... en passant devant ta chambre je voulais rentrer et voir si tu allait bien aussi puisque tu n'as pas dormir dans cette chambre depuis un bon moment et... et c'est la que je t'es entendu ( pleure )

Fadel était éberlué. Il ne savais plus quoi dire, sa mère l'avait entendu...

Des heures après dans l'entreprise H&F.

Hakim : les plans on été établi, il ne nous reste plus qu'à parler aux travailleurs et Karim s'en chargera.

James Row : très bien, faire affaire avec vous reste toujours un plaisir

Karim : vous allez donc rentrer chez vous ?

James Row : euh non, je vais rester encore un peu j'aime bien ce pays, surtout cette ville.

Hakim : il y a t'il des raisons particulières ?

James Row : elles sont privés Mr Dasilva ( en forçant un sourire )

Hakim fut énervé car il pensa que cela avait quelque chose a voir avec Zehineb. Karim senti que les choses allaient mal se terminer s'il l'arrêtait pas. Hakim Dasilva était quelqu'un de très impulsive. Il portait cette intérêt a Zehineb que lui ni personne ne comprenais a part Fadel bien-sûr.