Eren était en pleins fou rire, poursuivi par son amant qui était en rogne. Livaï accélérait sa course qu'il sauta sur Eren qu'ils tombent dans l'eau alors qu'Eren ricanait encore. Livaï en avait marre de lui. Il se releva qu'Eren le suivit en se calmant.
— Vous n'êtes pas croyable vous deux franchement !
— On est comme ça de nature. Eren adore me chercher et faire des blagues assez drôle mais je me venge par derrière.
— Il ne me laisse jamais de répit. La pire blague que Livaï a subi est celle du seau d'eau avec de la mayonnaise qui était dédié pour ma sœur Mikasa.
— Ah oui, ce jour-là où le Caporal a faillit te tuer.
— Oui, ce même jour où ma salope de sœur m'a jeté un seau d'eau gelé pendant que je dormais, me faisant lever à quatre heure du matin. Merci !
— T'es sérieux, elle t'a fait ça !
— Ce seau n'était pas destiné à Mon Lili mais à Mikasa. Le jour où je lui ferais, crois moi qu'elle verra ce que cela fait de se lever à trois heures du matin.
— Elle a un peu exagérer là Mikasa.
— Surtout pour faire quoi de quatre heure du matin à sept heures. Rien du tout. Merci pour mon sommeil.
— Calme-toi 'Ren, ce n'est pas la fin du monde non plus.
— Le jour où elle me refait ce coup. Tu vas m'entendre gueuler dans tout le QG dans la journée. Je serais tellement énervé contre Mikasa que je ne me contrôlerai plus du tout.
— Je serais toujours là pour t'arrêter. Allons Eren, garde ton calme. Nous sommes ici pour nous détendre alors que demain tu sais que je vais t'entraîner sans répit sur ta vitesse.
— Je sais mais c'est surtout pour te détendre aussi car tu es toujours à fouiner dans tes documents. Cela me saoule parfois que je ne passe pas du bon temps avec toi.
— Alors profites-en parce que ce ne sera plus de l'amour mais un entraînement sévère comme tu les aimes.
— Je sais !
Eren s'allongea sur le ventre et sa tête sur ses bras croiser, les yeux fermés, Livaï regardait son amant un peu dormir. Mais Eren releva subitement la tête.
— Qu'as-tu ?
— J'entends une voix ! Suis-je paranos ?
Ils écoutèrent en silence qu'ils n'entendent rien. Eren mit sa cape de bataillon et se leva qu'il marcha vers le bruit de la voix. Livaï prit sa cape et le suivit. Il savait qu'Eren ne mentait pas, il agissait à l'instinct.
— Armin, Farlan et Isabel, venez. Eren ne divague pas. Il agit à l'instinct.
Livaï rattrapa en courant, Eren qui s'approcha lentement de la voix. Il l'a reconnu trop vite.
— ERWIN !!!
Eren couru que les autres le suivent et ils s'arrêtèrent à un gouffre qu'Eren regarda et il vit au fond du gouffre.
— Erwin !!!
— Eren, je suis heureux que tu es put m'entendre.
— Et gros sourcil, tu explores quoi là ?
— Livaï tu es là toi aussi.
— Major, tenez bon, on vient vous sauver.
— Je vais chercher mon cheval et une corde.
Eren partit en courant chercher son cheval.
— Tu fou quoi là Erwin ?
— Cela fais deux jours que je suis ici !
— Espèce d'idiot.
Eren arriva sur son cheval au galop puis descendit qu'il attrape la corde dans la sacoche de selle puis l'attache au cou du cheval. Il emmena son cheval pas loin du bord.
— Tiens bon Erwin.
— Faites vite !
Eren lança la corde que Erwin attrape.
— Prêt mon beau ?
Le cheval hennit qu'Eren fait oui de la tête à Livaï lui disant qu'il est prêt.
— Erwin, le cheval d'Eren est prêt, et toi ?
— C'est quand vous voulez !
— Tu peux Eren !
— Doucement mon beau. On avance doucement !
Eren tira sur les rênes que le cheval avançait doucement. Livaï prit la corde ainsi que Grisha et Farlan et ils tirent de toutes leurs forces pour aider le cheval d'Eren que Erwin montait doucement en suivant le rythme. Eren sentit soudain son cheval s'arrêtait.
— Allez mon beau tu peux y arriver. Montre-leur que t'es plus fort.
Le cheval continua que Livaï prévient les deux hommes avec qui il était pour tirer sur la corde qu'il allait lâcher pour aider Erwin à remonter. Grisha lui dit qu'il continuera avec l'ami d'enfance de Livaï. Ce dernier lâcha doucement qu'il alla aider Erwin qui arriva finalement sur le bord. Armin attrapa le bras d'Erwin en rougissant que Livaï attrapa l'autre puis le tirent pour le mettre sur la terre ferme. Eren félicita en tapotant sur l'encolure de son cheval. Il lui enleva la corde qu'il alla retrouver Erwin qui se redressa.
— Major Erwin !!
— Eren, tu m'as entendu, je suis rassuré.
— Je suis surpris que tu es put l'entendre et pas nous !
— Tu as agit sous l'instinct ?
— Non, pas du tout.
— Alors comment tu as put l'entendre ?
Eren réfléchit et pensa à une chose.
— Je n'ai qu'une seule option possible.
Ils regardent Eren que Livaï fit non de la tête.
— Si tu as trouvé Livaï. Il faut que je me fasse examiner par Hansi.
— Mords toi la main !
Eren le fit qu'une foudre apparaît et toucha l'invocateur qui apparaît en un titan.
— NON !!! Hurla Livaï, Eren avait toujours son titan Assaillant.
Eren sortit de son titan qu'il ne comprenait rien.
— Armin essaye !
— Je dois m'éloigner.
— Prends mon cheval et éloigne-toi le plus possible.
— Mais après je me dis... Tu avais deux titans Eren. Quatre jours est cours pour t'avoir retirer les deux.
— Armin...
— Il faut que tu y retournes Eren !
Eren le savait qu'il allait y rester pendant plusieurs jours dedans la machine de Hansi.
— Nous rentrons ordonna Livaï froidement et sec.
— Mais Livaï...
— C'est un ordre !
Ils durent tout ranger et partir. Carla était avec Grisha que Livaï était en tête. Eren était entre ses parents et Erwin à l'arrière. Il avait la tête basse. Livaï n'était jamais comme ça mais Eren savait ce qu'il avait. Il hésitait à aller le voir.
VOUS LISEZ
Attack On Titan - La Vengeance des Ackerman et du Pauvre Jäger. [Ereri/Riren]
Fanfiction/!\ /!\ AVERTISSEMENTS /!\ /!\ Cette fiction est à prendre au second degrés dans les passages humoristiques et vengeance des Ackerman et du pauvre Jäger. Les personnes qui prenne au premier degré sont priées de partir. Et il y aura des lemons à plu...