Attention, tout petit lemon.
PDV Alec
J’ai une rage profonde en moi. J’ai besoin que cet homme paye le mal qu’il a fait à Liam. Ce Tony, c’est un monstre et il est libre, il fait sa vie comme si tout était normal, comme s’il n’avait pas commis d’acte monstrueux.
Depuis la lecture de la lettre écrite par Steve, il y a trois semaines, Liam vas de mieux en mieux, il fait des progrès remarquable. Et même s’il a eu d’autre envie de se mutiler et qu’il a craqué quelques fois, je reste fière de mon ange et de tout le chemin qu’il a parcouru. J’aimerais qu’il ne le fasse plus, mais je sais que ce n’est pas si facile que ça, qu’il lui faudra du temps. Généralement, il me prévient quand il en a envie, j’essaye de lui faire penser à autre de choses, de canaliser ces idées noires, même si ca ne marche pas a tous les coups. Quand il craque, je ne lui dis rien, je le soigne, je l’écoute et je le soutiens dans sa culpabilité sans jamais le juger ni m’énerver. Je ne lui en veux pas, mon rôle est de l’aider peut importer ce qu’il peut faire ou penser et je ne le laissais pas tomber. Jamais.
Liam : Alec ?
Je laisse tomber mon téléphone de coter pour écouter ce que Liam a à me dire. Il est rouge et a les yeux baissé au sol. Il me fait craquer.
Liam : euh, on-on est tous seul a la maison aujourd’hui…
Moi : oui ? Je lui dis en me levant pour le prendre dans mes bras.
Liam : bah, euh, j’avais pensé que, euh, on-on pourrais, je sais pas…
Je rigole légèrement face à sa gêne en lui embrassant sa joue.
Liam : ri-rigole pas. Se pleind-t-il.
Moi : oui, pardon, continue mon petit ange.
Il rougie de plus bêle puis me prend dans ces bras. Je le sens me sentir avant de prendre une grande inspiration.
Liam : tu sens bon. Me souffle-t-il à l’oreille.
D’habitude, c’est moi qui fais ce genre de compliment, qui quémande un rapprochement ou même un câlin et la, c’est lui qui fais le premier pas, qui me complimente. Mon cœur se gonfle de bonheur, je l’aime tellement.
Liam : tu, euh. On pourrait regarder un film ? J’ai demandé à Lucas son ordi, et enfin, on va dans la chambre, dans mon lit. Et puis on peu parler ? J’ai beaucoup réfléchie a toi et je me pose beaucoup de questions.
Moi : alors on fais ça. Je lui réponds en l’entrainant dans sa chambre.
L’ordinateur de Lucas est déjà sur son lit signe qu’il avait déjà prévu ma raiponce. Je souris en voyant son regard fuyant puis nous nous asseyons cote a cote.
Liam : on peut, juste parler avant ?
Je fronce quand même les sourcils. De quoi veut-il me parler ? Il veut rompre ? Il ne veut peut-être plus me voir ? Je l’ai blessé ? J’ai fait quelque chose de mal ?
Alec : de quoi veux-tu parler ? Je lui demande, nerveux.
Liam : de toi. Enfin, tu sais beaucoup de trucs sur moi et moi bah, je sais pas grand chose.
Moi : alors pose moi des questions.
Je lui prends ces mains puis me positionne face à lui pour pouvoir le regarder droits dans les yeux.
Liam : ça fais plusieurs mois que je suis ici et tu ne m’as jamais lâché, enfin, je veux dire, tu fais comment pour tes études ? Et Adam, m'a dit que tu faisais du basket, mais que tu avais arrêté ? Pourquoi ? À cause de moi ?
Moi : hey, doucement. Lui intimais-je. Pour mes études, nous sommes en août alors c’est les vacances puis je viens de passer mon BAC, que j’ai eux avec mentions assez bien !
Liam : tu m’avais pas dit.
Moi : non, je n’est pas trouver ça très important pour toi.
Liam : mais, moi, je veux savoir… Pour moi, c’est très important, j’ai envie de tout connaître sur toi, ce que tu aimes, ce que tu fais ou que tu as fait…
Moi : d’accord, je comprends, je t’en parlerais maintenant. Pour le basket, c’est vrai que j’ai abandonné, je n’avais plus la tête a ça, et j’avais raté les calcifications. Mais en aucun cas, ce n’est de ta faute, tu m’entends ! C’est ma décision.
Liam : d’a-d’accord. On regarde un film maintenant ?
Moi : non, j’ai envie de faire autre chose. Comme tu l’as dit, on est seul, alors on peut en profiter.
Ses rougeurs qui s’étaient estomper revienne encore plus. Je le trouve si mignon quand il rougit, alors sans arriver à m'en empêcher, je me rapproche pour plaquer un bisou sur le bout de son nez.
Moi : je peux t’embrasser ?
Liam acquiesça doucement en fermant les yeux. Je posai délicatement mes lèvres sur les siennes en fermant à mon tour mes yeux pour mieux profiter de se baiser. Liam commença de lui-même à bouger timidement ces lèvres ce qui me fis sourire. Si seulement il pouvait savoir à quel point je peux l’aimer, à quel point il met vital.
Après de longues minutes à nous embrasser, je m’écarte doucement puis ouvre les yeux. Liam est rouge et ces yeux son brillant, d'une lueur que je n’avais encore jamais vue dans les siens. Du désir. Il m'attrape la nuque d'une mains puis repose plus violemment ces lèvres sur les miennes, il s’allongea en m’entrainant avec lui, me faisant surplomber son corps du miens. L’atmosphère est de plus en plus lourd, nos peaux de plus en plus chaude, nos respirations de plus en plus hacher. Je rompis une nouvelle fois notre baiser pour déposer des baisers papillon sur son coup, pendant que Liam caressa de ces mains mon dos devenue brûlant par l'envie. Je commençai tendrement à lui lécher une partie de son coup avant de la suçoter avidement. Nos esprits embrumés, nous ne réalisions pas encore notre situation, nos positions et nos actes. Tout était si bon, si doux, si naturel. Si parfait. Je sentie les doigts de mon ange plonger dans mes cheveux pour les tirer doucement, par envie sûrement. Sa respiration lourde et brûlante devenait de plus en plus anarchique, incontrôlable. Et son premier gémissement se fit entendre pendant que j’aspirais sa tendre peau.
Liam : a-alec…
Liam se tendit d'un coup prenant conscience de notre état. Je me décrochais pour admirer son visage angélique qui était teinter de rougeur. Liam écarquilla des yeux la peur le prenant doucement et sa respiration se coupa.
Moi : tout va bien… Lui susurrais-je. On n'ira pas plus loin.
Toujours tendu, Liam acquiesça tout de même rassurer. Je ne voulais pas le brusquer, ni allez trop vite pour lui. Tout devait se passer à son rythme.
Liam : Alec… Commença Liam avec une vois plus aigüe que d’habitude. C’était bon.

VOUS LISEZ
Ne jamais perdre espoir
AléatoireJe n'y comprenais plus rien... J'avais juste voulu aller récupérer mon ballon qui avait rebondi jusqu'au parking du terrain de basket, qu'en un drôle de monsieur est venu me voir pour me proposer des bonbons. J'ai refusé, papa dit toujours " ne parl...