The Lycampire - Phoenix

Chapitre 7 : Sans sacrifice nul victoire.

Après ce coup de fils, je savais que quelque chose n'allait pas pour notre sécurité à tous, je dû alors envoyer une voiture avec des hommes à moi pour gérer un peu le problème qu'il pourrait y avoir si cela s'aggrave, mais surtout que des invités indésirables ne se déplace pas vers ici. Car ce n'est pas du tout le moment de venir et de rajouter des problèmes en plus qu'il n'y en a déjà ici. Mais ce qui m'inquiétait plus que tout c'est de perdre notre druide qui est la pièce maîtresse de notre arsenal de personne. Alors deux voitures remplis de gardes partirent à toute vitesse pour être là-bas le plus vite possible. Ils arrivèrent alors et pour me prévenir qu'ils étaient arrivés et que tout le monde allaient bien, le chef des gardes m'appela en visio pour que je vois qu'il n'y a aucun soucis. Je leur dis alors de ne pas trainer et de rentrer le plus vite possible au manoir pour que je puisses lui parler et savoir se qu'elle avait découvert. Quand ils arrivèrent, je sentis une grande tristesse et beaucoup de peur, ce qui ce compris, car quand je vis la voiture à moitié remplis de balle je compris qu'un malheur était arrivé. Au moment de sortir de la voiture, je remarquai alors qu'il restait une personne allongé sur la banquette arrière, mais je ne ressentais rien dégagé de son corps. Ils m'annoncèrent alors qu'elle était morte non loin d'ici, une embuscade. Mais, juste avant de s'éteindre, elle avait dit deux choses : en premier, elle avait donner le nom d'une autre magicienne qui serait faire tout ce qu'il fallait, mais elle a dit qu'il fallait juste la protéger, car elle est fortement recherchée par ceux qui l'on tuée, mais par la même occasion ceux qui nous recherche. Après cela, je leur dis de descendre le corps pour la préparer et la mettre au frais, je creusa, creusa et creusa encore. Après avoir creusé très profond, je remontai et je préparai alors du béton et construit une "magnifique" sépulture avec comme phrase, "À nos amies déchue", mais mis en grec sur le dessus de la double porte ancienne "Στους νεκρούς φίλους μας". J'avais alors  pris plusieurs jours pour construire tout cela, mes camarades et ma femmes commençaient tout doucement à s'inquiéter, car je ne parlais plus vraiment et je ne me nourrissais plus par la même occasion. À la fin de la construction de la sépulture, Swann vint vers moi et me demanda si ça allait, car je ne leur parlais plus et ne leur dis plus grand chose, je lui dis alors : 

-Je suis désolé, je l'ai connu sans la connaître dès mon arrivé et c'était devenu une très bonne amie et ça mort m'a vraiment touchée.

-Je comprend, mais tu sais que nous sommes la si tu as besoin, je suis ta femme donc je serais de toute façon toujours là pour toi.

-Oui, je le sais et je ne vous remercierais jamais assez surtout toi qui est devenu ma femme après très peu de temps, mais que j'aime plus que tout.

À la fin de notre petite discutions, je demandèrent aux gardes qui étaient non loin d'aller chercher le cercueil et après avoir fait une cachette secrète ou pouvoirs mettre un objet précieux qu'elle avait sur elle, nous rendîmes un dernière hommage.
Après ce magnifique hommage, nous rentrâmes et je me dirigea alors vers le bureau dans le quel je n'avait jamais mis les pieds et m'assis sur le siège. Je ne savais pas vraiment se que je pouvais faire, puis me rendis compte que nous avions même pas un livre de référence ou trouver les information sur ce que nous trouvions. Dans un premier temps je commença par faire différent parchemin ou j'écrivis une énigme pour trouver les différentes choses caché dans le domaine, si les gens ne se souviennent plus ou c'est caché. Après avoir fait, c'est parchemin je préférai arrêter de travailler et aller retrouver ma compagne et nos deux amis, pour me reconcentrer sur la sécurité de tous et surtout prévoir la suite.

Quand je les rejoints alors, ils étaient assis sur le canapé, je pris alors un verre et les rejoints. Avant de m'asseoir, je me servis un verre et m'assis à côté de ma femme qui vint se blottir directement contre moi. Je pris alors une gorgé et dis :