𝖈𝖍𝖆𝖕𝖎𝖙𝖗𝖊 𝖖𝖚𝖆𝖙𝖔𝖗𝖟𝖊 𝖋𝖎𝖓𝖆𝖑

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Il avait tout préparer pour que tout soit parfait, il avait fait le tour de son village à pied, cernant chaque maisons, cela lui avait mis au moins toute la nuit mais il savait que ni lui, ni son copain ne serais déçus. Du moins sa croyance était dur comme fer.

Il avait envoyé son frère, son petit protégé, chez un ami dans un autre village, il ne voulait pas risquer de le blesser, tout avait été prévu, sa petite boîte rouge, ainsi qu'un bandeau pour conserver la surprise à son Valentin.

Maxime trépigne d'impatience que son petit ami arrive. Il lui avait donné rendez vous très tôt, au moins à trois heures du matin pour être sûr que personne ne vienne gâcher son petit projet.

PDV VALENTIN

Maxime m'a donné rendez vous ce matin. Il m'avait promis une surprise. Je suis arrivé un peu en retard on est plus à ça près.

Quand je me suis pointé, il était à l'entrée de la ville, une flaque juste devant lui. Défaut de lieu, je suppose. La tête en l'air, il observe les étoiles et la lune qui sont parfaitement visible.

Une boîte dans la poche arrière de son jean. Une pensée me traverse la tête, serait-il capable de...? Non il aurait pas fait ça. Je me fais des films.. Mais putain j'ai tellement envie d'y croire.

Il s'aperçoit de ma présence et dépose un bisou sur mes lèvres toujours avec son petit air rêveur. Je me demande pourquoi il m'a fait venir là.

« tu vas voir tu vas pas être déçu. »

J'hocha la tête, formant un sourire sur mes lèvres et les siennes au passage.

« bon pour bien faire la surprise va falloir que je te bande les yeux, je te l'enlèverai, d'accord ? Tu me dit si tu vois à travers je veux que absolument rien ne vienne gâcher ce moment.
― t'inquiète pas. »

Il m'a enfilé son bandeau et bien sûr, il est trois heures du matin, il fait noir, je vois encore moins qu'avant. Mais je ne dit rien. Il s'est donné du mal pour préparer sa surprise et ça se voit.

J'entends un bruit sur lequel je ne parvient pas à mettre un nom, il est trois heures du matin, je vous le répète, je suis épuisé.

Un petit bruit puis... Des crépitements. Est ce qu'il a lancé des pétards pour faire sa demande ? Putain je me fait des idées ! On est ensemble depuis... Euh je sais pas.. Je suis nul en dates mais bref pas plus d'un mois. Si c'est cela ce serait beaucoup trop tôt. Mais bon sang faut que j'arrête de penser ça il ne vas pas me demander !

Le bandeau filtre un peu de lumière rouge, je n'arrive toujours pas à distinguer ce que c'est.

Je sens la main de mon copain glisser sur ma hanche, revenir sur mon torse puis lentement m'enlever le bandeau et cette vision qui s'offre à moi m'horrifie.

Mais que diable a-t-il donc fait à ce putain de village ? POURQUOI A-T-IL RÉPANDU ET FOUTU LE FEU À DE LA PUTAIN D'ESSENCE !!?

Je me retourne vers lui avec son air tout fier de lui. Il pensait vraiment que ça allait me faire plaisir !? Avant que j'eus le temps de lui gueuler dessus, il dit d'une voix calme :

« voilà jusqu'où j'irais pour toi. »

Il me laisse bouche bée. Qu'est ce qui ne tourne pas rond chez lui bordel !?

« mais t'es malade ou quoi ! Putain Maxime tu viens vraiment de brûler un village entier ? UN PUTAIN DE VILLAGE ENTIER. Mais t'es pas bien bordel ! Va consulter sérieux ! Réfléchir putain avant de faire les choses ça t'arrive des fois ou merde !? La police Maxime. T'as pensé à la putain de police et aux putains de médias ? Bah non bien sûr parce que ça n'arrive jamais à monsieur de réfléchir ! Maxime ça pourras pas le faire, sérieux ! T'es trop malade Maxime. C'est finit. »

Son sourire disparaît aussitôt, il pensait vraiment que j'allais lui sauter dans les bras après la connerie qu'il vient de faire !?

« va brûler dans ton putain de feu Maxime. »

Il garde sa mine rageuse, prêt à m'étrangler.

« va te faire foutre. Je t'aime, dit-il tandis que je partais loin de ce malade. »

~~
Il semblerait que c'est la FIN FIN FIN HEHE.

J'hésite à faire una toma deux LÀ but je sais pas donc bein à réfléchir dites moi.

𝖗𝖊𝖉 𝖑𝖎𝖐𝖊 𝖙𝖍𝖊 𝖋𝖎𝖗𝖊Où les histoires vivent. Découvrez maintenant