Ma grande souffrance s'enfuira seulement
Sous les coups déchaînés de la longue araignée.
Ce n'est pourtant faute de compter les années...
J'attends voir la buée résorber patiemment.À toi, Amour, d'un été qui dure toujours ;
Tâche sur mes murs de papier. Amer amant,
Âpre vie qui t'écarte, me fais faire un détour !À jamais, je le crains, je te regarderais.
À m'en arracher les yeux, je te le promets,Je brûlerais pour toi. Je t'envierais, mon Amour.
Nino M., 15. 10. 2019.
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