Livaï regardait le paysage. Eren se retourna en le voyant faire et lui prit sa main qu'il regarda.
— Nous sommes bientôt arrivé, le plus dure est là, je refuse de te mettre en danger alors obéis moi Livaï s'il te plaît.
— Je ne t'en veux plus. Je sais que tu veux me protéger et j'en ai conscient que je risque d'abandonner notre enfant alors je ne t'en veux plus Eren. Tu le fais pour lui et pas pour moi. J'ai eu tord de t'en vouloir de m'enfermer alors que tu ne faisais que penser à notre bébé.
— Mon cœur je t'aime et pour toujours !
— Je t'aime moi aussi !
Un dragon les rejoint soudainement qu'ils regardent et ils survolent les prairies à l'extérieur des murs. L'île du Paradis. Le dragon rugit que les habitants de Shiganshina, les soldats des bataillons de la garnison et d'exploration relevèrent la tête en entendant un rugissement. Le dragon rugit de nouveau qu'il prit de l'altitude et soudain, il dépasse le mur et descendit en altitude qu'il rugit.
— Bon retour à la maison Livaï.
Ils reconnurent le mâle dominant qu'Eren avait en partant mais surtout celui qui avait emmené Livaï loin d'eux. Le mâle dominant se posa sur la grand'place que tout le monde se rassembla. Ils voient Eren descendre qu'il dirigea sa main vers une personne que beaucoup de monde pleuraient de joie. Livaï était en vie.
— Caporal-Chef !! Hurlent Armin et Mikasa.
Les deux se jettent sur le Caporal qui fut surprit et les retient.
— On a crut vous perdre pour toujours...
— Ravis de te savoir sain et sauf Livaï.
Armin et Mikasa se retirent pour qu'il puisse aller voir tout le monde. Le dragon prit son envol et laissa l'hôte qu'Eren ordonna à des soldats d'emprisonner l'hôte du titan Marteau. Ils rentrent que Carla sauta littéralement sur son beau-fils en pleurant. Kuchel pleurait en mettant ses mains devant sa bouche.
— Oh mon dieu, que dieu soit loué, tu es en vie et en bonne santé. Par pitié ne meurs pas. Nous avons eu tous très peur et inquiet...
Livaï fut surpris des mots de Carla, il la serra et posa sa tête dans son cou. Il avait une belle-mère si gentille et aimante envers ses enfants. Il n'était pourtant pas de leur famille mais étant son gendre, Carla le considérait comme son fils.
— Bon retour à la maison Livaï... lui dit Carla en se retirant, essuyant ses larmes.
— Merci Carla !
Kenny était absent, il traquait l'homme qui en avait après son neveu et il allait le regretter. Kuchel serrait son fils aussi fort qu'il ne l'aurait cru. Eren était dans la chambre, il prit son fils calmement et alla dans le salon. Sieg serra la main à Livaï que Grisha sourit faiblement à Livaï, heureux qu'il soit rentrer soigner et en vie. Livaï se retira en disant à sa mère de se calmer et qu'il a resté seulement dans un sommeil profond pendant deux jours et que le roi de Terrasen avec son entourage, l'ont soignés. Quand Eren arriva, il sourit faiblement et lui dit alors que Livaï était dos à lui.
— Mais il y a une personne qui t'attendait avec impatience. Il n'aimait pas être éloigner de toi...
Livaï se retourna qu'il découvrit Eren tenant un bébé... Leur bébé !
— Rivaille...
Livaï en pleurait et alla le retrouver en tendant ses bras vers lui qu'Eren lui laissa.
— Mon bébé ! Mon chéri, je suis rentré à la maison...
Le Caporal colla sa tête contre celle de son bébé qui pleurait. Sa mère pleurait de bonheur. Eren les prit tous les deux dans les bras que Erwin, Mikasa, Armin entrent chez les Jäger et ils découvrent la petite famille réuni et surtout Livaï en larme.
— Bon retour parmi nous Livaï-San !
Ils regardent qu'ils voient Armin sourire. Mikasa en avait conscience de maintenant de leur amour. Ils étaient tellement unis tous les deux et cela les empêcher de s'engueuler.
— Merci tout le monde.
— Aujourd'hui, c'est à nous de te protéger. Je t'interdis de sortir jusqu'à que la menace soit lever. Mon frère y veillera à ce que tu restes ici sous sa surveillance. Rappel-toi de ce que je t'ai dis. Fais-toi discret et ne sors pas de la maison. Laisse-nous gérer d'accord Livaï !
Ce dernier regarda Eren qui venait de prononcer ses paroles. Eren aimait plus que tout son Livaï ainsi que leur fils.
— Merci pour tout Eren...
— Allez, il faut te reposer. Il n'y a pas longtemps que tu as été réveillé. Et surtout de profiter de notre enfant.
Livaï alla dans leur chambre, il enleva son équipement et s'allongea dans leur lit tout en gardant dans ses bras, son bébé qui fut calmer par sa douce voix et ses caresses.
— Où ça en est avec Kenny ? Demande Eren sans se retourner, regardant la porte de sa chambre.
— Il t'attend, sur le haut du mur de Shiganshina en direction de Trost.
— J'y vais, surveiller Livaï, il ne doit plus sortir de cette maison.
Eren partit vers la porte nord de Shiganshina qu'il y découvrit un homme tout en haut et il se positionna à côté de lui en regardant l'horizon.
— Où ça en est ?
— J'ai trouvé sa cachette ! Et Livaï ?
— Ils ont réussi à le sauver, il est en vie. Il est rentré et est interdit de sortie tant que la menace ne soit pas lever. Où sont Farlan et Isabel ?
— Ils sont en train de surveiller la planque de l'organisation avec mon escouade.
— Bien, j'interviendrais demain. Ils vont savoir ce que c'est de se frotter à un titan primordiaux. Rassure-toi, je ne vais pas abandonner Livaï et mon fils alors qu'il me reste seulement deux ans presque encore à vivre. Durant ton absence, j'ai beaucoup été visé, attaqué. Savoir Livaï entre la vie et la mort m'a beaucoup affaibli mentalement. Ils m'ont affaiblit. Ils savent désormais que Livaï est mon point faible pour m'achever plus facilement. Il faut les éliminer rapidement avant que cela devienne dangereux.
— J'y veillerai personnellement.
— Donne moi sa position est nous agirons de nuit. Demain à quatre heures, cela nous laisse deux heures et demi avant le lever du soleil. Tout le monde dort.
— Je dirais plus rendez-vous à minuit et demi.
— C'est parfait !
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Attack On Titan - La Vengeance des Ackerman et du Pauvre Jäger. [Ereri/Riren]
Fanfiction/!\ /!\ AVERTISSEMENTS /!\ /!\ Cette fiction est à prendre au second degrés dans les passages humoristiques et vengeance des Ackerman et du pauvre Jäger. Les personnes qui prenne au premier degré sont priées de partir. Et il y aura des lemons à plu...