Chapitre 4: Repos et désolation

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Eddy ne disait rien et attendait que les silhouettes se rapprochent, il reconnut John en premier étant le plus avancé, puis Judy finit par le reconnaître à son tour. Les deux autres silhouettes qui se tenaient derrière lui étaient méconnaissable.

John a les cheveux brun et court, très court mais pas assez pour en avoir le crâne rasé, il a les yeux marron, et porte des lunettes au verre rectangulaire.

Il est du genre débrouillard et à ne pas se laisser abattre, à être très optimiste la plus part du temps. Il perfectionne en lui un don inné pour l'architecture et les constructions, pareil à un adolescent normal extérieurement, quand ses mains prennent la relèves, c'est quelque chose dormant en lui qui s'éveille, pareil à un  un architecte qui se réveille de bon matin, le vase débordant d'idée.

John: Vous allez bien ?criait-il.

Judy: Oui!répondit-elle en première.

John se rapprochait en courant, une fois devant eux il demandait:

John: Je croyais que vous étiez trois, elle est où Ellie?demandait-il.

Judy lança une regard à Eddy et tout deux se tournèrent vers la cave, le toit de la grange qui se tenait juste au-dessus était effondré mais l'entrée étais à l'extérieur. Ils se dirigeaient vers cette dernière et John les suivirent. Ils descendaient les escaliers en pierres et briques et avancèrent de quelques pas avant de se dresser devant le matelas où Ellie était allongé.

John: O.K on va la ramener.affirmait-il

Judy: Très bien mais je resterai avec elle jusqu'à qu'elle se réveille.disait-elle.

John: D'accord si tu veux.approuva t-il.

Eddy: Et juste, tu compte nous ramener où?réclamait-il l'air curieux.

John: Après le phénomène, énormément de famille se sont rejointes et ont en accueillit d'autres venant des villages voisins. Elles ont fait, je sais pas, je pense qu'on peut nommer ça un camps de réfugiés.expliquait-il.

Eddy: Pour l'instant il n'y pas eut d'apocalypse donc je ne pense pas que réfugiés soit le bon mots. professait-il.

Judy: C'est vrai, on n'utilise pas le therme de réfugiés alors qu'il y'a encore six milliard de personne sûrement vivantes sur Terre. approuva t-elle.

John: Oui et si tu te rendait un peu compte que pour l'instant il n'y a personne dans les rues de ce village, hein dit?interrogeait-il en commençant à s'énerver.

Judy:Oh!s'exprima t-elle. Excuse-moi, mais je ne m'amusais pas à regarder si il y'avait encore des boulangerie d'ouverte pour aller chercher du pain quand la tornade tourbillonnait et avançait vers nous pour nous faire décollés dans la rue! criait-elle énervée, elle voulut continuer sa remarque lorsqu'elle se fit interrompre par Eddy qui dit à son tour.

Eddy: S'il vous plaît, est-ce que vous penser que c'est le moment de se disputer! criait-il. John, amène nous à ce camps d'accord.suppliait-il.

John et Judy approuvait ce que disait Eddy puis John accepta la réclamation de ce dernier. L'un des garçons qui se trouvait derrière John portait Ellie et Judy n'étant pas très able à marcher se faisait aider. Pendant ce temps, un peu plus à l'écart, John et Eddy discutait de tout et de rien. John se rendit qu'ils étaient aux portes du village où se situait le camp.

Judy: Il est où ton camp? questionnait-elle en se tournant vers John.

John: Il se situe plus vers le centre-ville. affirmait-il.

The Apophis Ascension 1 Où les histoires vivent. Découvrez maintenant