-Qu’est-ce qui t’a fait changer d’avis ?
- Je me suis dit que si j’acceptais après tu me devras une faveur et ça peut toujours être utile, dis-je en rigolant, il souri et redevint sérieux.
- Nan, mais vraiment.
- Bah la vraie version est moins drôle, c’est qu’aujourd’hui je suis toute seule chez moi et je n’aime pas rester seule, alors pourquoi pas enfin de compte sortir un peu, dommage que cela m’oblige à voir ton pote là.
Il paru un peu déçu. Mais je n’allais pas lui faire un beau discours et blablabla, je n’ai dit que la vérité, je suis vraiment venue parce que je n’avais pas envie de m’ennuyer.
Dix minutes de trajets et nous étions arrivé. A table entrain de prendre leurs petit déjeuner il y’avait les deux Jacks.
-Salut Alea ! Me dit Johnson et Gilinsky me souri et s’adressa à Nash.
- Je n’aurai pas pensé que tu réussirais à la ramener. Wow on se calme, je ne suis ni un objet ni une marchandise.
- Bon c’est pas tout, mais on a du pain sur la planche hein Nash ? Essayais-je de plaisanter et je crois que cette fois ça plutôt bien marché parce que Johnson a rit, c’est le seul, mais c’est déjà pas mal. Une fois devant la porte de la Chambre de Cameron, Nash se retourna,
- Je vais rentrer avant, pour lui demander si c’est ok si tu rentres, enfin tu vois ce que je veux dire. Non je ne vois pas. Il faut en plus attendre l’accord de Monsieur pour pouvoir entrer, je suis sûre que je suis venue pour rien. Quelques secondes plus tard Nash ouvrit la porte et me laissa rentrer.
- Je vous laisse, lança Nash. Euh quoi ? Non ce n’était pas prévu, ne me laisse pas seule avec lui. Il était assis au bord de son lit la tête entre les mains, il portait un jogging et n’avait pas pris le soin de mettre un T-shirt. Je ne pense pas qu’il soit nécessaire de vous décrire son corps, qui ma foi est très beau. Je me plaçai plus ou moins en face de lui, mais il ne levait toujours pas les yeux sur moi.
- Tu comptes dire quelque chose ou je peux attendre toute la journée ? Je ne voulais pas être plus désagréable que d’habitude, mais il fallait bien qu’un de nous deux ouvre la bouche, on ne jouait pas au roi du silence.
Il leva enfin les yeux et me regarda, il attrapa un T-shirt qui était sur sa chaise et l’enfila et finit par se passer la main assez rageusement dans les cheveux.
- Je… je suis désolé pour l’autre soir. Il n’avait vraiment pas l’air dans son assiette.
- J’accepte tes excuses, bon ciao, dis-je en me dirigeant vers la porte.
- Alea attends. C’était bien une des première fois qu’il prononçait mon prénom et cela me fila la chair de poule, ne me demandez pas pourquoi.
- Quoi ?
- Je pensais que tu allais me crier dessus, pourquoi tu ne m’insultes pas ? Il est pas bien ou quoi ? Il est maso ou ça se passe comment ?
- Tu sais je t’ai un peu cherché, je n’y suis pas pour rien. J’essayai de mimer un sourire.
-Tu n’as pas l’air de bien comprendre. Pas comprendre quoi ? C’est toi qui ne comprends pas que je suis en train de te faire « mes excuses ».
- Je me suis mal comporté l’autre soir et même toutes les fois où on s’est vu.
- Exact, mais c’est pas grave on ne peut pas s’entendre avec tout le monde, et a l’occurrence toi et moi on ne s’entend pas. Et donc les gens civilisés qui ne s’entendent pas, s’évitent et je pense qu’on peut se comporter comme des gens civilisés. Je me retournai pour prendre la poignée de la porte, mais il m’attrapa le bras, doucement, mais cela me fit quand même sursauter.
- Désolé, dit-il gêné, il lâcha mon bras.
- C’est ok. La seule que tu es capable de dire depuis 10 minutes c’est que tout est ok.
- Alea, je n’arrive pas à me pardonner.
- Tu m’as juste serré le bras, pas de quoi en faire tout un plat.
- Tu ne comprends pas, j’aurai pu aller plus loin, j’aurai pu te … frapper. Il serra les points et regarda le sol, il me faisait un peu de la peine, même si c’est censé être moi la victime.
- Tu ne l’as pas fait et c’est ce qui compte. Dis-je d’une voix qui se voulait réconfortante, je pensais vraiment ce que je disais.
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Nouveau chapitre !
j'espère qu'il vous plaira :)!
xoxox
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I'm not one of them
ФанфикNe jamais essayer de se faire détester par Cameron Dallas, c'est un conseil. Certes grâce à ça j'ai vécu des bons moments je ne me suis pas ennuyé pendant ces vacances , mais j'ai surtout compris que je n'étais pas de leur monde. Non, je ne suis pas...