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Le petiot m'avait donner son adresse, je m'étais alors empressé de me vêtir du premier vêtement trouvé : Un jogging d'une équipe de foot. Waw.

D'habitude, c'était tout juste si j'acceptais sortir aller acheter du pain comme ça, mais je ne voulais pas non plus me préparer si c'était pour finir en sueur et tout nu dans tout juste une heure.

Je me mis alors au volant de ma Citroën Saxo et me rendait rapidement à l'adresse donnée.

J'arrivais chez ce Jimin et sonnait. Il habitait dans une jolie maison.
Il venait m'ouvrir, vêtu seulement d'un tee-shirt Disney mi-long, non, pas de sous vêtements.

Je souriais tendrement en voyant ses jolies cuisses avant d'entrer après ses salutations. Sa voix était douce et aiguë, perverse. Il avait l'air d'un mec malsain à mille kilomètres.

Il venait doucement se blottir contre mon torse, me disant à voix basse, comme si c'était un secret, qu'il était impatient que j'arrive, ne pouvant plus attendre.

J'avais un rictus amusé tandis que je caressais sa joue, baissant la tête pour regarder sa tête de chiot battu et ses joues roses. Je souriais encore plus après ça.

— Présente moi ta chambre, d'abord.

Il prit alors la manche de mon haut entre son pouce et son poing pour m'amener à sa chambre.

— À partir de maintenant, tu peux faire tout ce que tu veux de moi, je suis dévoué, Namjoon. M'assurait-il d'un ton sûr de lui. Il était vraiment adorable.

Je passais une nouvelle fois ma main sur sa joue puis venait l'embrasser, lentement et avec tendresse.

Le baiser terminé quelques secondes plus tard, je le pris dans mes bras pour le poser doucement sur le lit, caressant ses cuisses tout en me plaçant entre elle.
Putain, sous mon touché, ses cuisses tremblaient, il suait et avait chaud, n'en pouvait plus rien que, après lui avoir enlever son haut, j'embrassais sa peau et jouait avec ses tétons.

J'aimais découvrir comme ça le corps de mes futurs amants avant de vraiment commencer le sexe.

Alors j'enlevais alors mon haut, et après ça tout s'était déroulé très vite.

Je l'avais retourné, plaqué sur le lit comme si j'étais un policier et qu'il avait commis un horrible crime.
J'avais claqué à plusieurs reprises ses grosses fesses, les voir bouger dans tous les sens après le touché de ma main m'était le mini moi dans tous ses états.

On pouvait déjà voir des traces de morsures sur ses fesses et dans son cou, j'étais sauvage et ses réactions étaient exquises, il adorait ça.

Voir quelqu'un tant en transe, sous vôtre toucher, vous rends fou. C'est un plaisir énorme. Je souriait à pleines dents tandis qu'il était là à m'implorer, me jurant avoir besoin de moi. J'étais plus que désiré par ce jeune homme qui caressait mon torse.

Il avait ensuite descendues ses mains bien trop baladeuses à mon goût dans mon caleçon, devant, me faisant encore plus durcir, puis derrière.
Je lui avait alors asséné une énorme gifle qui l'avait -étonnamment- surpris.

Il était ridicule et pleurait, je me délectais de chacune de ses émotions, n'importe laquelle faisait l'affaire.

J'avais ensuite tiré ses cheveux simplement pour m'amuser, et lui avais chuchoté au creux de l'oreille que c'était moi, le chef.

Dada' - MINJOONOù les histoires vivent. Découvrez maintenant