Le trajet fut silencieux durant un bon cinq minutes encore avant qu'on se mette à nouveau à parler, je continuer de penser à ce moment avec intrigue, sans vraiment comprendre ce qu'il venait de se passé entre nous. Il commencé à faire un peu noir, juste un peu. Puis nous nous sommes arrêté devant ma maison préférée, la bleue avec les oriels et les fenêtres blanches. Sous la neige, elle était encore plus belle. Bon, là il y avait un peu trop de neige, parce qu'il y avait encore neiger cette nuit.
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J'ai pris un moment à comprendre que c'était celle de Finn, mais je ne lui ai pas dis que c'était ma préféré de tout le cartier depuis que j'étais toute petite. J'ai essayé de caché ma surprise et mon émerveillement alors qu'on montait les marches du porche avant d'entrée dans la bâtisse.
On est directement tombé sur son père qui traverser le hall d'entrée avec un téléphone à l'oreille. Le visage de Finn s'est doucement décomposé et il m'a pris par l'avant bras pour m'emmener dans le garage. Ensuite, il a vite refermé derrière nous.
- Finn ! Mais pourquoi tu as fais ça, j'ai même pas eu le temps de lui dire bonjour !
- Ça me gène qu'il soit là, il est au téléphone avec le boulot et il nous dira "shut" chaque fois qu'on rigolera, j'ai une meilleure idée.
- Tu veux dire une meilleure idée que rester chez toi ?
- Oui, tiens, prend en une.
Il m'a tendu une luge puis a pris la sienne et on est sortie par la porte du garage. J'ai hésité à le questionné sur ce qui venait de ce passer, mais j'avais peur de m'aventuré sur un sujet sensible, et c'était pas franchement le moment de parler de trucs tristes ou contrariants. En plus, j'adorais faire de la luge, alors j'ai rien dis.
On a était dans un parc battit sur des énormes dunes où tout le monde venait faire de la luge en hiver. On en a fait pendant deux heures sans se lasser une seule minute, puis quand on est parti, c'était parce qu'on se disait que passait autant de temps à faire de la luge à notre âge c'était un peu bizarre quand même, mais c'était rassurent de savoir qu'on était deux à être un peu bizarre pour les même raisons. Avant de partir, on a fait un bonhomme de neige un peu bancale qui n'avais pas de bouche.
- Comment on l'appelle ? A demandé Finn.
- Je sais pas moi, Olaf.
- Roooh non, c'est pas drôle, tout le monde ici a appelé son bonhomme de neige Olaf.
- Oui mais le notre, il est spécial...
- Ah bon ?
- Oui, regarde. J'ai ramassé un bâton en forme de "L" et l'ai accroché dessus. Le notre, c'est un Olaf tueur de masse.
- Olaf le terroriste ! Trop marrant !
On a essayé de ne pas parler trop fort, parce que notre humour particulier avait tendance à ne pas plaire à tout le monde. Je l'ai pris en photo pour l'immortaliser, puis on est rentré chez nous en rigolant, oubliant tout ce qui s'était passé plus tôt aujourd'hui.
