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-Mardi 19 Mai, France : Montpellier, 12:20- Tom Holland :
« Cam ? l'interpelé-je. »
Elle relève les yeux de Noah et s'approche de moi tout en continuant à le regarder.
« J'ai vu qu'il y avait un zoo pas loin, les animaux sont en liberté et on bouge dedans avec une camionnette, ça peu être cool pour Noah ? sourié-je.
— C'est une bonne idée oui, elle me sourit et embrasse ma joue. On lui fait la surprise ? »
J'hoche la tête en souriant à mon tour et embrasse son front avant d'aller chercher Noah.
« Eh bonhomme tu viens t'habiller ?
— Tomtom ! Regardes ! »
Il me tire vers le coin où il était pour me montrer un tat de fourmis. Je grimace et le porte en rigolant pour aller l'habiller d'un short en jean et un débardeur. Camille arrive vers nous et lui met ses chaussures. Je la fixe, elle et sa petit robe fluide blanche.
« On est prêt ! dit Camille en embrassant le petit.
— On va où ? demande celui-ci.
— Surprise bonhomme. »
Il me regarde en ouvrant les yeux en grand, comme s'il n'avait jamais eu de surprise. Je lui souris en coin et le prend dans les bras pour aller l'accrocher sur le siège auto. Une fois en route, je conduis et pose ma main sur le cuisse nu de Camille sans pour autant perdre de vue la route. Sa main frêle se pose sur la mienne.
« OH MAMAN REGARDE ! DES LIONS ! Woaaahhh ! Noah essaye de rugir comme un lion et j'éclate de rire. On dirait un chaton.
— Quelle imitation ! rigole la brune.
— Suis Simba moi ! »
Noah pointe son petit visage du doigt et détourne le regard pour fixer les guépards et tout autre mammifères. Camille sert ma main alors je pivote mon visage vers le siens. Elle fixe Noah, les yeux brillant. Je souris en embrassant le bout de son nez.
« Merci Tom... Il est tellement... heureux ? »
Je lui souris encore une fois et pose cette fois les lèvres sur les siennes.
« Au plaisir Madame. »
Elle me sourit en posant sa tête sur mon épaule.
Noah vient juste de s'endormir dans son lit car bien qu'il ne soit que 16 heures, il est complètement mort. Alors Camille vient d'aller le coucher pour une petit sieste, puisqu'elle compte le réveiller dans une heure à peu près. Moi, je la regarde sortir du jardin et s'approcher de la piscine où je suis. Elle enlève sa robe pour se retrouver en maillot de bain et entre dans l'eau chlorée.
« J'ai l'impression de ne pas te donner assez de temps, ça m'énerve, se plein t-elle en entourant mon cou de ses bras.
— T'en fait pas, la plus part de mon temps je suis avec toi, c'est cool. Tu m'en donne assez du temps. »
Je lui sourit en embrassant le coin de ses lèvres. J'entoure a mon tour sa taille de mes bras pour la serrer fort contre moi.
« Je t'aime, chuchoté-je contre son cou.
— Je sais Tom, je t'aime moi aussi.
— Non tu comprends pas... Camille je t'aime vraiment, avoué-je en la regardant. J'ai déjà dis je t'aime à d'autres filles en pensant les aimer, mais je t'aime. C'est pas juste de l'affection. Je t'aime juste toi, ta façon d'être, de parler, de bouger, j'aime ton fils aussi. Je t'aime toi toute entière juste toi. Je sais pas ce que je ferais si t'avais jamais décider de déménager, ou si tu serais encore avec ce connard, mais je remercie les choses de t'avoir mise sur mon chemin, parce que je serais perdu depuis longtemps. »
Je la fixe, elle et ses yeux marron, les petite larmes au coin interne. Elle le saute dessus en souriant ce qui nous fait tomber dans l'eau. Lorsque nous revenons à la surface je lui lance de l'eau et elle éclate de rire en me rendant la pareil. Elle pose ses lèvres sur les miennes avant de le relancer de l'eau. Nous passons au moins trente minutes à nous chamailler ou nous aimer.
Nous sommes plus calme, mon dos est collé au rebord et elle, entre mes jambes. Mes mains sont sur ses hanches. Un peu baladeuse et elle frotte son nez contre le mien tout en souriant. Je le laisse ensuite tomber sa tête sur mon épaule, en embrassant de temps en temps celle-ci. Je ne sais pas combien de temps nous sommes rester comme ça, mais Noah nous sort de cette transe. Camille sort de la piscine pour lui enfiler son maillot et Noah se dépêche de monter sur le bord de la piscine avant de dire quelque chose de surprenant :
« Papa papa ! Regarde moi ! dit-il avant de sauter dans la piscine. »
Camille et moi nous regardons, je sens qu'elle va dire quelque chose alors je la coupe :
