Cela faisait deux mois qu'Eren était dans le tube que Livaï avait exterminé tous les titans à lui seul. Hansi était trop content et pourquoi ? Parce qu'Eren n'était pas loin du réveil. Livaï emmena la famille d'Eren et Sieg le voir de plus près. Ils le voient dans le tube inconscient mais cela ne dérangera pas Livaï. Il s'était sacrifié pour lui, pour rester en vie.
— Où cela en est Hansi ?
— Il ne lui reste plus que un seul pourcentage et il sera libéré du titan Assaillant.
Ils furent surprit, Livaï s'approcha et posa ses mains sur la vitre du tube.
— Tu seras bientôt libre Eren...
— Il t'entend tu le sais ça Livaï. Il est peut-être dans un coma stable sans connaître la souffrance sans fin mais son ouïe et son cerveau fonctionne toujours. J'ai déjà fait l'expérience sur un assistance de connaître ce que cela fait les sensations.
— Merci du fond du cœur Hansi, Eren ne souhaitait pas mourir maintenant, il avait trop de chose à découvrir. Il voulait vivre longtemps.
— Une révolution est née en retirant du corps les titans primordiaux. Je suis satisfaite.
— Je suis surtout soulagé. Malgré tout, je ne peux me l'avouer mais Eren est si fort et courageux que même s'il perd un membre, un proche qu'il aime. Il garde le sourire alors que moi ce n'est pas le cas... Je n'ai pas vécu une enfance assez facile.
— Livaï !!
— J'étais destiné à mourir à moins de dix ans. Si mon oncle ne s'était pas occupé de moi. Je serais mort depuis longtemps de faim et de lumière.
— Que veux-tu dire Livaï ?
— Eren a connu la chaleur, le soleil depuis son enfance mais pas moi. J'ai connu la pauvreté, les ténèbres, l'obscurité.
— Caporal, c'est sérieux ?
— Appelle moi Livaï, Sieg, Eren est le soleil et moi les ténèbres. Nous sommes deux identités différentes mais nous sommes tous les deux pareils.
— Et tes parents ?
— Mon père je l'ai jamais connu, ma mère était une prostituée. Elle est morte de malnutrition et de maladie. Moi cinq ans, mon oncle m'a prit sous son aile. A l'âge de sept ans, je savais déjà tué. Mon oncle m'a abandonné en me laissant pourrir. Je n'ai jamais connu cette amour maternel ou paternel. Je suis un peu comme le démon alors que lui, Eren... C'est un ange, le contraire de moi.
Hansi ainsi que la totalité des personnes ici présente n'étaient au courant de rien de son passé le plus sombre.
— J'ai dû apprendre à survivre seul. C'était la loi du plus fort comme on dit si bien. Les faibles n'avaient pas leur place ici. En grandissant, j'ai connu Farlan qu'est devenu mon ami d'enfance. On a eut comme idéo dans cette ville où j'ai passé la quasi moitié de mon enfance dans les ténèbres, à vouloir voler et aider les personnes malades ou blessés, qui ne peuvent pas payer la douane. Les médicaments valait quatre fois plus cher qu'en surface.
— Livaï, tu as survécu à tout cela alors que tu aurais pu mourir.
— Malgré tout ouais ! Eren a été le premier au courant de mon cœur le plus sombre. Même si j'avais le visage blasé. Eren savait lire à travers moi que même si j'avais ce visage. Je souffrais intérieurement sans jamais le faire paraître sur le visage. Eren connaissait mes faiblesses, mes sentiments que je cachais le plus possible pour paraître froid et sec. Mais Eren n'a jamais eut peur de moi ou même trahir ce que je ressens. Il me respectait autant que je le respecte. J'en étais presque jaloux de lui de le voir toujours sourire alors qu'il a subit des horreurs.
— Mon frère peut paraître gentil et dur mais au fond, lui aussi il souffre.
— Je sais Sieg. Et je l'admirais de montrer à sa manière qu'il est heureux malgré les évènements et qu'il avançait vers un pas meilleur. Je le jalousais parce que lui ce n'était pas du synthétique. Il le montrait à qui il le voulait sa faiblesse que moi j'ai toujours gardé ce masque pendant quinze ans. Je m'étais forgé un mur de pierre autour de mon cœur et seul Eren a réussi à me le briser.
— Tu es déjà bien courageux Livaï. Laisse-le t'ouvrir vers son monde.
— Cela fera partie de ma personnalité Hansi. J'ai été comme ça depuis mon enfance. Je ne pourrais jamais changer. Eren ne veut pas que je change.
— Alors soit fière de l'aimer parce qu'Eren ne serait pas dedans en ayant passé deux mois pour toi. Il t'a fait une promesse Livaï. La promesse de te revenir sans son titan. Alors ne sois plus triste.
— Le pire dans tout ça c'est que je me suis encore plus renfermé sur moi-même.
— J'ai une question !
— Carla ? Demande Grisha.
— Où est situé la ville de ton enfance si tu n'as jamais vue la lumière ?
— Pour vous répondre clairement. C'est sous la capital, sous terre exactement.
Ils sursautent tous à ces paroles. Ils étaient privés de la lumière depuis trop longtemps.
— Mais quand je me suis renfermé sur moi-même. C'était lors d'une excursion. J'avais pour mission de tuer Erwin, j'étais un criminel dans mon enfance. Quelqu'un nous avez embauché pour qu'on le tue. Je ne saurais qui s'était mais lors d'une excursion, Farlan et Isabel qui étaient pour moi devenu comme un frère et une sœur. On avait un déviant dans le paquet de titan à tuer. Seulement dans le brouillard et sous la pluie. Je ne voyais rien. Mon cheval a glissé et je suis tombé...
Livaï fit un claquement de doigt qu'il leurs montre le passage.
— J'allais pour tuer Erwin mais en cheval comme je l'ai dit, mon cheval a glissé et je suis tombé mais je suis tombé sur la tête d'Isabel séparer de son corps. J'ai été dévasté. J'ai été paralysé. Puis en me rapprochant du titan, j'ai vue que le déviant avait tué Farlan. J'ai été pris d'une force de rage de vouloir les venger que j'ai découpé le déviant à moi seul. Après ça, j'ai montré ma faiblesse à Erwin et quelque uns des membres du bataillon en pleurant. Je me suis juré d'exterminer tous les titans jusqu'au dernier. Ça été le même objectif que moi pour lui...
Ils reviennent à la réalité que Livaï regarda Eren que tout le monde le regarda.
— Après la mort de sa mère, dévoré par un titan. Eren s'est prit d'une détermination sans faille. Il s'est juré d'exterminer tous les titans jusqu'au dernier. Eren semble fort mais au fond de lui, il souffre. Je l'admire que c'est ce que j'en suis tombé amoureux. Son sourire, sa façon de rester fort malgré les pertes de ses proches et de ses amis. Plus je l'admirais, plus je devenais jaloux et possessif envers Eren. Je ne comprenais même pas pourquoi je voulais l'avoir que pour moi et être jaloux de Mikasa qui ne cessait de le coller de trop près. Puis ce fut ce jour où lui et moi on a eu notre premier baiser dans cette grotte après m'avoir réchauffer. J'avais finalement compris que je le désirais et que je voulais mourir à ses côtés. J'étais heureux de savoir qu'Eren m'aime en retour et qu'il faisait attention à moi, qu'il lisait à travers moi.
— Tu l'aimais plus que tout ?
— Beaucoup trop !! Je voulais me le garder, le protéger dans mes bras.
— Cela fait combien maintenant que vous êtes ensemble.
— Bientôt un an, cela nous fait exactement huit mois.
— Huit mois, cela est rare de te voir tenir une relation aussi longue.
— Rare ? Tu ne m'as jamais vue en couple. Eren est le premier. Et puis Eren et moi on a des caractère bien trempé mais qui se complète sur des points en commun.
— Trop mignon !!
— Org ferme-là quatre yeux !!
Soudain une alarme sonne qu'Hansi regarda sur l'écran et sauta de joie.
VOUS LISEZ
Attack On Titan - La Vengeance des Ackerman et du Pauvre Jäger. [Ereri/Riren]
Fanfiction/!\ /!\ AVERTISSEMENTS /!\ /!\ Cette fiction est à prendre au second degrés dans les passages humoristiques et vengeance des Ackerman et du pauvre Jäger. Les personnes qui prenne au premier degré sont priées de partir. Et il y aura des lemons à plu...