Âme sœur - Miraculous Fanfiction [TERMINÉE]

6 - Lemon

Les lèvres du blond n’étaient plus qu’a quelques centimètres des siennes, appelant ses lèvres comme un aimant, les invitant à se coller aux siennes. Adrien laissa sa main remonter lentement le long du bras de la styliste, provoquant un brusque tremblement de plaisir au niveau de ses jambes. Le toucher aérien du garçon la rendait dingue, elle ne se contrôlait plus, elle attendait qu’une seule chose : plaquer ses lèvres contre celle de l’homme de ses rêves.

Adrien n’était pas en reste, il effectua une pression dans le dos de Marinette pour coller son corps contre le sien, ne laissant aucun espace entre eux. La styliste ne put manquer le renflement présent contre sa cuisse, parant ses deux joues d’un rouge Vermillion. Le jeune homme n’allait pas reculer, d’un mouvement lent, il plaça le menton de la femme de sa vie entre son pouce et son index, lui obligeant à relever la tête, plantant ses deux émeraudes dans son regard rempli de désir.

Leurs iris étaient à peine visibles, leurs regards étaient embués de plaisir, si sombre. Adrien effectua un mouvement dans sa direction, rapprochant dangereusement leurs lèvres l’un de l’autre. Marinette avait les jambes en coton et le souffle coupé. Elle attendait un geste de sa part depuis si longtemps qu’elle peinait à y croire.

Son cœur martelait sa cage thoracique avec tant de violence, qu’elle manqua de tomber dans les pommes. Les yeux mi-clos, Adrien rompit l’échange de regard en venant écraser ses lèvres contre le sien, avec une telle passion que Marinette sentit ses jambes lâcher. Si Adrien ne la tenait pas aussi fermement, elle se serait écroulée.

Ne souhaitant pas être mise de côtés, les mains de la jeune fille rejoignirent la chevelure en bataille du jeune héros, alors que la pression derrière son crâne s’accentuait. Adrien appuyait sur ses deux mains, approfondissant le baiser qu’il partageait avec la brune et accentuant le contact entre leurs bassins.

La jeune fille ne put s’empêcher de gémir en sentant le coup de rein qu’Adrien venait d’effectuer contre son bassin. En entendant ce son, Adrien devenait complètement fou, passant brusquement ses mains puissantes sous les jambes de la jeune fille pour l’asseoir sur le plan de travail et se faufiler entre ses jambes, jambes que la jeune fille refermait rapidement autour de lui, collant entièrement leurs bassins l’un à l’autre, leurs provoquant à tout les deux un gémissement sonore dû au bien-être qu’ils venaient de ressentir.

Ses mains se baladaient le long du dos de la bleutée, effleurant son épiderme avec délicatesse, provoquant une nuée de frissons à la jeune héroïne. Il avait une folle envie de la prendre contre ce plan de travail, le blond n’arrivait plus à contrôler ses moindres faits et gestes. Seul le désir guidait ses mouvements. Il descendit doucement ses lèvres jusqu’au creux de la poitrine de la styliste et descendit lentement, provoquant une bouffée de chaleur à la concernée, qui se consumait sur place sous les baisers d’Adrien.

Les gémissements qui passaient la barrière de ses lèvres tendait Adrien si fou de désir pour elle, qu’il en tremblait et manquait de s’étouffer avec sa salive. Il avait énormément de mal à ne pas se ruer sur elle et à la déshabiller rapidement, il avait énormément de mal à rester calme. Marinette le sentit et un sourire en coin s’installa sur ses lèvres rougies par leurs baisers, elle ondula soudainement contre lui, provoquant des grognements de plus en plus sonores de la part du jeune homme, qui sentait son caleçon sur le point d’exploser dû à la pression de son érection. 

- Putain... Mari… murmura le jeune homme serrant les dents, d’une voix rauque.

N’y tenant plus, il lança un bref coup d’œil à la jeune fille pour lui demander à permission, mais se sentit sur le point de faiblir rien qu’en voyant la puissance de son regard. Abasourdi, il finit par secouer la tête, sentant la brûlure dans son bas ventre devenir aussi puissante qu’un incendie, le calcinant de l’intérieur. D’un geste fluide et rapide, ses deux mains agrippèrent le bas du pull de la jeune fille pour le lui retirer d’un coup sec et le balancer à l’autre bout de la pièce, revenant aussi vite que possible à ses lèvres, les dévorant.