orion

la lumiere

1-A une inconnue

Cette nuit était parsemée d'une brise pluvieuse

Dehors le triste bruit de la ville régnait en sourdine

Quand le doux parfum de super marché me bercait dans une pensée enfantine

Passa une jeune fille au regard intriguant et charmant

Qui en un instant avait laissé choir cette lumière qui était enterré dans mes cachots cupidoniennes

Prenant mon courage en bandoulière m'armant d'une stupidité juvénile

Je m'élança a la poursuite d'une lueur puéril et insoudaine
Portant dans mon coeur les peines d'hier et de solitude

2-La lune

Au mariage j'étais mal luné, comme nos sentiments d'hier sombre et claire comme la lune

Dans un détail anodin j'ai scellé les émotions que ton visage représentais sur notre toile quotidienne

Alors du bas de l'échelle j'ai chanté la couleur pâle de ta peau, au point ou le vent jaloux courue se suicider en orient

La nuit tu règne comme une étincelle et les lucioles veulent te concurrencé

Mais leur lueur ne peut égalé la tienne

3-L'amour

Sombre mythologie qui voulue me bercé dans ses illusions et ses fruits féeriques

Quand la lumière se présenta, elle voulue m'offrir le soleil

Pris dans ses mirages, elle me montra la volupté et ma fragilité

à mon tour, je lui prêtais allégeance et haine pour les larmes qu'elle a fait débordé du fleuve en dormir de mon esprit

De ce jour je sanglote de ma triste vengeance

4- Mélancolique

Encore une descente dans le noir afin d'y trouver la lumière

Les portes de l'enfer s'ouvrant sur nos tristes remords je pleure le paradis

Dans ma demie mort d'hier j'ai aperçus les arcanes de vos rêves et espoirs

Quand marcha l'ombre des charognes a la recherche des jeunes pouces d'espoir

De la votre peur a fais naitre un homme mort née

5- L'ivrogne

Portant la gloire de Bacchus-et-de-Saturne sur ces lèvres enivrées

Chantant les prodiges que lui procure les entrailles de l'ivresse
Noyant ses peines d'avant hier d'aujourd'hui, quand passa la muse de son corps chatoyant et apaisant

Ô lui enfant prématuré de la boisson titubant la ou la Qu'importe ou le vent mène
Insultant au passage d'un regard borgne plein de pitié une malpropre

Maudissant Éros de l'avoir conduit au chaines et supplice de l'hydromel