Finalement, ce réveil qui devait être encore plus nostalgique que la veille fut comme d'habitude, on avait compris qu'i, fallait bien que l'on se quitte un jour et que c'était mieux de le faire dans la bonne humeur. Le groupe un devait quand même partir en premier, on partait a 11h pourquoi pouvoir manger à Grenoble et on était sensé arrivée dans l'après-midi tandis que les autres partait a l'heure à laquelle on était sensé arrivée pour arriver chez eux le lendemain matin. J'aurai préféré être dans leur car, car comme ça j'aurais pu dormir la nuit alors que la on voyage de jour.
Quand tous le monde avait fi i sa valise et l'avait sorti de la chambre on n'avait plus le droit d'y rentrer donc on profitait pour prendre des photos souvenirs, on prit des photos du paysage, on fit des selfie, des photos groupés et des photos solos de chaque personne. Comme cela nous aurions beaucoup de souvenirs.
Vers dix heures et demie, on décida de faire un dernier loup-garou avec tous le centre, le loup-garou c'est un jeu où chacun a une carte, il y a les loups-garous, les villageois, et les personnages spéciaux tels que la voyante, la sorcière et pleins d'autres. Bref, tout le monde aimait ce jeu donc on en fit un dernier, au bout du deuxième tour, on nous annonça que le bus était arrivés.
La je commençais a être comment dire stresse je me sentais mal, je n'avais pas envie de partir, puis tous ce passa très vite, on nous donna le pique nique et on commençais à vraiment sentir que c'était la fin, je ne pensais pas que ça me toucherait autant. Je sorti direct les lunettes de soleil car je sentais que j'allais craqué.
On monta dans le car et on regardais par la fenêtre on se faisait des coucous, on gardait le sourires mais au fond on était triste en plus Lisa et Leah se mirent à pleurer j'ai failli craquer mais je le retins je dis un gros câlin à Kevin, on voyait que lui aussi était triste des que le car démarra je sentais comme un vide dans mon cœur plus on se rapprochait de Grenoble plus j'étais triste, je ruminais, je pensais à tous ce que l'on a fait durant ces deux semaine toutes les émotions que j'ai ressentis. En plus un des monos nous mis notre chanson on chantait tous ensemble c'était encore un souvenir que j'allais garder, et je laissait une larme couler juste une pas deux une qui devait résumer tous se que je ressentais .
Étonnamment je ne regrettais rien, tous en valait la peine, même mes coups de gueules. Juste avant d'arriver à Grenoble on vit les deux monos s'embrasser, on attendait se rapprochement depuis le début de la colo et ça arrivait vingt minutes avant qu'elle parte car elle habitait à Grenoble.
Arrivée à Grenoble, on mangeait, Diane, la mono pa petit ce qui me redonnais encore envie de planter mais je me retins. On changea de bus j'étais toujours à côté de Kevin, Leah à côté de Rémy et Louis et Lisa ensemble. Je commençais à discuter avec Kevin.
«Tu vas beaucoup me manquer, l'informais-je
-Toi aussi, me répondit-il
-Menteur, tu penseras a moi une semaine peut-être deux puis à la rentrée tu succomberas au charme réunionnais.
-Mais non, je ne t'oublierais pas aussi vite,
-Mais tu m'oubliera, alors que je sais que moi a Noël je penserais encore a toi.
-Ne t'inquiète pas je ne t'oublierais pas, on se fera des Skype on parlera sur Facebook, en message, ne t'inquiète pas sera pas comme maintenant mais on gardera le contact.»
Il me disait plein de belle paroles mais je savais qu'aussitôt trentième à la Réunion il m'oubliera en voyant toutes ces fille filiformes en maillot de bain.
Je le savais mais je préférais que l'on se consacre au moment présent.
Dans le car je rendis a Kevin le pull qu'il m'avait j'avais dormi avec tous les soirs et maintenant il n'avait pus son odeur mais la mienne donc peut-être qu'il penserait a moi plus longtemps. Quand a moi j'avais mis de son parfum sur un de mes pull pour que même chez moi je le sentirais proche de moi.
Oh la la, qu'est-ce qui m'arrive je deviens fleur bleu, temp rends toi Laurie. 'Finalement je m'endormais facilement dans les bras de Kevin, en même temps comment résister, c'est comme un gros nounours, mon gros nounours.
Lorsque nous sommes arrivés à Paris on nous a réunis dans le stade pour nous rediriger vers l'endroit ou on devait aller. Kevin, Louis et Alicia devait partir a l'aéroport, des qu'on les appelait je commençais a avoir les larmes au yeux, je dis un câlin à Alicia, je tchekais Louis, et je pris dans les bras Kevin, j'en pouvais plus je commençais à pleurer dans son cou, il allais beaucoup beaucoup me manquer. On l'appela plusieurs fois pour partir mais je ne voulais pas le lâcher. Au bout d'un moment à mon grand regret il se détacha et il le donna une boite.
«Qu'est-ce que c'est ?
-Tu verra ouvre le quand tu sera chez toi.
-Promets-moi
-Je te le promets.
-Tu va beaucoup me manquer, mais je dois y aller. Je t'aime.»
Waouh, il m'a dit je t'aime, est-ce que je l'aime moi ? Est-ce que c'est sincère ? Si je ne l'aimais pas aurai-je été touché comme cela par son départ ? Je crois que non.
«Moi aussi je t'aime» répondais-je
Il m'embrassait et il dût partir, il allait vraiment me manquer je ne pensais pas m'attacher autant à lui en si peu de temps.
Après ces au revoies je me retrouvais seule avec Rémy quand mes parents arrivèrent, je lui fis un gros câlin et je partis, j'étais encore toute chamboulée.
Mes parents le questionnèrent sur l'identité de Rémy, heureusement qu'il ne m'avais pas vu avec Kevin, sinon qu'est-ce ce qu'il aurait dit ?
«Alors Lauréna je te parle, qui était-ce ? Me interrogea ma mère
-C'est mon meilleur ami.»