la dernière rose

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À mon bon maître


juste une larme, oh mon maître

pour que mon Âme de traître

du fond de l'abîme

se réjouisse de toutes ses dîmes

que dans le silence je vous ai offert

Combien de coup de fouet pour un homme de fer

quand le poids était lourd, je souris de vous servir

avec ferveur et en votre sein je voulue souffrir

vos insultes sont à mes oreilles une douce mélodie

comparé aux chants de ses mécréants derrière les barros



une minute pour un coeur


silence, de mon cœur j'ai craché ma haine

de mes yeux j'ai caché ma peine

et quand ses sourires narquois

me pointe la face

j'ai besoin de toi


calypso


les baisers sont des illusions comique

la trahison n'est que le reflet de l'adhésif

dans nos Bouches s'entremêlent la haine

et quand elle sentai l'extase l'envahir

à ma chair dorsale bien aimé

elle laissait une louange qu'elle écrivait de ses ongles

comme pour remercier nos anges

dans leur Clémence habituelle

de lui avoir céder le palais des cieux....

... envahit mes pensées afin que se trouble mon esprit

pauvre de moi égaré dans les couloirs du vice

de ma bouche dandine la fumée

dans mes pas gicle l'effet du Hennessy

ce soir encore je fête mes déceptions

car ce soir calypso viendra

déposer sur mes lèvres

la dernière rose

orionOù les histoires vivent. Découvrez maintenant