Chapitre 2 💭

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Ma tête me fais atrocement mal, je vois flous, ou même rien. Mais... Je ne vois rien du tout en fait.

Mon dieu...

Où est-ce qu'on m'a emmené ? Je ne me rappelle plus de rien. Ha si... Un homme, ou peut être deux. Oui, deux. C'est bon, je me souviens. J'ai été kidnappée par un meurtrier !

J'essaie de bouger mais je crois que mes mains sont attachés derrière mon dos. Je suis assise sur une putain de chaise et je ne peut rien faire.
Alors je cris, mais quelque chose m'en empêche.

Je ne comprend pas, pourquoi m'avoir attachée de cette façon ? Où suis-je ?

Vaincue, je laisse tomber toute tentatives de fuite pour l'instant. Je ne peut rien faire.

Je ne sais pas exactement combien de temps je suis restée là, assise à réfléchir à cette situation (puisqu'il n'y a rien à faire d'autre...) Mais un bruit me ramène à la réalité.

Un bruit de verrou je crois... Donc j'étais bien enfermée seule dans une pièce.

Le bruit d'une clé dans une cérrure et très vite remplacée par des bruits de pas. Ceux-ci se rapprochent de plus en plus. Je me rend compte alors que mon corps tremble au fur et à mesure que les bruits s'intensifient. Dois-je me méfier ?

Mais une voix rauque et grave vient briser le silence :

- La princesse est réveillée ?

(Comment veut-il que je lui réponde avec ce truc sur la bouche ?)

L'homme retire le bandeau qui recouvrait mes yeux ainsi que le tissu sur ma bouche.

Bien sûr, je reconnais l'homme qui se trouvait dans la rue face à l'épicerie.

- Qu'est-ce ce que vous me voulez ?

- T'as vraiment cru que j'allais te laisser partir comme ça après ce que t'as vu ? Je sais très bien que tu serais aller voir la police.

- N'importe quoi, qui vous a dit que je le ferais ?

- Peut-être parce que t'étais en train de les appeler non ?

Zut, j'avais oublier ce passage là...

- Je vois qu'on a pas encore bien repris ses esprits apparemment, rigole t-il.

- Où est-ce qu'on est ?

- Je t'ai autorisé à poser des questions ?

Je baisse la tête, incapable de soutenir son regard plus longtemps.

Il sort ensuite un couteau de sa poche. Prise de panique je fais un mouvement brusque pour tenter de lui échapper, oubliant que je suis encore attachée.

Mon ravisseur laisse échapper un rire.

- Je vais pas te tuer, ou du moins pas encore.

Il s'approche de moi avant de couper les liens qui me rattachent à la chaise.

Je regarde mes poignets, encore rouge après le frottement des cordes sur ma peau.

Je n'ai pas pris le temps de regarder ou je me trouvais. Nous sommes dans une pièce plutôt petite, froide et vide, que je décidais comme une cave.
Il n'y a rien ici à part la chaise sur laquelle j'étais assise et quelques vieux meubles.

Une faible lumière provenant de plafond m'aide à percevoir mon ravisseur. Il est bien plus grand que moi et plus fort aussi... J'essaierai bien de m'échapper en courant mais il me rattraperai en deux secondes.

𝙎𝙩𝙤𝙘𝙠𝙝𝙤𝙡𝙢 {En Cours D'écriture}Où les histoires vivent. Découvrez maintenant