Chapitre 10

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Livaï hésitait mais Eren déposa un baiser sur le front de son amant en lui disant.

— Si tu ne veux pas, cela n'est pas grave. Je comprendrais ton mal-être de devoir y retourner.

— De toute façon, il faudra bien que j'affronte mon passé moi avec et surtout d'y retourner. Cela fait longtemps que je n'y suis plus allé. Si je continue d'avoir peur d'aller dans les bas fond, jamais je ne pourrais affronter mon passé.

— Mais tu n'es plus seul Livaï. Regarde, nous sommes toujours en vie. La bataille contre Mahr est fini, nous sommes désormais libre de faire ce qui nous chante. Je serais toujours là quoi qu'il arrive pour t'aider à vaincre ta peur. Et puis si je t'accompagne, tu seras au moins rassurer.

— Merci pour tout Eren.

— C'est notre petit secret !

Eren lui fait un clin d'œil faisant sourire Livaï. Ils descendirent de la fenêtre qu'ils mirent leurs équipements. Ils vont à la capital que Livaï le conduit jusqu'au passage du souterrain. Ils descendirent calmement. Ils avaient leur cape du bataillon d'Exploration.

— Livaï attend deux minutes...

— Que veux-tu ? C'est toi qui voulait qu'on y aille !

— Je ne t'avais pourtant pas obligé Livaï, tu sais.

— Mais tu m'as convaincu. Tu es à mes côtés Eren et cela me suffit à me rassurer.

— D'accord mais si tu sens que tu ne peux pas le faire. Je ne te forcerais pas à continuer Livaï. Ne te fais pas plus de mal que tu ne l'es déjà.

— Merci Eren !

— Je suis là pour ça et je comprends ta douleur. Alors ne t'inquiète pas. Je t'aime et t'aimerais toujours Livaï, qu'importe si par le passé tu as été un criminel. Je sais que j'en ai une qui ne va pas apprécier à ce que l'on soit ensemble et notre relation est tenue secrète. Mais je ne peux me le permettre de t'abandonner et te fuir alors que mes sentiments sont fort. Je ne serais qu'un lâche et un égoïste. Mais si par malheur, je venais à te quitter. Cela serait en me brisant le cœur parce que l'on me force ou que la situation que je me trouve ne me le permet pas de te mettre en danger. N'ayant plus mon titan, je ne pourrais plus guérir. Alors pour y tenir à ma vie. Si je ne veux pas mourir. Je n'aurais guère le choix de le faire.

— Eren, je t'aime plus que tout. Je t'aime comme un fou.

— Je t'aime Livaï Ackerman.

— Je t'aime aussi... Eren Jäger !

Ils s'embrassent tous les deux en fermant les yeux. Ils descendirent rapidement que Livaï paye une grosse sommes pour la douane. Eren passa, suivant son Caporal-Chef et amant de près.

— C'est impressionnant comme c'est lugubre. Cela ne me donne vraiment pas envie d'y habiter. Je comprends désormais pourquoi tout le monde veut partir d'ici. Mais avec le prix de la douane, je peux comprendre que c'est excessivement très cher. On ne le remarque pas mais la bataille contre la pauvreté me désespère. C'est limite s'ils en ont rien à foutre... Sans lumière, on ne peut vivre. Je te trouve courageux Livaï d'être venu ici et d'y avoir habiter par le passé. En parler à Historia, ne serait-il pas judicieux qu'elle trouve un moyen de stopper cette maudite pauvreté ?

— Je ne saurais te le dire Eren mais où voudrais-tu loger tous ses gens ?

— A l'extérieur de la capitale. Il y a assez de place Livaï. Nous avons des milliard d'hectares inoccupé. Si nous ne faisons rien. Les maladies risqueront de tout ravager. Il faut intervenir.

— Tu as des idées toi qui me plaise parfois.

— C'est bien pour ça que tu m'aimes non.

Livaï sourit faiblement qu'il utilisa son équipement tridimensionnel suivit de près par Eren.

— Mais ce n'est pas une si mauvaise idée sache-le Eren ?

— Content que mon idée te plaise.

— Souhaites-tu savoir où j'habitais ?

— Avec plaisir ! Je te suis !

— Alors suis-moi si tu peux suivre ma cadence.

— Et attend moi Lili...

Eren essayait de suivre Livaï du mieux qu'il pouvait. Il le rattrapa que Livaï lui fait la réflexion.

— Tu vois que tu peux aller vite la tortue.

— Je vais te la faire bouffer la tortue.

Livaï ricana qu'il sourit à Eren qui fulminer de rage. Les habitants n'avaient plus jamais revue des membres du bataillon. Deux personnes les suivaient à distance qu'Eren tourna la tête en ayant bien entendu du bruit.

— Alerte Caporal-Chef, deux intrus qui nous poursuivent.

— Alors accroche-toi, on va les semer.

Livaï accéléra qu'Eren faisait son possible pour le suivre.

— Lili, je n'arrive pas à te suivre, tu vas trop vite.

Livaï tourna sa tête et vit Eren essayer de le suivre assez rapidement mais il ralentit et prit Eren qu'il partit trop rapidement.

— Ça va ?

— Je n'arrivais plus à te suivre. C'est au-dessus de moi.

— Je t'apprendrais un jour à aller plus vite.

— Vraiment ?

— Bien sûr mais là, il faut semer les deux individu.

— Pourquoi on ne les affronte pas ?

— On ne connaît pas leur façon de se battre.

— Et pourtant quand tu étais plus jeune, Erwin a réussi à te coincer.

— C'est vrai ?

— En plus tu avais l'avantage du terrain de connaître ce lieu. Où est le problème là Livaï ? Je viens d'avoir une idée...

— Partage-là !

— Et si je faisais...

Attack On Titan - La Vengeance des Ackerman et du Pauvre Jäger. [Ereri/Riren]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant