Le Petit Prince & Le Miserable [bxb]

Chapitre 11

Pdv Leo :

11H50. La porte s'ouvre alors que je suis dans le salon avec ma mère. Elle m'aide à faire un devoir.
Ma mère est heureusement patiente avec moi, je ne lui en remercirais jamais assez.
Je tourne la tête vers mon père. Il ferme la porte en la claquant.

- Bonjour. Ma mère a pris la parole. Sa voix était directe.
Mon père n'a pas répondu, il l'a juste regarder en tremblant. Apparemment, il avait du beaucoup boire. Décidément...

- Anna, sort moi une bière du frigo.

Ma mère c'est alors lever pour se diriger vers le frigo.

J'ai regardé mon père dégouté.
Il m'a vue et a continué :

Quesque t'a toi?!

- Rien. J'me disais juste que t'avais déjà dû assez boir comme ça.

Il c'est lever et c'est approché de moi.

- Répète un peut ?!

- T'a pas déjà assez bu?

Je me suis lever pour être à sa hauteur, ne me laissant pas dominer par cet ivrogne.

- T'a pas retenu la racler de la dernière fois ? Et de toutes les autres?

-Faudrais que t'apprenne à frapper, je sens jamais rien.

Il m'a attrapé par le col de mon tee-shirt.

Pourquoi je ferme pas ma bouche des fois ?! Ma fierté me coûtera la vie un jour.

Il a ris et ma plaquer contre le mur.

- Viens par là toi, que je te dresse pour de bon.

Il m'a attraper par les cheveux et ma emmener dehors, il m'a pousser dans l'herbe où je suis tomber tête la première.

Il a relever ses manches et à cracher par terre. Je me suis relevé.

- On va voir si un morveux comme toi peux me battre.

- Tu t'ennuies t'en que ça?

- Tu devrais changer de ton.

Je n'ai pas répondu. Une boule au ventre c'est former en moi. Je savais bien que j'allais souffrir, mais j'avais peur quand même. J'avais fais mon fière et maintenant je devais assumer. Quelle honte. Moi qui paraissais si sûr de moi, je vais me prendre une raclée.
Je l'aurait voulu, ça m'apprendra.

L'homme devant moi c'est mi en position de combat, moi je suis rester immobile. Il s'est avancer vers moi rapidement et avant qu'il ne me touche avec une droite je me suis baisser et me suis jette sur lui pour le plaquer au sol.

MAIS QUEL IDIOT!!!!! PUTAIN D'INSTINCT DE SURVIE ! je suis foutu...

Il s'est retourner et c'est mit à cheval sur moi, et à enchaîner les coups de points. La douleure était insupportable. Horrible même. Je voyais carrément mon sang sur ces mains.
Au bout d'un moment je ne sentais plus rien.

Ma mère à commencé à crier.

- Lâche le !!!!! Tu vas le tuer si tu continues !

Après quelques secondes, mon père m'a lâcher et s'est levé. Tout son poid sur moi et partis et j'ai enfin pu respirer. Ma mère c'est baisser sur moi les larmes aux yeux me touchant le visage inquiète.

- Idiot !

J'ai souris, ironique. J'avais l'impression de vivre les mêmes choses indéfiniment. J'ai fermer les yeux et me suis sûrement évanouie car à mon réveille j'étais dans mon lit, ma très chère maman a coter de moi, me nettoyant le visage avec un gant et une bassine d'eau à coter. Elle chantonne.

Elle chantonne toujours quand je pleure, quand elle me soigne, et dans des moments difficiles.
Elle sait que sa me rassure.
Elle m'a dit un jour que quand j'étais dans son ventre et que j'étais agité, elle chantonnait et je me calmer. L'habitude est resté.

J'aimerais lui dire que je suis désoler, mais à peine j'ai ouvert la bouche elle m'a interronpu.

- Tu es un brave garçon. Courageux. Gentil. Une grande gueule. Je t'aime... Je t'aime tellement. Si un jour, il venait à t'arriver quelques chose je ne m'en remetrai jamais.
Ne te bagarre plus. Ni avec ton père, ni avec personne.
Jamais!

J' avais envie de pleurer. De hurler ma tristesse et ma honte. Mais je n'ai fais que hocher la tête.
À l'intérieur de moi, une peur plus grande encore que toute les autres est apparu. Celle de rendre triste ma mère.

Elle m'a pris la main. Et me la caresser du pouce. Elle a pleuré. Pas de tristesse. Pas de colère. Pas de bonheur. Elle a juste pleurer.

J'ai fermé les yeux, pour ne plus la voir.
J'en avais assez de cette situation. De devoir faire subir ça à ma mère.

*

Je suis dans la salle de classe. Quelle matière ? Aucune idée, je suis venu dans les abysses en traînant des pieds. Il serait trop me demander de suivre le cour.

J'ai juste remarqué le regard de toutes les personnes de la classe ma lançant des regards effrayer. Ouais... J'avais une sale gueule...
Un œil au beurre noir. L'arcade ouverte et des bleues sur les joues.
Même ma clavicule n'était pas encore totalement guéris.

J'ais sentis sur moi le regard de Gaël. J'ai tourné la tête, et, effectivement, il me regarde. Un grand sourir sur ces lèvres. Il m'a fais passer un mot :

Au putain, il c'est passé quoi? Ta une sale gueule !__ je sais !!! __Tu t'es battues? Me dit surtout pas que tu t'es pris une porte.__j'ai souris __viens me voir après le cour.

Gaël.

J'ai regarder Gaël, il avait perdu son si joli sourir. Il avait l'air de s'inquièter pour moi.

*

Je suis sortis de cour et Gaël m'attendait derrière la porte.

- On sèche ?

- Oui. Il m'avait répondu si facilement, comme si c'était une évidence. Viens.

Je l'ai suivi jusqu'aux toilettes.
Puis il c'est retourner et ma lancé un regard qui pourrait tuer n'importe qui.

J'ai degluti.

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Désolée du retard 😭😭

Entre les cours et les révisions je suis débordée :'/

J' espère au moin que ce chapitre va vous plaire !
J'ai des idées pour la suite :D

Bise <3