Chapitre 5 : Flash Back 2

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12 décembre 1998

PVD Drago

Je m'affale sur mon lit. Mon meilleur ami, Blaise Zabini, allonger sur le lit voisin, me regarde.

Blaise : alors Drago, tu n'as toujours pas réussi ?

Drago : ça se voit tant que ça sérieux ?

Il rit. Génial. Dans 3 jours, c'est le bal de Noël, je voudrais inviter Astoria, mais je n'y arrive pas.

Blaise : j'vais t'aider. Viens, on a cours de Potion avec Slughorn.

Je soupire. Merveilleux, en plus de ça ma journée de cours n'est pas finit. Je me lève et sors du dortoir avec Blaise. Dans le couloir, on tombe sur Daphnée, la sœur d'Astoria, qui est en train de l'embêter et de l'insulter avec ses copines. Encore et toujours. De vraies gamines. Blaise s'éloigne alors que je m'approche. Je prends une voix grave qui tonne dans le couloir.

Drago : Laissez la en paix. Daphné, c'est mon dernier avertissement.

Elles s'éloignent en grognant. Je m'approche et aide Astoria à se lever.

Drago : ça va ? Elles t'ont fait quoi ?

Astoria : rien, elles m'ont juste emmener voir un pont sauter.

Elle sourit, comme toujours, fessant style que tout va bien. Nous marchons côte à côte dans le couloir. Je me décide à briser le silence.

Drago : dis moi Astoria... Tu serais d'accord pour... Venir au bal avec moi ?

Elle lève sa tête et me regarde, étonnée. Évidemment, elle n'a pas du recevoir énormément d'invitation, et ne s'attendait sûrement pas à ce que moi, je l'invite. Puis elle retrouve son merveilleux sourire.

Astoria : oh oui Bien sûr Drago ! J'accepte avec plaisir !

Elle me saute au cou, je rougis et elle aussi en s'en rendant compte. Nous nous séparons et nous sourions, gêner. Puis, je la quitte devant sa salle de cours de métamorphose. Tour les deux, nous nous rendons chacun à nos cours, un sourire aux lèvres, heureux.

15 décembre 1998

PVD Drago

Ça y est, c'est le jour du bal de Noël. Je suis dans la chambre que je partage avec Blaise et on finit tout les deux de se préparer. Blaise est le cavalier d'une fille se nommant Sarah et moi je suis le cavalier d'Astoria. Alors que j'enfilais ma veste, un hibou se pose sur le rebord de ma fenêtre. Je ne le reconnais que trop bien, c'est celui de ma mère. Je vais prendre la lettre et j'ouvre le parchemin pour le lire.

Mon cher fils,

J'espère que tu vas bien et que tu continue de pratiquer un minimum la magie noire. C'est une courte lettre mais je t'annonce que le 30 décembre au soir, nous recevrons Mr et Mme Greengrass ainsi que leurs deux filles, Daphnée et Astoria. Ce sont de bons amis à ton père et moi.

En te souhaitant bon courage jusqu'au vacances.
Ta mère.

J'hésite entre déchirer la lettre ou pousser un cri de joie. Je vais devoir supporter Daphnée pendant une soirée mais je serai avec Astoria pendant une soirée !! Blaise me jette un regard interrogateur.

Drago : c'est une lettre de ma mère, les Greengrass viennent chez moi le 30 décembre.

Blaise : tu vas devoir supporter Daphnée, bonne chance. Après, tu seras avec Astoria, ce serait une bonne occasion.

Drago : c'est vrai. Viens, Sarah et Astoria doivent nous attendre.

Il acquises et nous descendons. Nous nous stoppons net dans les escaliers vers la salle commune, en même temps. Nous avons devant nous deux beautés pures. Sarah a une robe beige et à relever ses cheveux châtain clair en chignon et Astoria porte une robe bleu nuit et à laisser ses cheveux ondulés détacher, contrairement à d'habitude. Nous restons quelques minutes sous le charme de leurs beautés, sans pouvoir avancer ni parler. Elles, elles discutent toute les deux. Ça doit être Astoria qui a ouvert à Sarah car Sarah est une Gryffondors et est l'une des rares Gryffondors à ne pas me regarder de travers. Nous les rejoignons enfin.

Blaise : vous êtes magnifiques les filles !

Elles rougissent légèrement toute les deux et Blaise passe son bras autour de la taille de Sarah. J'approuve d'un signe de tête en direction d'Astoria. Puis je prends sa main toute douce dans la mienne. Nous sortons et nous dirigeons vers la grande salle. Quand nous arrivons, la salle est déjà très remplie. Comme Blaise et moi sommes en septime année, nous devons ouvrir le bal avec les autres 7ème année de Serpentard, mais aussi ceux de Gryffondors, Poufsouffle et Serdaigle. Je vois Potter avec Ginny et Granger avec Ron. Comme je m'y attendais. Blaise et moi entrainons donc nos cavalières danser, car elles doivent ouvrir le bal avec nous, malgré que Sarah soit en 6ème année et Astoria en 5ème. Mais les 7èmes années ouvrant le bal ont étaient sélectionnés. Il y a Potter, Weasley, Longdubat, Blaise et moi. Nous sommes face à nos cavalières en cercle, dos au centre. En cavalières, il y a donc Ginny, Hermione, Luna, Sarah et bien sûr, ma belle Astoria... Toutes les filles de Serpentard me regardent avec des yeux ronds et fusillent Astoria du regard. Puis la musique commence, nous nous avançons vers nos cavalières et commençons la danse. Au milieu de la chorégraphie, nous devons prendre nos cavalières par la taille et les soulever dans les airs en fessant un tour. Je le fais donc avec Astoria et en tournant, je la vois rire doucement, qu'elle est belle... Elle doit s'amuser, je suis heureux. Puis les professeurs nous rejoignent, et ensuite les autres élèves. Je danse avec Astoria pendant presque toute la soirée. Puis, je vais nous chercher des boissons. En revenant avec les deux verres, je me fais aborder une bonne dixaine de fois par des filles jalouses d'Astoria. Pfff... Elles sont pathétiques. J'apporte les boissons et Astoria me lance son magnifique sourire. Puis nous parlons pendant la soirée. À la fin de cette merveilleuse soirée, Blaise, Astoria et moi raccompagnons Sarah au dortoir de Gryffondors. Et enfin nous retournons au dortoir de Serpentard et nous couchons, un sourire aux lèvres, heureux de notre soirée.

Retour dans le présent

PVD Scorpius

J'écoute l'histoire de mes parents, fasciné. Mon père a l'air heureux que j'écoute avec tant d'attention. Quand il s'arrête pour boire un verre d'eau, au moment de son récit où il va se coucher après le bal, je lui dis comme un gamin.

Scorpius : continue papa, s'il te plaît !

J'ai un sourire jusqu'aux oreilles. Mon père pose son verre et me regarde en souriant, enfin, depuis 2 jours qu'il n'avait pas sourit.

Drago : d'accord d'accord, je vais continuer à te raconter.

Un acte de courage Où les histoires vivent. Découvrez maintenant