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Je vous passe une semaine.Franchement c'était pas la joie,Mark était presque tout le temps à la maison et je le faisais tous ce qu'il voulait,hier j'ai reçu un appel d'Ana qui me disait que le boss a dit que si je suis pas au travail aujourd'hui il va me virer.Donc j'ai pris mon courage à deux mains je me suis apprêté j'ai appelé Jorge,je me suis mise beaucoup de font de teint pour camoufler un peu mes blessures du visage et j'ai mis une paire de lunette,bon ça va aller je l'espère j'ai choisi une tenue qui me couvre tout le corps pour qu'on ne puisse pas voir mes bleus du corps,c'est vraiment triste!

Donc j'ai pris mon courage à deux mains je me suis apprêté j'ai appelé Jorge,je me suis mise beaucoup de font de teint pour camoufler un peu mes blessures du visage et j'ai mis une paire de lunette,bon ça va aller je l'espère j'ai choisi une tenue...

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je sors Mark est dans le salon je le salue,il ma lancé un de ces regards qui font froid dans le dos quoi!je suis partie monter dans la voiture qui m'attendait déjà.

une fois au boulot à peine je franchis la porte voilà qu'on me dévisage,homme comme femme,c'est saoulant à la fin.J'arrive dans mon étage,j'ai même pas la force de sourire ou parler je dis bonjour à Ana et je suis directement allé dans mon bureau,je me suis assise j'ai une folle envie de pleurer je sens que je vais pleurer si on me pose des questions ou quoi que ce soit!je reçois un appel du fixe,c'est Ana,le boss veut me voir dans son bureau maintenant pfff.

je frappe et je rentre,je marche très doucement et la tête baissé il me demande de prendre place ce que je ne manque pas de faire.il me fixe intensément comme si il cherchait à entrer dans ma tête j'ai toujours ma tête baissé quand il brisa ce silence atroce

 -lui:ou sont les papiers de l'hôpital pour justifier votre absence?

PARDON!ah bah parce qu'il me faut des papiers maintenant pfff

-moi:(stressé)hum...je n'en ai pas je me suis soignée à la maison

-lui:d'accord et vous savez souffert de quoi?

je sens mes larme me monté j'ai du mal à parler de tout ça

-moi:(avec une voix tremblante)j'ai fais une énorme chute dans les escaliers et je me suis cogné la tête contre le meuble en face de l'escalier donc j'avais du mal à me déplacer c'est tout

-lui:regardé moi au moins

je relève ma tête et il me regarde d'une manière vraiment bizarre comme si il savait que je mentais et qu'il m'analysais

-lui:d'accord bon on a des procès dans les semaines qui suivent et vous savez ce que vous avez à faire et désolé pour ce que les médias ont publié la semaine dernière

je sens mes yeux ce remplir d'un liquide salé mais je retiens se liquide où il est pour qu'il n'inonde pas mon visage

-moi:(petite voix)c'est rien

-lui:vous pouvez disposer

je me suis vite levé,quand je franchis ma porte j'éclate en sanglots dans le silence,je pleure en silence pour ma vie,mon mari,mes douleurs,ma vie d'avant,mon ancien bonheur.J'ai mal dans ma poitrine,mon petit coeur souffre je n'ai rien demandé à personne tout ça m'est tombé dessus et ça me détruit à petit feu cette immense douleur que ressens au plus profond de mes tripes,je suis assise où plutôt caché derrière mon bureau au sol adossé sur ce derniers pleurant en silence il n'y à que quand je renifle qu'on peut  m'entendre.j'entend la porte cogner je ne répond pas la personne va partir quand elle sera fatigué,au bout de quelque minute je n'entend plus rien je continue toujours de pleurer,jusqu'à ce que je ressente une présence à côté de moi,je me retourne et je vois Carlos qui s'assoie juste à côté de moi j'arrête direct de pleurer,il me tend le paquet de mouchoirs qui était sur ma table je prend et je m'essuie les larmes mais je continue toujours de renifler.

-lui:c'est qui?ton mari?c'est lui?

à l'entente du mot "mari" je fond encore en larme j'arrive même plus à parler,Carlos m'a poser ma tête sur son épaule et a fait passer son bras autour de mes épaules,je me sentais bien en sa présence,petit à petit je reprenais mes esprits il m'a donné un baiser dans les cheveux j'ai souris face à cet acte de tendresse.il m'a aidé à me lever et il m'a prise dans ces bras j'ai posé ma tête sur son torse et il me caressait les cheveux.

-lui:ça va aller t'inquiète pas!je serais toujours là pour toi

-moi:(petite voix)merci

on est resté comme ça pendant un bon moment jusqu'à ce qu'il brise le silence

-lui:pourquoi tu ne porte pas plainte?t'es avocat tu connais tes droit entant que femme

je l'ai direct repoussé je me suis éloigné de lui

-moi:tu ne le connais pas il va me faire la misère à sa sortie de prison je ne veux pas vivre dans la peur toute ma vie moi

-lui:et tu préfère quoi?vivre dans la douleur et la peur de te faire battre à chaque fois que tu ferras une bêtise involontaire?

-moi:(haussant un peu le ton)c'est mon mari!!!!!

-lui:d'accord c'est ton choix mais sache juste que je serrais là au cas où ta besoin

il s'est avancé pour me prendre dans ses bras

-moi:merci!

on a été interrompu par la sonnerie de mon téléphone j'ai même pas regardé qui c'était

             conversation téléphonique

  -moi:oui allô

-""""""":(sec)ramène tes fesses toute suite à la maison

merde c'est Mark je commence à paniquer je sais pas quoi faire où dire et Carlos ressentait ma peur mais il n'a pas dit mot heureusement!

-moi:(paniqué)je...suis...encore...au travail

-lui:j'ai dit toute de suite!

-moi:oui j'arrive

   BIP BIP BIP 

je regarde Carlos qui me regardait attentivement

-moi:hum...excuse moi je dois rentrer

-lui:ah il te réclame déjà?

-moi:arrête stp

-lui:ok ok rentre mais faut savoir que demain tu rentreras vraiment tard

-moi:ok d'accord au revoir

j'ai pris mes affaire je marchais vite pour sortir de l'entreprise.

une fois à la maison je vois Mark assit au salon les coudes sur ces genoux et ces mains qui soutenaient sa tête.

-moi:bonsoir...

-lui:vient devant moi!

j'ai même pas perdu de temps j'étais déjà en face de lui

-lui:met toi à genoux

j'exécute direct,mes yeux ce remplissaient déjà de larmes ma vision devenait flou et comme si je savais j'ai reçu un claque qui n'était pas de mon âge,ça ma propulser au sol mes larmes on commencé à inonder mon visage

-lui:(calme)pourquoi depuis là t'es pas encore tombé enceinte?

-moi:(en sanglot)je...sais...pas...certainement on ne s'y prend pas bien!

j'ai reçu une autre claque encore plus forte que la précédente c'est comme si ma mâchoire abandonnait mon visage la douleur là à encore accentué mes larmes

-lui:(calme)qu'est ce que tu insinue?

-moi:rien...rien...je te jure...rien

il m'a attrapé par les cheveux et a murmuré dans mon oreille

-lui:je dois apprendre que t'es enceinte le mois prochain sinon tu verras que je peux te faire pire que tout ce que je t'ai déjà fais jusqu'ici!

il m'a lâché et il est sortie de la maison.Je suis resté là à pleurer comme si ma vie en dépendait.

Mon mari Mon cauchemarOù les histoires vivent. Découvrez maintenant