Partie 25

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Tessy :

Cole m'ouvre la porte de sa voiture et me tend sa main. Je glisse donc ma main dans la sienne et le laisse le guider jusqu'à l'immeuble. Il tape un code de sécurité et nous emmène à l'intérieur du grand hall. Nous faisons quelques mètres pour arriver à l'ascenseur.

Cole installa l'une de ses mains en bas de mon dos et m'abdiqua de rentrer dans la boîte de fer. Il lâcha ma main tapa sur l'un des numéros et se recula pour s'appuyer contre la paroi derrière lui.

Il me fixe, les yeux brillants. J'entendis que son souffle était erratique puisque celui-ci respirait fort, très fort.

Je le fixa à mon tour, une chaleur monte crescendo en moi. Je souffla pour calmer mes ardeurs mais rien y fait. Je ne pouvais m'empêcher de désirer Cole, en un seul regard.

Puis, alors que nous nous fixions toujours, un grognement guttural sorti de la bouche de Cole. Il murmura des parole inaudibles avant de se jeter sur moi. Il pose ses mains avec rapidité sur mes joues et plaque vivement ses lèvres contre les miennes .

La violence de son action fut si brutal que mon dos heurta la paroi à mon arrière.

Cole pousse un autre grognement avant de faire bouger ses lèvres contre les miennes. Il ne mit pas beaucoup de temps pour franchir la barrière de mes lèvres.

Il descendit ses mains sur mon dos et me colla à lui . Il m'attrape les fesses et me soulève légèrement. Je ne pris pas mon temps en patience et calla mes jambes autour de sa taille.

Nos lèvres ne se quittes pas, nos soufflent sont erratiques, nos corps sont en fusion...

Ding... Ding.

Cole râla avant de se détacher de moi, il me fit descendre de sa taille et me prit la main pour me coller à lui. L'ascenseur s'ouvrit , nous sortons de la boîte en fer.

Cole :

Je me sens presque étouffée, tant la chaleur de mon corps est haute. Alors que je conduisais Tressy jusqu'à mon appartement, je sentis une odeur de cramer dans le couloir. Je me tourne vers ma journaliste et la regarde incrédule.

- Tu le sens ? Je demande à la hâte.

- Oui, il y a quelques choses qui brûle.

Je me précipite immédiatement chez moi. Je déverrouille la porte rapidement et entre dans mon appartement, l'odeur était forte. Je me dirigea vers ma cuisine, Tressy sur mes talons.

En arrivant dans ma cuisine, je vis qu'une fumé noire sortait de mon four. Je me dirige vers mon outil et l'ouvre rapidement. Je poussa un soupir rageur lorsque je vis qu'un torchon de nettoyage était rester dans le four.

- Tu peux aller ouvrir les fenêtres ?

- Oui, j'y vais.

Tressy part alors ouvrir les fenêtres. Je pris un peu d'eau dans un verre est le renversa sur le torchon. Le brûlé partie mais je ferma mon four puis enleva le nettoyage automatique.

- Comment cela se fait il qu'il y est eu du brûlé dans ton four ? Me demande Tressy.

- Et bien, ma femme de ménage à encore oublier certain détails. Dis je rageusement.

- Oh...

- Va te laver, je vais régler quelques détails avec elle.

- Quoi ?! Mais Cole il est minuit passé !

- Basta ! Elle avait cas éviter de foutre le feu à mon appartement !

- Mmmh... Je vais aller me changer alors.

Je regarda Tressy s'éloigner de moi. Je soupira longuement en le passant les mains sur le front.

Que cette ménagère m'insupporte !

En plus des 3 derniers accidents, il a fallu qu'elle en reproduise un .

La première, il y 6 mois , était un " oubli " dans ma salle de bain. Elle m'avait dit :« Oh monsieur Devis, je suis véritablement désolées. C'est en nettoyant que j'ai du fermer votre bouchon de baignoire par accident... J'ai fait couler l'eau comme vous me l'aviez demandez pour que l'odeur du produit s'évapore mais comme j'étais occuper à repasser, j'ai totalement oublié de refermer l'eau. Je suis navrée ! » Cette gourde avait fermer le bouchon ...

Quelle idiote !

La seconde est le coup où elle avait nettoyer le carrelage mais elle n'avait pas bien éponger. Une grosse flaque d'eau était testé en plein milieu de ma cuisine. Quand je suis rentré au soir, j'étais content que voir une grosse flaque dans ma cuisine.

La troisième fois, elle avait malencontreusement fait tomber sa bassine d'eau de javel sur mon canapé. Cette fois, j'étais prêt à la viré car elle m'insupportait mais elle m'a supplié de la garder. Elle allait faire des efforts et j'y ai cru. Pendant 3 mois, elle a été irréprochable mais aujourd'hui elle recommence.

Je ne vais pas être aussi gentil cette fois ci.

Je sors mon portable de ma poche et appelle ma ménagère.

- Monsieur Devis ??

- Madame Sauyers !

- Pourquoi m'appelez vous à une heure si tardive monsieur Devis ?

- Peut être pour vous faire part de votre travail.

- Ah... Ah bon ...

- Figurez vous Madame Sauyers que mon appartement a manqué de brûler !

- Oh mon dieu ! Comment es ce possible ...?

- J'espère que vous pourriez m'èclairer sur ça ! J'ai retrouvé l'un de vos torchons dans mon four que vous lancer au nettoyage automatique !

- Oh quelle gourde je fais ! Je suis désolée... J'ai dû oublier de sortir mon torchon après avoir nettoyer votre four avant de le lancer en mode nettoyage...

- Vous mesurez les conséquences de vos actes ? J'ai failli perdre mon appartement madame ! Imaginez que l'immeuble aurai aussi pris feu ?! Par votre faute en plus !

- Pardonnez moi monsieur...

- Il ni a plus de pardon ! Je vous vire et pas besoin de me supplier, je ne reviendrai pas sur mes mots !

- Monsieur De...

Je lui raccroche au nez.  Une chose est faite, il ne le reste plus qu'à accomplir la seconde . Je me lève et vais vers ma chambre.

À nous deux ma belle Tressy !

𝕃𝕖 𝕥𝕣𝕠𝕦𝕓𝕝𝕖 𝕕𝕦 𝕞𝕚𝕝𝕝𝕚𝕒𝕣𝕕𝕒𝕚𝕣𝕖 ⁽ᴿᵘˢˢⁱᵃⁿ ˢᵃᵍᵃ ¹/ᵀᵉʳᵐⁱⁿé⁾Où les histoires vivent. Découvrez maintenant