L'imprévu

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Il  part dans l'autre pièce adjacente à son bureau et revient avec un petit carnet , il m'incite à m'asseoir sur un sofa devant son bureau ce que je fait.
Il se place devant moi et s'appuie contre son bureau.
Il me détail, ouvre son carnet et prend un stylo sur la table de son bureau.
-Alors , comme ça tu m'appartiens désormais et jusqu'à tes moindres petits gestes? Dit-il en écrivant dans son petit carnet.
Je ne réponds pas,alors il lève ses yeux vers moi et poursuit.
-Et j'aimerai que tu me réponde quand je te parles. Car je n'aime pas parler tout seul.
-Je ne..je ne sais quoi vous dire Mr..
-Hmmm, Dis ce que tu semble le mieux à dire pour me satisfaire  et d'ici aujourd'hui tu m'appelleras Maître.

Alors là il prends ce pacte trop a coeur, mais je me retiens pour ne pas lui dire et dit un simple oui Maître .

Un rictus apparaît au coin de ses lèvres, et je sens que l'atmosphère vient tout suite de changer.
-Comme ton corps m'appartiens tu ne verras aucun mal à te mettre tout nue devant moi..
-Quoi!!! Cris ai-je .
Je n'en crois pas mes oreilles, il me demande de me mettre nue,il a certes eu le temps de me voir en sous-vêtement mais là , ce n'est pas la même chose , et en plus ce n'est pas une autres personne qui le fait pour moi, mais moi-même.

Il veux que ce soit moi...

Son rictus disparaît ,il dépose son carnet , met ses mains sur les accoudoirs du sofa et se penche vers moi, son visage n'est qu'à quelques petite centimètres du mien. Ses yeux semble lire en moi ,j'aimerai détourné mes yeux mais je suis comme hypnotisé.

Ce Bleu gris est si parfait et si  dangereux en même temps

-Tu serais prêtes à renoncé à notre pacte. Murmure t-il en se penchant à mes oreilles.

J'avale difficilement ma salive et il se redresse et me souffle:
-J'attends...

Je me lève à contre coeur et avance vers le milieu de la pièce, ferme les yeux et expire un grand coup ,c'est moi qui me suis mise dans cette situation ,je dois aller juste qu'au bout.

Je mets une main sur l'ourlet de mon pull pour le monté vers ma tête, je commence a l'a monté doucement priant pour qu'il m'arrête mais non ,il me regarde toujours appuyé sur son bureau.
Mon ventre et mon soutien-gorge se laisse paraître, quand je vais pour le passé dans ma tête.
On toque à la porte ,il s'avance pour aller voir qui le dérange en disant des mots incompréhensible dans sa barbe.
Je m'empresse d'arranger mon pull et reste au milieu de la pièce en regardant mon bourreau ouvrir la porte.
La porte s'ouvre sur un homme dans la cinquantaine ayant presque le même visage que mon bourreau.
-Père ? Dit-il un peu surpris.
-Ah,Je savais que j'allais te trouver chez toi. répond simplement l'homme qui est son père.

Il se tourne vers moi et me dis le plus calme possible :
-Assied toi et attend moi. m'ordonne t-il.
Il se retourne vers son père et le demande de le suivre avant de fermé la porte derrière lui.

Comme il l'a ordonné pour ne pas qu'il rompt notre accord je pars m'asseoir sur la chaise que j'occupais avant.

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Cela fait déjà 4 heures que je suis ici assis dans son bureau de temps en a autres Lise vient me voir m'apporte à manger ou a boire ,j'utilise la pièce de l'autre côté sur le côté gauche qui sont les toilettes pour faire mes besoin, je n'allais pas resté ici assise sans rien faire.

Je suis une humaine pas un robot.

Finalement Lise n'est plus venus et je commençai à tomber de fatigue ,je regardais par la  fenêtre et voyais que les dernier rayons de soleil disparaissent au fur et a mesure que l'heure avançait.

Je jouais avec mes doigts pour chassé ma fatigue c'était ma méthode depuis petite quand ma mère travaillait dans le bar tard le soir ,les 6 première années de mon enfance était comme ça quand mon père travaillait à l'hôpital ,j'étais toujours fatigué mais par chance j'étais toujours dans la catégorie des enfants surdoué c'est pour cela que j'ai terminer mes études a mes 17 ans et que j'ai emménagé dans un petit studio et trouvé un boulot pour payé mon loyer tant de fois ma mère et mon beau père m'envoyaient de l'argent j'acceptait mais les mettaient sur mon compte, car j'ai eu une bourse d'étude,
C'était en partie le fait que j'étais reçu à l'Université et Sindie non .
Elle avait fugué après le lycée .

J'ai commencé l'université à 18 ans et
C'est ma troisième année a l'Université et il a fallu que je soit enlevé et maintenant je marchande mon corps et ma vie contre celui d'un inconnu.
Je n' sais même pas s'ils savent que j'ai disparu.
Il pensent peut-être que je suis parti en Espagne.

J'aimerai tellement les prévenir que je vais bien.

Cet homme est le Diable en personne.
Et le plus drôle c'est que cela m'excite d'aller à la rencontre de ma curiosité.

Mes yeux se ferme sans le savoir, j'appuie ma tête sur la table face à moi et je suis déjà dans le monde des rêves.

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Pendant mon sommeil je sens des bras me soulevé je suis tellement fatigué que je n'ai pas la force d'ouvrir les yeux, au contraire je me raccroche à cette personne. En soufflant de bien être.

Je dis quelques chose que je ne me souviendrai peut-être pas demain matin.

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J'ouvre petit a petit les yeux et sens quelques chose me pesé un peu le ventre ,je passe une main sur celle-ci je touche un bras, je me tourne très doucement et remarque que le visage de mon bourreau n'est qu'a quelques petite centimètre du mien.

À cet instant il ne m'a jamais paru si beau si attirant si désirant ses traits  sont si fines et expressives, ses lèvres sont d'un rouge si goûteux.
Je n'hésite pas une seconde à remplir le minimes espaces qui nous sépare et dépose mes lèvres sur les siens.
Il ouvre subitement les yeux et ouvre sa bouche pour me permettre d'atteindre sa langue. Son bras se ressert contre mon corps couvert de frissons et me colle plus a lui je ne sens plus le linge qui couvre mon corps.

Je sens mon bas ventre se contracté et je ne demande qu'a allé plus loin. comme s'il lisait dans mes pensée il se sépare de mes lèvres et me pousse doucement sur le dos pour qu'il soit au-dessus de moi.

Ses yeux me regarde avec désir et envie .
- Je.... Je suis désolé....
Sont les mots qui sort de sa bouche avant de sortir du lit et de partir.

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Je sursaute ne croyant pas que je vient de rêvé moi entrain d'embrasser mon bourreau et le pire dans tout ça ce n'était rien qu'un rêve  et  j'ai adorer l'embrasser, je me touche les lèvres remarquant que je suis dans ma chambre.

Quel cauchemar........

Serai-je attiré par mon Bourreau???

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Vous vous êtes fait avoir.....

Le lemon est pour pas longtemps

Patienceeeeeeeeeee
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AlexOù les histoires vivent. Découvrez maintenant