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-Mardi 19 juillet (un an plus tard) , France : Montpellier, 14:20- Tom Holland :
Depuis un an, beaucoup de choses se sont passées. Premièrement, Noah m'appelle « papa ». Pour de vrai. Comme Camille m'a fait comprendre une fois, dans le cœur de ce petit garçon, c'est moi qui suis son papa. J'aime qu'il m'appelle comme ça, c'est vraiment quelque chose de plaisant.
Ensuite, Ava nous à annoncer un très mauvaise nouvelle pour son couple à elle et Giovanni. Elle ne peut pas avoir d'enfant, du moins sa chance est minime. Le couple était dégoûter et Ava s'était vraiment sentie très mal durant un bon bout de temps, mais avec notre aide, à Camille, moi et Noah, Giovanni l'a aider à remonter la pente. Aujourd'hui elle est beaucoup plus forte que ça et continue d'essayer d'avoir un enfant. Elle ne perd pas espoir. C'est beau de voir qu'il y a encore des gens qui veulent et finitions par avoir ce qu'ils désirent plus au monde.
En parlant d'enfant et de bébé, quelques mois après nos vacances dans le sud de la France, Camille est tombée enceinte. Ça a fait huit mois et demie hier. Je le ramènerais toujours de la façon dont elle me l'a annoncer. Une façon banale en réalité, mais ça m'a tellement ému sur le coup.
Elle m'avait demander de la rejoindre dans la cuisine ou elle cuisinait avec Noah. Elle nous avait demander de nous asseoir et avait prit nos mains dans les siennes, avant de simplement nous dire qu'un petit être grandissait dans son ventre. Je me rappelle avoir compris et avoir fondu en larme son sa poitrine. Elle était morte de rire, ce qui avait aussi fait rire Noah bien qu'à ce moment là, il n'ai pas compris comment un bébé pouvais grandir dans le ventre de sa mère.
Nous avons donc décidé de changer d'appartement ensemble cette fois. On a trouver une petite maison, avec un petit jardin. On s'était dit que pour Tessa ce serait mieux, comme pour Noah et ce bébé.
Ce bébé, c'est une fille qui va s'appeler Sofia. Charlie m'avait demander des noms, et choisirait celui qu'elle préférerait. Sofia a été choisi pour sa signification qui est « sagesse » et pour son côté français et britannique.
- Tom ! m'appelle Camille avec une teinte de peur dans la voix.
Je pars donc dans la salle de bain et la trouve accroupis au sol, les pied dans son liquide amniotique.
- Je pars préparer Noah on y v-
- Sa tête commence de- aah... déjà à sortir, souffle t-elle. Tu vas devoir le faire, appelle le samu.
J'ouvre grand les yeux et attrape mon téléphone pour expliquer ce qu'il se passe a l'homme.
« Restez calme monsieur, vous pouvez le faire, j'en suis sûr, me rassure t-il. Premièrement, si vous avez des enfants, l'être les a l'écart, ça pourrait les choquer de voir un bébé sortir de leur maman, il pouffe et je ferme la porte de la salle de bain à clé. »
Après ça j'enlève délicatement le pantalon et la culotte de Camille qui se relève et s'accroche au lavabo en écartant un peu les jambes.
« Je fais quoi maintenant ?
— Dès que des contractions lui prennent laisser là pousser, je vous envoie le plus rapidement une ambulance. Votre adresse s'il vous plaît ? »
Je lui donne l'adresse et hoche machinalement la tête comme s'il pouvait me voir et reparte à Camille les instructions. Je regarde rapidement l'heure : 14 heures 30.
Rapidement la première contraction arrive et elle pousse, le bébé bouge d'à peine deux millimètres ; il est 14 heures 35.
- Ah Tom... ça fait mal bordel, dit-elle la voix serrée.
Je pose doucement ma tête contre sa cuisse pour lui montrer que je suis avec elle.
« L'ambulance arrive dans une quinzaine de minutes, j'aimerais faire plus vite monsieur, mais ce n'est pas possible je m'en excuse.
- Pas de soucis. »
Je pose le téléphone au sol en mettant la veut parleur.
« Bien, je vais maintenant vous guider, mais pour ça il faut le dire tout ce qu'il se passe et ce que vous voyez.
- Eh bien elle vient de pousser et il a bouger d'à peine deux millimètres.
- D'accord, dans ce cas laissez là pousser, contraction ou non. »
J'ai je encore une fois la tête et, comme elle a entendu Camille commence à pousser. Cette fois le bébé bouge beaucoup plus et je pourrais bientôt voir ses sourcils. Je m'explique à l'homme.
« Mettez votre main sous la tête du bébé, si jamais il sort d'un coup. L'ambulance arrive maintenant dans 11 minutes. »
Les minutes passent et Camille commence à fatiguer, pourtant la tête de Sofia est sortie. Il faut juste qu'elle pousse encore quelques fois.
- Pousse encore un peu Camille, et je te promet que je la sors. »
Durant de longue secondes Camille pousse comme une folle et j'arrive à sortir Sofia. Il est 14 heures 58.
L'ambulancière me dit d'enlever mon t-shirt et d'enrouler ma fille dedans pour ne pas qu'elle ai un choque thermique et que l'ambulance arrive dans maintenant deux minutes. Ils sont au bout de la rue. Pourtant il me dit que je dois couper le cordon ombilical et l'aide de chaussette propre. Je fais ce qu'il me demande et ai pile le temps de couper le cordon et de poser ma fille dans les bras de sa mère qu'on donne à la porte.
J'accours ouvrir sous les petits yeux de Noah.
- Papa il se passe quoi ? Pourquoi maman a crier ?
- C'est rien bonhomme, t'en fais pas.
J'ouvre la porte aux ambulanciers qui se diriger vers la salle de bain assez rapidement. Lorsqu'il voit Camille assise au sol et Sofia dans ses bras, l'un d'eux se tourne vers moi.
- Vous avez fait du bon travail, c'est parfait. On va quand même les emmener pour vérifier que tout ce passe bien, surtout pour la petite, la garder quand même quelques jours, comme pour un accouchement banal. Suivez nous avec votre fils. »
J'hiche la tête et pars préparer Noah pendant qu'ils emmènent Camille et Sofia.
- Sofia est là ? C'est ça ? me sourit le petit bonhomme.
- On va aller la voir à l'hôpital maintenant, elle va bien.
Ma fille a mit 28 minutes à sortir, exactement.
Au final, les médecins m'on félicité pour mon sang froid, et les deux femmes de ma vie allaient parfaitement bien.
Il est temps de changer de chapitre et commencer cette vie qui relie une fille que tout le monde pourrait califier de « banale » et moi, Tom Holland. Même si nous sortons ensemble depuis longtemps maintenant, cette fois, même si on se sépare, j'animais toujours ma fille pour me raccrocher à la femme que j'aime ainsi de Noah, qui est mon fils.
