Chapitre 5

6.2K 334 99
                                    

Pdv Gaël :

Leo... Leo, mon espris se noit dans les questions concernant son visage, mais quesqu'il a ? Et pourquoi je mis intéresse ?! Il c'est sûrement fait ça chez lui, en tombant, ou.... Mais Quesque j'en sais après tout ?

L'histoire geo est passé bien vite, je ne m'intéresse pas du tout à tous ces gens qui étaient déjà morts, que tout le monde faisait semblant d'admirer mais que en vrai, on s'en fou tous totalement de eux. Le seul mort que j'aime bien c'est Michael Jackson! Lui c'était un vrai de vrai!

La sonnerie retentit, 9H25, enfin, marre d'entendre le professeur, je sors de cette salle et je prend une grande inspiration. C'est horrible comme cette matière m'ennuis. Malgré tout, dans l'histoire, y'a au moin un truc que j'aime bien. La mythologie. Ça c'est vraiment génial. J'en suis un mordus. Je pourrais écouter pendant des heures entières les histoires de tous ces dieux grecques et des romains. C'est fascinant.

Je sens sur mon épaules une pressions. Je me retourne et vois un visage pâle.

- Merci pour mon skat,c'est gentil. La voix de Leo était douce et fragile. Comme si elle pouvait se briser en mille morceaux d'un coup. C'est joli à entendre, sa aussi je pourrais pendant des heures l'écouter parler.

- C'est rien t'inquiète pas. Je pointe du doigts sa joue. C'est quoi "ça" ?

Il a hésité et m'a finalement lancé.

- je me suis pris une porte.

Je pouffe de rire dériere ma main alors qu'il me dévisage, un sourire maladroit au bord des lèvres.

- Bah fais attention enfin !

- J'ai pas fais exprès.

- Je m'en doute bien.

Je lui ai souris et lui ai lancé un regard amusé avant d'aller avec lui à notre prochain cour.

- Tu devrais quand même aller à l'infirmie tu sais.

- Tu crois ?

Il s'est arrêté alors que nous étions dans l'escalier pour aller au 3ème étage, là où se trouve notre cour.

- Bien.. Oui ? Si tu as mal et que, je baisse le son de ma voix, tu veux sécher un peux les cours, va si.

Je le vois hésiter puis sourire.

- OK !

- Cool! Je viens avec toi, ça me fera par la même occasion, une escuse pour rater le cour hehe.

Il a rit. Quel joli rire ai-je pensé.

Nous somme redescendu et aller à l'infirmie tout les deux, l'infirmiere — une vielle dame qui a sûrement, d'après ce qu'on dit, dépasser les 1000 ans — nous a laisser aller dans la pièce à coter ou il y avait deux lits pour les malades. Leo c'est assit et moi aussi, puis il c'est allongé. Je l'ai regardé.

- Tu comptes dormir ?

- Pourquoi pas.

Je suis rester silencieux. Je n'avais pas besoin de dire quelque chose. Il n'y avait rien à dire. Je me suis adossé contre le mur, assis sur le lit, avec Leo allongé. J'ai fermé les yeux. Un silence total reigne dans la pièce. C'etait agréable une foie de temps en temps de ne rien entendre. Seulement le bruis de nos respirations se faisaient légèrement entendre, et encore il fallait tendre l'oreille.

9H48. J'ai ouvert les yeux, et à vue Leo, les yeux fermé aussi. Il avait l'air innocent, sans défense. Un enfant.
J'ai détourner le regard.

Pdv Leo :

9H48. Allonger sur le lit de l'infirmie, les yeux fermé et Gaël assis à coter de moi, je me suis sentis bien. J'allais presque m'endormir. J'en avais envie. J'en avais besoin.

J'ai arrêté de pensé à mon père, ma mère. J'ai tout simplement pensé à moi, à mon sommeil. Je me suis endormi. Là, à coter de Gaël.

Je rêve. Je rêve de mon skat, j'étais dessu, en plein campagne pendant un coucher de soleil. Sur une autoroute déserte,j'ai ouvert les bras, et comme un avion, je me suis laisser rouler dans le vent le long de cette ligne droite.

10H30. Ce n'étais qu'un rêve. J'ai ouvert les yeux. Gaël aussi c'etait endormi.
J'avais mes jambes allonger sur les sienne par manque de places, une de ces mains était sur mon genoux et l'autre sur ma cheville. À travers mon jean, j'ai sentis la chaleur de ça peau. Sa m'a apaisé. Je n'avais pas envie de bouger.

Puis dans mon bonheur silencieux j'ai pensé.

Je ne peux plus me permettre de laisser ma mère. Mais comment faire, elle travaille de nuit, sa veux dire que la journée elle est à la maison, et mon père aussi. Il peux tout arriver à maman pendant ce temps là... Qu'elle ordure. Réfléchi Leo. Réfléchi.

La réalité m'a vite rattraper. Malheureusement, j'ai eu beau tourner toutes les situations dans ma tête, je n'ai rien trouver. C'était la merde vraiment.

Leo. T'es vraiment rien qu'un naze! Tu peux rien faire c'est pathétique.

Je me suis mordu la langue à force de réfléchir autant. Sa ma fais mal, mais pas asser pour que je bouge. C'est Gaël qui a bougé. Je l'ai regardé. Il a ouvers les yeux. J'ai fermé les miens, va savoir pourquoi je faisais semblant de dormir.

Je me suis demander ce que Roméo et Juliette on ressentis pour savoir qu'ils étaient amoureux l'un de l'autre.
Pourquoi cette question?
J'e n'en sais rien.

________________

Il est 2h11 du matin, j'avais oublier de poster un chapitre et me voilà en retard dans ma promesse personnelle de poster tout les jours, du coup, je le poste alors que je dors à moitier.
Youpi
Désolé si il y a pleins de fautes T^T
C'est que je suis un peux fatigué moi.

Le Petit Prince & Le Miserable [bxb] Où les histoires vivent. Découvrez maintenant