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C'est mon premier essai de One shot, je vous demande donc d'être indulgent et de me signaler toute faute d'orthographe ou de grammaire ! Ce One-shot portera sur le couple Grindelwald x Dumbledore.

Bonne lecture !

Albus Dumbledore, alors âgé de 28 ans était en train de faire cours à des élèves de 3e année, quand soudain, le destin frappa à sa porte ! Le destin, ou devrais-je dire Minerva Mc Gonagalle, fit une entrée des plus fracassantes (surtout pour la pauvre porte) et lui lança :

-Albus, il faut que je vous entretienne d'une chose de la plus haute importance ! après un regard sur la classe qui la fixait avec de grands yeux, elle ajouta : En privé !

Alerté par l'inquiétude qu'il décelait dans la voix de sa collègue, le sorcier congédia ses élèves en les enjoignant à aller réviser à la bibliothèque.
Une fois qu'ils furent seuls, la professeure de métamorphose prit la parole et lui expliqua la raison de sa venue :

-Un sorcier a transplané à l'entrée de l'école, il dit être un émissaire de Grindelwald et...il demande à vous parler.

À ces mots, le brun se crispa. Après quelques minutes de réflexions, à peser le pour et le contre, il répondit à Mc Gonagall qu'il était prêt à rencontrer l'émissaire du mage noir.

* * *

Dumbledore s'assit sur son bureau et se mit à regarder fixement le sorcier en face de lui, attendant qu'il parle. Ce dernier, légèrement intimidé (il était tout de même en présence du seul sorcier capable de rivaliser avec son maître) déglutit avant de se lancer :

-Grindelwald m'a chargé de venir ici vous demander un service...

-Mon meilleur ennemi qui veut se débarrasser de moi pour dominer le monde vous envoie me demander une faveur ? Albus éclata d'un grand rire amère devant l'ironie de la situation. L'émissaire ne broncha pas et continua d'un ton monocorde quoiqu'un peu hésitant.

-C'est ça. Je ne sais pas exactement de quoi il s'agit mais tout est sensé être indiqué dans cette lettre.

Sur-ce il, lui tendit une enveloppe couleur crème, au papier étonnement doux et marquée du sceau du mage noir : un dragon. Après l'avoir examinée, le professeur l'ouvrit et entama sa lecture :

Albus,

J'imagine ta surprise en découvrant mon partisan au pat de ta porte, t'amenant une lettre. Qui plus est, une lettre où je te demande une faveur ! Ou devrais-je dire de l'aide... (Dumbledore ricana) Tu te doutes donc que si j'ai mis mon orgueil de côté pour faire cela c'est que l'affaire est grave.

Écoute, je sais que nous sommes ennemis malgré nos années passées ensembles, mais j'ai vraiment besoin de toi ! Je me suis fait mordre par un Burunip oriental (enfin je crois que s'en était un), lorsque j'ai interrogé un employer du ministère. Le bougre le planquait dans son placard pour une raison des plus obscures. (le cœur du mage blanc rata plusieurs battements ; les personnes mordue par un Burunip, s'affaiblissaient graduellement jusqu'à être terrassées par le poison...Oui, les crocs de ces créatures étaient empoisonnés. Son ancien ami, et amant, n'avait plus que quelques semaines à vivre s'il n'était pas soigné sous peu !)

Tu es professeur de défense contre les forces du mal, tu dois savoir comment traiter ce genre de blessure. Et avant que tu aies le temps de formuler le reproche suivant : pourquoi ne te fais tu pas soigner pas un médico-mage de ton « armée »? sache que je refuse qu'un membre de mes « troupes »,comme tu aimes les appeler, me voit comme cela ! Car je vais mal, Albus, vraiment mal.

One shot et OSOù les histoires vivent. Découvrez maintenant