l'humain

53 2 0
                                    

           1-  Hérédité

Je raconte l'histoire certains pleurs

Son âme l'avait eu avant l'heure

Son corps l'avait pris avant tous

Ses gènes avait copié un peu de nous

Dans ces gènes avait les traces de l'ange de la mort

Mais dites moi qui de nous étais en tort

Car dorénavant son avenir étais scellé

Servante de nos larmes entremêlés

Dans le creux de notre orbites visuel

Ou arrivera le moment fatidique annuel

Et viendra l'ange t'arracher a moi

Mais je ne voudrais pas que tu soit de ceux la

Car a qui la faute si ce n'est ceux la

Qui se sont divise en deux pour toi

         

         2- Insomnie

Cauchemar a la forme d'un detritus

Charognard affamé sortie de l'usure

Ouvrant grandement Les  yeux vers le plafond

Tout espoirs quittant Notre monde vers le fond

Pensant a la détresse humaine je marche et je pleurs

Car, tous nos rêves nocturnes n'etais que des leurres

Couché au coeur de l'ombre je cours et je ris

Des tornades bouillonant dans mon Esprit

Oh ! La douleur des âmes

La question suivante marchant en Mon sein

Pourquoi m'a t'elle fuit ?

Qu'ont il fait a Mon fils ?

Rendez moi ce qu'on a volé a ma fille !

De tous sa qu'est née Mon insomnie

                 

                       3

Grand jour d'hiver, grand jour d'hivernage
Marchant  Dans Les rues comme a l'étalage
Cherchant à fuit a la hâte  la réalité au fictif
Du fictif a la réalité, autout de toi tout reste actif

Écrivain d'un soir magique peuplé de signes
Qui par le ciel étoilé ne s'incline
Plus que Les grands chateaux de fantasia
Quant a moi, moi oui d'une écriture de maestria

Repeins le beau decor ou tu vis, Mon Ami
Oh ! Dis moi, comment vont  ils, Mon Ami
Tous ce Beau  monde féerique

Auquel nul na accès que s' il garde son âme  d'enfant
Oh ! Aldute pathétique d'un soir qui ne pense
Même  pas a ses obligations que par orgueil

   

            4- Human

Assis devant ma fenetre visionnant Les deboires de mes semblables

Creature divine animé par un  orgueil marsien

De l'autre Côte de ma vue  errait un  homme en haillons

Dechu comme un  animal se
narguant de sa richesse d'antan

Pleurant la vie dans Les debris dont  l'hydromel eût la charite d'ignore

Quand trois balle  siffla d'un vent majestieux

L'homme s'ecoula le sourire au levre  se vantant

D'avoir  vecue

D'avoir aime sans aucun sens

D'être pleure avec une simagre de pitie pas Les siens

Qu'il eût dans  son regard une haine qui voulut tâcher le tableau qui se presenta a ses yeux

L'esprit joyeux il s'en alla avec Notre destin commun dans l'univers

orionOù les histoires vivent. Découvrez maintenant