orion

L'envers Du Décors

1-on m'a demandé

On m'a demandé ce qu'est l'amour
Je leur ai dit c'est être aveuglé
que la haine est la sensation d'être gelée
Et quand les roses poussent remplie d'épines  remémore toi ceci
L'amour et la haine sont deux faces de la même pieces

On m'a demandé que ferais je s'il s'emprenait à moi
Je leur repondrai
Mon cœur ne pourra s'empêcher de souffrir
Quitte à s'émeut de ton indifférence
Par moment je veux eclater de fou rire
Car mon manque de romantisme ne couvre pas ma carrence
C'est facile de le dire quand ton être se bat à la chamade
Mais mes lèvres tremble de terreur à l'idée de dire je t'aime
Qui ne se feront pour moi, ô âme égaré un jouet sans volonté
Triste esclave de mes débris, alors je marche à me perdre dans un songe sans fin
Laissant mon esprit balbutie des mots sans sens

Et que derrière l'envers de ce décors j'arrose ma fragilité
Car elle est faible comme ma volupté
Me rendant, moi digne fils des hommes
Serviteur de la gente féminine et de ses charmes
Dans mon cœur je porte un chagrin qui m'aidait des fois
À fuir de la ou je n'en ai le choix

2-Merci

La nuit ou la  journée, les étoiles brillent et vivent même si nous ne les voyons pas
Les fourmis vivent, mais différemment
Et mes orgarnes m'aident à survivre.

Je survivrais jusqu'à connaître leur véritable fonction.

En dehors de ma vie, ils me mènent au bonheur, l'esthase sans pareil.

Merci, c'est grâce à toi. Tu m'as ouvert  les yeux sur un autre monde, un que j'apprécie réellement.
Je ne survie plus, je vie.
De la surface  de l'épiderme, au fin fond de l'hypothalamus, ton touché me fait ressentir la vie.

À main nue ou armée, je ne peux jamais m'ennuyer à tes côtés.
Les scènes changent et deviennent de plus en plus intense.
Aucun sentiment, juste du ressenti.
Aucun soucis, plus de monde, juste toi, moi et nos jouets.

Mais de derrière ces phrases anodines
Ce cache en mon sein
Comme une lueur d'espoir
Ce peu d'image que j'ai de toi

Les mots n'ont de sens que pour exprimer nos désirs, mon désir.

Mes organes te remercient.

Ps : merci à @jaceolive pour ce magnifique poème