Attack On Titan - La Vengeance des Ackerman et du Pauvre Jäger. [Ereri/Riren]

Chapitre 21

Flash-Back :

Alors que moi et Livaï, on explorait ce coin à la recherche des titans restant. C'était une journée où il pleuvait énormément et il faisait froid. On avait nos chevaux aux grands galops. On avait froid et on était trempé jusqu'au os. Je voulais qu'on rentre et qu'on rebrousse chemin mais Livaï avait trop sa fierté de Caporal, il ne disait rien alors que je le voyais trembler et avoir froid mais il ne ronchonnait pas. On a galopé jusqu'à que mon cheval glisse au bord d'une falaise me faisant tomber du haut de la falaise. Livaï a prononcé mon nom en criant et à sauter lui aussi pour essayer de me récupérer. On est atterrit heureusement sur du sable. Ce qui a amortir notre chute. J'étais fatigué et j'avais froid. Une fois reprit connaissance, l'ayant perdu quelques minutes. Livaï m'a aidé à marché car j'étais encore un peu sonner et on s'est habité dans une grotte pas loin. On a essayé de faire un feu de camp afin que l'on puisse se réchauffer près du feu. Mais le bois était trempé. On a dût être obligé de rester ainsi sans feu sauf moi qui avait réussi à me réchauffer en faisant appel à la chaleur corporel de mon titan. Mais c'était Livaï. Il était blanc comme un mort. Mort de froid. Il ne voulait pas me le faire montrer je sais parce qu'il avait sa fierté de Caporal. Mais j'ai eu beaucoup de mal à me décider. Savoir mon Caporal dans cette état, cette nuit il risquait de ne pas survivre. J'ai prit sur moi de garder ce secret. Je savais aussi que si des personnes nous trouver ensemble, l'un dans les bras de l'autre. Cela aurait fait louche et surtout que Livaï n'était pas si social que tout le monde l'aurait pensé. Il est social seulement avec l'escouade mais ailleurs non.

— Je ne suis pas social du tout Eren. Je le suis avec toi et encore je le cache envers le bataillon mais pas envers certaines personnes.

— Oui enfin on le cache pour l'instant notre couple parce que deux personnes essayaient de nous séparer.

— Et une folle à nos trousses.

Bref, je n'allais pas laisser dans cette état Livaï alors je l'ai invité à venir dans mes bras en lui justifiant que j'ai fait apparaître ma chaleur de titan. Livaï a essayé de me résister mais je l'ai fait céder en lui faisant comprendre son état et que je trouverai un cadavre en me réveillant demain matin. Il n'a plus résisté, je l'ai donc prit dans mes bras, j'ai essayé de le réchauffer. Il était glacé et pas loin de la mort si je n'avais pas agit. Je n'avais recouvert de ma cape du bataillon que j'avais réchauffé un peu plus tôt. Et puis avec la pluie, elle n'aurait pas cessé avant demain matin. J'ai veillé sur Livaï sans dormir toute la nuit. Je me suis endormi peu avant le lever du soleil. Je voulais m'assurer que Livaï soit au chaud et qu'il ne meurt pas. Glacé comme il était. C'était bon pour qu'il parte vers le paradis.

— Tu as échappé belle à la mort Livaï.

— Oui, sans Eren, j'ai failli mourir. Je vais continuer.

— Va-y Lili puisque je m'étais endormi et que je ne sais plus ce qu'il s'est passé.

— Parfait, alors !

Alors, le lendemain, je me suis réveillé. La première chose que j'ai vérifié c'est s'il y avait quelqu'un qui nous avait vue ensemble. Mais il n'y a eut personne, cela me rassurer. J'ai regardé Eren et je l'ai vue exténuer. J'ai alors pensé qu'il avait veiller sur moi toute la nuit. Je l'avais trouvé courageux. Il était peut-être l'espoir de l'humanité mais il était courageux. Je me suis levé et je l'ai réveillé malgré tout. Il était fatigué mais je lui dis qu'on allait rentrer. Il était ailleurs parce qu'il était en phase de réveille.

— J'étais trop fatigué, j'avais dormi que quoi une demi-heure. Je vais continuer Livaï.

— Mmh !

Bien alors après m'être réveiller de force, j'ai mit du temps à reprendre conscience. J'ai regardé mon Caporal et je l'ai vue avec une bouille trop mignon. Il rougissait à telle point qu'il était si mignon et adorable que j'ai faillit craquer.

— Tu étais trop mignon en te réveillant, cela m'a fait rougir.

Bref, j'étais gêné, c'était la première fois que je voyais Livaï. Cela m'avait complètement réveillé. Mais il était si mignon que j'ai craqué, je me suis rapproché discrètement et il n'avait même pas réagit que je l'ai embrassé...

— T'es sérieux Eren !!! Hurla Armin.

— Le pire est que Livaï n'a rien dit ni réagi, il a répondu à mon baiser.

— En vrai je le cachais bien mais j'aimais le gamin. Comment je m'en ai suis rendu compte alors que je suis sans sentiments sur mon visage. C'est simple. J'ai toujours eut cette jalousie énorme. Je haïssais Mikasa d'être trop proche d'Eren. Pour Armin, je le connaissais un peu. Il ne flashait pas sur Eren et c'était le seul sur qui je pouvais compter pour faire rire Eren quand il était triste. Je savais depuis longtemps que Mikasa était amoureuse d'Eren. Le pire est que je voulais Eren rien que pour moi. Je m'étais attaché à ce gosse.

— T'es sérieux Livaï-Aniki.

— J'étais devenu jaloux et possessif envers Eren ce qui m'était jamais arrivé jusque là.

Fin du Flash-Back.

— Depuis ce jour, moi et Livaï on s'est mis ensemble en s'avouant nos sentiments. Mais j'ai toujours gardé secrets de ses expressions. J'étais le seul à en profiter.

— Je ne pensais pas que cette évènement vous aurez si rapprocher.

— Et pourtant Armin, tu verrais mais Livaï est parfois un sacré charmant quand il s'y met.

— Et quand c'est toi qui me donne une tape sur mes fesses.

— T'en veux une !

— Tu le fais et tu dormiras par terre.

Farlan et Isabel ricanent de plus belle avec Armin qui ne pouvait plus se retenir.

— Le dernier qu'est à l'eau est une poule mouillée.

Eren courra que Livaï rage sur place et lui dit.

— ENFOIRÉ TU VAS MOURIR !!!

Eren ricane que Livaï courrait si vite qu'Eren essaye de lui échapper alors qu'il ricane à pleins poumons en longeant l'eau.

— REVIENS ICI P'TIT CON !!! TU VAS LE REGRETTER !!!