Partie 32

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⚜️Salem Aleykoum⚜️
Bonne lecture✨


Précédemment...
[...]

Bref, une fois arrivés, j'suis descendue sans même lui adresser un mot et j'suis partie. Lui, il a redémarré hyper vite et il s'est barré. Je marchais derrière le bâtiment à Zahym et j'étais en train de le contourner tout en essayant d'essuyer mes larmes. Lorsqu'une personne m'a attrapé le bras, s'apprêtant à me dire quelque chose. Oh non pitié tout sauf ça.

?: *sourire* Eh !

Voyant mes yeux rouges, la personne se mit à froncer les sourcils :

?: Wesh t'a quoi à chialer ?!

[...]

J'me suis retournée vers lui, putain j'voulais pas qu'il me voit dans cet état. Bien sûr c'était Aymen, toujours là au mauvais moment lui. J'me suis pressée d'essuyer mes larmes en lui affichant un sourire crispé :

Moi: nan j'pleure pas wsh

Aymen: *fronce les sourcils* arrête j'suis pas con

Moi: y'a rien t'inquiète

Aymen: tu m'connais j'aime pas répéter vingt mille fois, donc arrête de faire la désirer pour une fois

Moi: mais j'fais pas la-

Il me regardait en haussant les sourcils du genre « tu crois vraiment à c'que tu dis la ? ». Bref j'ai lâché l'affaire et j'lui ai répondu :

Moi: je... T'a pas à savoir !

Aymen: BAH J'TE DEMANDE DONC RÉPONDS !

Moi: J'SUIS PAS TON CHIEN !

Aymen: vas-y salem, tu m'a fais mal au crâne en deux minutes

Il s'apprêtait à partir lorsque j'ai fais un geste que je n'aurai peut-être pas dû faire. Je lui ai attrapé le bras, il s'est retourné vers moi après avoir fixé longuement ma main sur son bras. J'ai fais de même, je sentais toujours ces électrochocs entre nous, c'était bizarre.
Je l'ai vite retiré, de manière gênée :

Moi: j'me suis embrouillée avec Zahym

Il a fait un sourire en coin, narquois comme à son habitude.

Aymen: ton pd te fait des phases ?

Moi: ouais..

Aymen: rah ouais PREMIÈRE fois t'a rien dis

Moi: par rapport ?

Aymen: pd

Moi: *sourire* j'ai même pas fais attention à ça

Aymen: normal, j'ai raison et tu l'sais

Moi: non, j'ai juste pas fais attention

Aymen: et il s'est passé quoi ?

Moi: bah-

Aymen: j'dehak j'men bas les klew, bref viens

𝕬𝖒𝖎𝖗𝖆: 𝖚𝖓 𝖉𝖊𝖘𝖙𝖎𝖓 𝖊́𝖈𝖗𝖎𝖙Où les histoires vivent. Découvrez maintenant