11.

522 32 1
                                    

-Quoi? Lui Ai-je demander encore entrain de me frotter les yeux..
-Oui, je te jure elle étais là, chantonnait, te regardait, je l'a voyais vaguement mais elle te parlait, je n'ai pas vraiment entendu se qu'elle t'as dit mais ça avait l'air doux et rugueux à la fois je sais pas, c'était bizarre...
-Elle? Ai-je presque criée dans ma chambre.
-Oui, elle était jeune, cheveux longs, genre, même pas 30 ans..
-Carole! Ai-je cette fois hurlé en sautant du lit.
-Alicia, calme toi, il est 6 heures du matin.
-Je me suis rassise d'un coup.
-Ça va? M'as demandé Thaïs.
-Tu veut donc me dire que ma cousine qui me manque depuis que j'ai 10 ans était à côté de moi toute la nuit et que tu ne m'as pas réveillé?!
-Non, tu dormais et...
-Mais je m'en fiche! Elle me manque. J'ai priée des nuits entières pour pouvoir la voire et rien! Et le seul moment ou elle vient c'est quand tu est la est en plus, tu ne m'avertie pas?! Ai-je criée dans la chambre.
D'un coup je me suis mise à pleurer, je ne sais pas pourquoi. Ce n'est pas le fait qu'elle soit morte, car je m'y était habituée avec le temps a parlée d'elle sans pleurer... Non, je pense plutôt que c'était quelle était la dans la chambre... d'un coup je me lève sèche mes larmes et regarde thaïs...
-Quoi? Me demanda-t-elle
-Elle m'as donné son petit livre de dessin avant de mourir...
-Montre. M'obligea presque Thaïs
Je sorti un coffret dont personne à part moi connaissait l'existence. Dedans il y avait deux lettres reçues à la St-Valentin, la photo de mon amoureux d'enfance, et se livre, se tout minuscule petit livre bleu. Il est plus petit qu'un natel, ou même de la paume de ma main. Mais si je devais sauver qu'une seul chose dans cette maison, se serait lui... je le donna à Thaïs, elle ferma les yeux, les ouvrit, et le regarda, commença à lire, puis à pleurer. Elle me regardait, et des fois ces pupilles viraient vers le haut. Elle s'effondra. J'ai vraiment cru qu'elle allait mourir...
-Carole. Carole si tu est la fait quelque chose je t'en supplie. Ai-je crier
Personne n'étais à la maison, j'étais seul. Je pleurais, d'un coup je sentit une présence derrière. Puis Thaïs rouvrit ces yeux d'un coup...

Le ouijaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant