Piège (suite)

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La personne qui m'appelait au téléphone c'était Omar (le cousin de keyna) et le lieux où je devais le rencontrer était dans une maison presque délabrée dont tout voisinage lui était quasi éloigné.

Après avoir suivi ses indications je me retrouvais déjà dans cette maison. Face à Omar.

Il semblait être seul et s'était assit au bord d'un meuble. Malicieux qu'il était, il souriait et me regardait d'un aire extravagant...

- Karim, karim, karim te revoilà en fin...
- Je t'ai trouvé et maintenant dis-moi qu'est ce que tu me veux ?
- Pas si vite, on a tout le temps
- Je n'ai pas de temps à perdre avec toi
- Justement tu vas en perdre encore plus si tu connu à me manqué de respect, modére ton language avec moi
- Le respect ça se mérite à ce que je sache
- Mérite ? Tu ose t'introduire dans MA FAMILLE pour toucher à ce qui M'APPARTIENT et tu parle de mérite ?
- Écoute primo j'ai été accepté par ta famille, secondo si c'est de keyna dont tu me parles sache que son choix est porté sur moi autrement-dit je suis son homme.

Soudain il se mit à rire et à applaudir...

- Tiens tu n'est qu'un prétentieux rigolo toi, tu n'as toujours pas compris que tu perds ton temps avec keyna , elle va finir le restant de sa vie avec moi. Dans trois semaines elle va se marier à moi de force ou de grès. Et tu sais les cousins sont fait pour les cousines c'est ainsi de même pour les cousines alors tu vois que tu n'as pas ta place chez nous! Ce serait plus sage pour toi de te mettre à l'écart de keyna ou sinon je risque pas d'être clément avec toi.
- Tu me menaces ?
- Oh que non c'est un conseil
- Tu sais quoi? j'en ai rien à branler ni de ton conseil ni de ta clémence. Et puis d'ailleurs je suis au courant de ce que vous mijotez toi et ta mère.

D'un bonde il se tînt debout en fronçant ses sourcils.  Visiblement il était surpris de mes propos mais il riposta...

- Que veux-tu dire par là  ?
- J'ai moi même découvert ce qui te pousse à marier keyna,  pour saisir toi et ta mère tous les biens de son père. Tu sais ce qui se passera si je racontais à keyna et à ses parents ce que vous avez derrière la tête ?
- Tu ne diras rien. Bien et comme tu sais tout maintenant, tu risques de tout gâcher. Je vais devoir t'éliminer...

À peine qu'il eut terminé de parler, apparaîent derrière moi 3 gars cagoulés sortis de nulle part.
Ils étaient tous armés de lourds bâtons, Omar leur ordonna de me tuer et du moment où ils s'apprêtaient à s'attaquer à moi je me suis jeté sur le premier qui s'approchait,  je lui ai enfoncé un opercule, il tomba par terre et quand je voulus passer au suivant je reçus un coup très violant sur la tête venant d'un autre, ce qui m'assomma.

J'étais ensanglanté alors ils m'ont crû mort puis ils m'ont mis dans une caisse, on aurait dit un cercueil. Ensuite ils m'ont enterré non loin de la maison et ils sont partis me laissant pour mort.

Quelques heures après l'avènement tragique, Omar alla voir sa mère...

- Les choses ne se sont pas passé comme prévu mère
- Qu'y a-t-il mon mon fils ?
- Karim est mort j'ai dû le tuer
- Ce n'est pas ce que tu étais censé de faire tu vas nous attirer des ennuies maintenant, je t'avais dit de seulement le menacé de rester à l'écart de keyna.
-  J'aurai pas fait mieux de le tuer mère, il savait tout sur nos plans, le mariage, et pour l'héritage...
- Quoi? Mais c'est impossible comment a t-il sû?
- J'avais pas eu le temps de le savoir mère
- Ce n'est plus important, tu as raison tu n'aurai pas fait mieux de le tuer sinon il aurait foiré nos plans. Je suis fière de toi mon garçon et maintenant nous allons passer aux étapes suivantes, convaincre mon frère de marier soukeyna à toi
- Et s'il refuse mère?
- II faut toujours un plan B au cas où le plan A échoue. S'il refuse je connais une poudre de forte dose qui pourrait lui causer une baisse de tension celà pourrait même lui mener à la mort et je suis certaine en ce moment il pensera à ma proposition, celle de vous marier soukeyna et toi.

Des heures passèrent keyna n'avait plus de mes nouvelles, elle tentait de m'appeler mais j'étais injoignable.

À la tombée de la nuit, un vieux environ d'une soixantaine d'année passait au dessus de là où j'étais enterré, il attendit la sonnerie d'un téléphone sous la terre.

C'était mon propre téléphone qui sonnait, Omar et ses gars avaient dû oublier de me le prendre. faut dire que c'est à mon téléphone et au vieux que je dois à survie, sans eux je serais mort étouffé dans la caisse.

La sonnerie continuaient à sonner et c'est là que le vieux s'est mit à creuser jusqu'à atteindre la caisse d'où je me trouvais inerte et inconscient

Karim & keyna (mon alter ego) Où les histoires vivent. Découvrez maintenant