The Lycampire - Phoenix

Chapitre 8 : La lame ne fait pas l'homme, mais l'homme fait la lame

Le reste de la soirée c'était passé tranquillement et pour passer une bonne nuit, Swann et moi décidâmes d'aller passer une bonne nuit dans notre chambre. Vers 4h de matin, nous décidâmes de nous mettre sur la terrasse pour profiter du lever de soleil qui allait arriver dans peu de temps. Après ce merveilleux lever de soleil, nous décidâmes de nous préparer et de descendre pour aller déjeuner. Quand nous descendîmes, nous vîmes que nos deux amis, pour une fois, était en bas avant nous et qu'ils avaient préparé un bon petit déjeuné. Nous prîmes alors ce bon déjeuné et profitâmes de la dégustation à quatre, pour lancer la discussion et préparer la journée je dis : 

- Je ne sais pas vous, mais je suis motivé à faire beaucoup de chose.

- Oui en effet nous aussi.

- Qui va s'occuper de quoi aujourd'hui alors ? 

- Swann dit : Moi, je vais aller m'occuper des chevaux.

- Alex dit : Moi, je vais aller entrainer les gardes et former les nouveaux.

- Drake dit enfin : Nous, nous devons allé terminer la construction de la dépendance de Mathilde.

- À ce que je vois tout le monde ces déjà ce qu'il va faire aujourd'hui. 

Après que nous eûmes fini de déjeuner nous partîmes chacun de notre côté afin de commencer notre journée. Pour commencer, Drake fit alors une grosse quantité de ciment et en versa dans deux sceaux, il en prit alors un et je fis de même, puis nous commençâmes à poser les briques les unes après les autres. Nous avions alors pas mal avancé au moment où Swann et Alex vinrent nous rejoindre, après qu'elle est alors vu l'avancement nous rentrâmes et nous nous posèrent un petit peu. Alex s'assit alors après nous, car elle était allé chercher quatre vers et la bouteille de bourbon pour en boire un avant de continuer la journée. Je me dis alors que nous avions quelques entreprises et que nous n'avions pas encore fait une seul visite de celle-ci depuis leurs achats. Après ce bon petit verre, pendant que Swann, Alex et Drake partirent pour faire la visite des différentes entreprises et vérifier que tout va bien, je partis qu'en à moi dans un premier temps monter les chevaux. Alors qu'une bonne parti de l'après-midi c'étaient passé, je dis que j'allais me mettre en route pour aller chercher des entrepôts à acheter, quand je tomba sur un complexe à acheter. Nous nous arrêtâmes alors et nous prîmes la direction du bureau de patron pour savoir qu'elle était le prix de ce complexe. En arrivant devant, nous vîmes que personne n'était là et il y avait une seul pancarte avec écrit : "Veuillez contacté l'avocat Lonely pour toutes informations.". Étant donné que nous n'avions pas encore d'endroit où nous pouvions ranger les marchandises, je décidai de contacter notre avocat pour certifier la vente de ceux-ci et je contactai par la même occasion ma femme pour lui dire de commencer la livraisons à cette adresse. Je suis ensuite rentré au manoir en reprenant le plus long trajet que possible pour ne pas se faire attaquer. En arrivant, Swann m'attendait sur le pat de la porte, ou dès que je descendis de la voiture elle vint directement dans mes bras, puis nous rentrâmes et nous préparâmes un petit apéritif pendant qu'Alex et Drake partirent chercher les documents récupérés dans les différentes entreprises pour que l'on y regarde ensemble. Pour continuer correctement le suivie des différentes entreprises, nous décidâmes de faire une farde par entreprise et de mettre toutes les décision liée à celle-ci. 

Pendant que nous prenions ces décisions , Mathilde décida de venir dans la pièce où nous étions car elle avait besoin de pas mal de plante et d'objet pour faire tout ce qu'il nous fallait. Je lui proposa alors de dresser une liste et que les gardes s'occuperaient d'allé chercher les équipement qu'elle avait besoin, mais non elle devait y aller elle-même pour être sûr de tout ce qu'elle prend. Nous préparâmes alors trois voiture avec une seul consigne de protéger Mathilde dans tout cas, ce qu'ils feront de toute façon. Ils démarrèrent et partir alors en trombe pour ne pas perdre de temps sur ce qu'ils avaient à faire. À chaque arrêt qu'ils faisaient nous avions confirmation qu'ils allaient tous bien, mais rien n'est jamais tout blanc ou tout noir. Quinze minutes avant qu'ils rentrent, un garde vint me voir et me dit :